Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Greg Lauert
Tous connectés, tous ensemble et tous seuls, pourrait être le leitmotiv de ce premier film à l’étonnante maturité ; une œuvre froide et calculée qui annonce toutefois un grand talent.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Charlie Hebdo
par Gérard Biard
(...) une réjouissante étude de moeurs et de caractères, 100% connectée (...) sur notre époque.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
(...) "Creative Control" joue d'une esthétique élégante sans jamais tomber dans l'esthétisant, voué à l'obsolescence.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Un très beau film indépendant, au meilleur sens du terme.
L'Obs
par François Forestier
Quelque part entre "Her" et "Manhattan", un mélange de comédie et de techno-SF, tourné en noir et blanc. C’est brillant, inquiétant. Et amusant. Bref, une jolie petite réussite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un petit film malin, très inventif dans ses choix formels, qui anticipe un nouveau “brave new world”, entre paradis du désir et enfer de la frustration.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Dickinson impose sa patte comme un Woody Allen high-tech, version 2.0.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Une comédie sentimentale ironique et brillante.
Transfuge
par Sidy Sakho
Quelle place pour le trop accessible (...) face à l'infini des fantasmes plus vrais que nature (...) ? Cette belle idée est soutenue par une option esthétique toute simple mais efficace, celle de ne représenter le réel qu'en noir et blanc pour mieux instiller le virtuel par petites touches de couleur.
Le Monde
par Noémie Luciani
Embarrassé d’une écriture hasardeuse et d’une sophistication formelle, "Creative Control" propose néanmoins une illustration intéressante de ce vertige technologique.
Première
par Éric Vernay
Le film séduit d'abord par sa verve ironique, déployée dans un écrin léché (...). Dommage qu'il s'enferme ensuite, à coup de musique pompeusement kubrickienne, dans une réflexion plus convenue sur le péril du virtuel, forcément source de solitude, de misère sexuelle et d'incommunicabilité.
Télérama
par Frédéric Strauss
Filmé en noir et blanc sur des musiques de Bach ou de Haendel, cet univers technologique a du style. Mais ce qui séduit le plus dans ce film américain joliment bricolé, c'est la bonne vieille comédie de l'amour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par RobinTholet
Prisonnier de ses références et de son background “auteurisants” trop encombrants, Dickinson présente un nouvel avatar du style over substance, avec un objet filmique certes plaisant, divertissant et agréable à l’œil, mais qui échoue précisément à transmettre la sensation de spleen contemporain qu’il décrit.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Cet exercice de style sur la virtualité a un air de déjà vu, faute d’être augmenté d’une vraie satire.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce film (...) se prend très au sérieux (...).
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Dickinson voulait dénoncer un certain "fascisme technologique" : une note d'intention formidable transformée en un film un peu bêta.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
"Creative Control" singe involontairement l’imagerie publicitaire, alors même qu’il voudrait dénoncer le monde de la publicité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un hipster lance des lunettes révolutionnaires qui confondent réel et virtuel. Frimeur et puéril.
Positif
par Adrien Gombeaud
Passés le taboulé de quinoa, le saumon fumé bio et le thé earl grey au tuzu... on s'aperçoit vite que tous ces gens charmants n'ont pas grand-chose à raconter.
Bande à part
Tous connectés, tous ensemble et tous seuls, pourrait être le leitmotiv de ce premier film à l’étonnante maturité ; une œuvre froide et calculée qui annonce toutefois un grand talent.
Charlie Hebdo
(...) une réjouissante étude de moeurs et de caractères, 100% connectée (...) sur notre époque.
Franceinfo Culture
(...) "Creative Control" joue d'une esthétique élégante sans jamais tomber dans l'esthétisant, voué à l'obsolescence.
L'Ecran Fantastique
Un très beau film indépendant, au meilleur sens du terme.
L'Obs
Quelque part entre "Her" et "Manhattan", un mélange de comédie et de techno-SF, tourné en noir et blanc. C’est brillant, inquiétant. Et amusant. Bref, une jolie petite réussite.
Le Dauphiné Libéré
Un petit film malin, très inventif dans ses choix formels, qui anticipe un nouveau “brave new world”, entre paradis du désir et enfer de la frustration.
Le Figaro
Dickinson impose sa patte comme un Woody Allen high-tech, version 2.0.
Le Figaroscope
Une comédie sentimentale ironique et brillante.
Transfuge
Quelle place pour le trop accessible (...) face à l'infini des fantasmes plus vrais que nature (...) ? Cette belle idée est soutenue par une option esthétique toute simple mais efficace, celle de ne représenter le réel qu'en noir et blanc pour mieux instiller le virtuel par petites touches de couleur.
Le Monde
Embarrassé d’une écriture hasardeuse et d’une sophistication formelle, "Creative Control" propose néanmoins une illustration intéressante de ce vertige technologique.
Première
Le film séduit d'abord par sa verve ironique, déployée dans un écrin léché (...). Dommage qu'il s'enferme ensuite, à coup de musique pompeusement kubrickienne, dans une réflexion plus convenue sur le péril du virtuel, forcément source de solitude, de misère sexuelle et d'incommunicabilité.
Télérama
Filmé en noir et blanc sur des musiques de Bach ou de Haendel, cet univers technologique a du style. Mais ce qui séduit le plus dans ce film américain joliment bricolé, c'est la bonne vieille comédie de l'amour.
aVoir-aLire.com
Prisonnier de ses références et de son background “auteurisants” trop encombrants, Dickinson présente un nouvel avatar du style over substance, avec un objet filmique certes plaisant, divertissant et agréable à l’œil, mais qui échoue précisément à transmettre la sensation de spleen contemporain qu’il décrit.
Les Fiches du Cinéma
Cet exercice de style sur la virtualité a un air de déjà vu, faute d’être augmenté d’une vraie satire.
Studio Ciné Live
Ce film (...) se prend très au sérieux (...).
CinemaTeaser
Dickinson voulait dénoncer un certain "fascisme technologique" : une note d'intention formidable transformée en un film un peu bêta.
Critikat.com
"Creative Control" singe involontairement l’imagerie publicitaire, alors même qu’il voudrait dénoncer le monde de la publicité.
La Voix du Nord
Un hipster lance des lunettes révolutionnaires qui confondent réel et virtuel. Frimeur et puéril.
Positif
Passés le taboulé de quinoa, le saumon fumé bio et le thé earl grey au tuzu... on s'aperçoit vite que tous ces gens charmants n'ont pas grand-chose à raconter.