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Un visiteur
0,5
Publiée le 13 mars 2016
Minable, débile, si vous avez envie de perdre du temps et de l'argent n'hésitez pas. Nul nul et nul. Dommage, j'adore Depardieu...Le monde de l'agriculture bien mal représenté dans ce film idiot....Les agriculteurs passent vraiment pour niais et sales....dommage Monsieur Depardieu, vous nous aviez habitués à mieux.......
j'ai envie de faire de la publicité pour ce film.. un road movie très émouvant plein d'humour et de tendresse et de sensibilité, voire même de léger érotisme... des paysans un poil "blaireaux" décalés mais très attachants qui se cherchent et parviennent à lier de multiples relations avec des gens tout aussi loufoques qu'eux des acteurs excellents des premiers rôles (le coupe depardieu , poolvorde est en voie de rester dans les annales) jusqu'aux seconds rôles,
très belle scène au restaurant ou poolvorde/bruno ne fait que boire et regarder la serveuse et ou depardieu cherchant à communiquer ne parvient à dire "bruno".... bruno...bruno
courrez y un très bon film et très bon moment on est tous "bruno"
Le spectaculaire est dans ce trio d'hommes incroyables. Gerard Depardieu, effacé mais toujours aussi imposant, Benoît Poelvoorde, déchaîné, drôle, insupportable, Vincent Lacoste, génial, nonchalant. A eux trois, ils dominent une histoire qu'ils s'approprient et deviennent les acteurs d'un film quasiment documentaire (que les plans "volés" au salon d'agriculture viennent confortés) dans une frontière trouble et absolue.
Ce film est totalement inintéressant et pourtant le sujet était prometteur. Trop de clichés, à déconseiller. Quel dommage malgré les prestations des acteurs.
Un film sans queue ni tête ou l'histoire est incompréhensible et la plus part des scènes glauques. A éviter si vous ne voulez pas dépenser de l'argent inutilement.
Pas toujours fin mais plutôt surpris en bien. Nous sommes au salon de l'Agriculture: Jean, présent chaque année pour y présenter ses vaches qu'il élève, compte sur son fils Bruno pour assurer la continuité de l'élevage. Sauf que ce dernier est également présent a la porte de Versailles pour une autre route, celle des vins. Et la route, censée rester intra-muros, va devenir une véritable virée hexagonale avec son lot de péripéties et un chauffeur de taxi "pris en otage" qui va finalement, tout comme ses deux clients trouver un nouveau sens a sa vie. Les premières critiques n'étaient pas tendres et, sincèrement, elles se justifient pleinement sur les vingt premières minutes, succession de clichés et donnant une image néfaste du monde agricole. Fort heureusement, sitôt la route entamée et le Saint-Amour consommé, une empathie se fait de plus en plus présente pour donner une leçon finale que a l'impossible, nul n'est tenu. Un trio parfois agaçant (certaines séquences semblent plus improvisées que jouées), souvent grossier (on est pas loin des Valseuses parfois) mais au final, on sort plutôt ravi de l'issue de cette route et certaines étapes sont sujettes a de belles prises de vue. Un joli moment qui vaut la peine d'être vu si le vingtième degré est de mise ainsi qu'une recherche de détente franchouillarde...
ce film est sur vendu et quand on le voit,il n'est pas à la hauteur des attentes. C'est une histoire triste avec un jeu d acteur de Benoit P mais tranche de vie pathétique. je ne suis pas arrivé à être prise par le film.
Vulgarité à tous les étages. Quelle est donc cette vision des personnes habitant la France rurale. Je ne vous conseille pas la séquence avec la jeune serveuse, lamentable, celle avec la jeune femme de l'agence immobilière, ignoble, Poelvoorde soul allongé sur son lit sexe à tous vents. Les scènes de beuverie sont à vomir. De la tendresse, de la complicité ? J'ai quitté la salle quand on retrouve Depardieu débordant de partout couché dans un hôtel avec une rencontre de petit déjeuner. Je me suis rarement senti aussi mal à l'aise. Première fois que je quitte une salle. LAMENTABLE. Fuyez, fuyez !!
Franchement ça ne vol pas haut, c'est lourd c'est laid bref sans interêt, je n'ai pas réussi à tenir jusqu'à la moitié le pauvre Gégé est tombé bien bas.
Ce n'est pas du niveau de Mammouth ou Louise Michel. Le film est un joyeux foutoir qui parfois est un peu troo much, mais il reste tant d'originalité, tant de folie, tant de tendresse. Ce duo de réalisateurs est indispensable au ciné français. Poelvoorde est vraiment exceptionnel. spoiler: Apparition de Houellebecq grandiose.
On voit ses 3 personnages attachants et émouvants dans leur Road movie arrosé et sentimental. C'est drôle, parfois absurde et réfléchie. En effet, ce Road movie se transforme en pèlerinage ; la fuite de 3 hommes qui vivent une crise existentielle et qui ne savent pas quelle route prendre dans leur vie (si je puis dire), à la recherche de l'âme sœur et de leur avenir.
Un film qui traite du poids paternel sur fond de transmission et du métier d’agriculteur.
Au niveau des acteurs, c'est le passage de témoin, la légende Depardieu (juste et émouvant) avec Poolverde (bouleversant, notamment lors d'une tirade sur l'éloge de la cuite) et le renouveau du cinéma francais avec Vincent Lacoste (brillant et très drôle).
Tous les seconds rôles sont excellents, absurdes et excellents lors de scènes bien écrites.
La musique signée Sébastien Tellier est remarquable et nous fait penser à la France des campagnes avec ce petit côté mélancolique.
Cinq étoiles pour la générosité des acteurs, pour le jeu "à vif" de Poolvorde, pour la féminité (eh oui!!) extraordinaire de Depardieu, et pour l'harmonie, la simplicité de tous et de toutes dans ce film. Le scénario semble couler... de source! tant les actions s'enchaînent les unes par rapport aux autres, dans une logique et une naïveté désarmantes : "ben oui, se dit-on, ça ne peut se dérouler QUE comme ça!" . Ce film est une petite merveille, absolument non formatée, un petit miracle. Un saint amour de film, avec du cépage Blier dedans . Et (je ne spoilerai évidemment pas la scène), l'occasion d'un fou rire énorme !
Les palais les plus fins commenceront à se demander si le Kervern & Delépine n’est pas un peu court en bouche, mais les plus honnêtes admettront que sept films, c’est déjà un belle longueur. Dès le lendemain et sans langue de bois, toutes et tous admettront que, si Saint Amour n’est peut-être qu’un moyen cru, c’est en tous cas une bonne cuite.