Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
34 critiques presse
VSD
par Olivier Bousquet
Il souffle sur ce "Saint Amour" un grand vent de liberté. Celui qui rend les joues roses et pique au nez. Qui enivre aussi, sans pour autant filer la gueule de bois.
20 Minutes
par Caroline Vié
Une comédie tendrement éthylique
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
L'alcool, les femmes, la relation père-fils sont les sujets du nouveau road movie des réalisateurs des cultes "Louise-Michel" (2008) et "Le Grand soir" (2012). Aussi libre que les films précédents, "Saint Amour" se distingue par une certaine tendresse.
Ecran Large
par Simon Riaux
Nouvelle odyssée intime et fantasque de Delépine et Kervern, "Saint Amour" ne révolutionne rien mais fait du bien par où il passe.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le film réussit à être à la fois drôle et émouvant. Les deux auteurs ont lâché un peu de leur causticité pour plus de tendresse. Et cela leur va bien,
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Du Beaujolais au Bordelais, le film avance à son rythme, avec parfois des bouffées surréalistes. Le cinéma de Delépine et Kervern est un genre à part entière. Drôle et touchant, toujours à hauteur d'homme.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
"Saint Amour" est un cri d'amour très sain. Une déclaration enflammée pleine de poésie, de sourire et de pinard pour un pays aimant et aimable qui regorge de vies comme les autres, de gens sur canapé prêts à boire un coup, de tendresse pour un corps qui s'ouvre, de caresses qui se disent trop peu souvent.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Peu importe si, par instants, le film de Delépine et Kervern sent vaguement le bouchon, leur cinéma a du cœur, des tripes et de la cuisse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une traversée de la France dont le prétexte viticole débouche sur une virée poétique et cocasse le long de ces routes buissonnières pavées de toutes les libertés moralement et politiquement incorrectes chères au duo Delépine - Kervern.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
Respectivement père et fils, les deux monstres du cinéma français se complètent à merveille dans ce road-movie décalé, épique et souvent désopilant. Focalisée sur cette distribution de choix, la mise en scène est complétée idéalement par Vincent Lacoste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Certes, il fallait être un brin cinglé pour réunir les deux plus grands pochtrons du cinéma français sur la même affiche. Kervern et Delépine l’ont fait et bien fait. Finalement, on en reprendrait encore un peu pour la route.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Véritable et gouleyant road-movie sentimental, « Saint Amour », comme son nom l'indique, vendange surtout l'amour et la beauté des femmes. Depardieu y est singulièrement émouvant. On souhaite à ce film de faire du foin.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un périple bourré… de tendresse, à l'humour absurde et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Danièle Heymann
Facile mais vrai : débordant de vin et de tendresse, "Saint Amour", le septième film de Benoît Delépine et Gustave Kerven, est à déguster sans modération.
Ouest France
par Pierre Fornerod
C'est drôle, émouvant, mais ça passe aussi vite qu'un petit vin de terroire.
Positif
par Vincent Thabourey
L'anarchie des films précédents du duo Delépine-Kervern s'essouffle au profit d'une tendresse rocailleuse. Peut-être pas leur meilleur cru mais une très belle appellation !
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
La nonchalance du film, voire sa lenteur, cadre parfaitement avec le souffle de poésie sereine que Delépine et Kervern déposent sur l'écran.
Sud Ouest
par Sophie Avon
"Saint-Amour" n'est pas un film d'ivrogne ou une pochade de bons vivants. C'est au contraire, dans sa délicatesse, dans sa mélancolie et dans son humour, une comédie au cœur lourd qui se console avec la fiction. Et nous console au passage.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Maud Antigna
Avec leur dérision habituelle, les deux cinéastes réalisent une belle sortie de route grâce à un casting grandiose guidé par deux monstres sacrés qui savent si bien mêler tendresse et décadence.
Télérama
par Jérémie Couston
Ode aux femmes et aux sorties de route, "Saint Amour prend", avec son dénouement, des airs de comédie à la Bertrand Blier.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Depardieu et Poelvoorde, acteurs extrêmes, en père et fils spiritueux sur la route des vins, ça aurait pu ressembler à un gros film qui tache. Mais ce serait compter sans la poésie roots du duo Delépine-Kervern, l'énorme subtilité du menhir Depardieu, et la folie déroutante de Poelvoorde.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
(...) si Kervern et Delépine semblent avoir abandonné l’idée de travailler l’image (texture, éclairage, mise au point, tout est bâclé), le vent de liberté qu’ils transportent de film en film n’en finit pas de souffler, et balaye les quelques réserves rencontrées en chemin.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Une façon salutaire de mettre en boite tous les tics et gimmicks de notre société, ivre de comm’ et de vélocité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Michel Houellebecq, Chiara Mastroianni, Andréa Ferréol, Izïa Higelin, Céline Sallette se promènent dans une image proprette et une musique insipide tranchant avec la punk attitude des opus précédents, autrement plus tanniques.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ils ont assurément un univers, un ton, une vision bien à eux, entre franchouillardise, beau bizarre et rock’n roll attitude, mais ça ne suffit pas toujours à faire un film aussi satisfaisant que Mammuth ou Le Grand Soir.
Première
par Damien Leblanc
À force de tabler sur un enchaînement de rencontres avec des femmes aux désirs imprévisibles, les cinéastes, malgré un art intact du contre-pied comique, sacrifient les exigences de rythme les plus élémentaires et laissent leurs personnages à l’état d’ébauches émotionnelles.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Ce road-movie viticole tragi-comique est conduit avec un bonheur inégal. Mais son humanité touche.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Avec truculence et générosité, le film aborde aussi la difficulté de trouver l'âme soeur. Et même si le récit est souvent décousu, "ce saint-amour" se déguste avec un réel plaisir.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
Si Kervern et Delépine sont toujours aussi à l’aise pour mettre en scène les absurdités liées à la normalisation mondialisée de nos modes de vie, l’embarrassante représentation de la France agricole qu’ils nous livrent à la fin du film a de quoi sérieusement laisser dubitatif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
En un mot, l'impression que le film n'a pas su transsubstantier en oeuvre la virée pittoresque qu'a dû être son tournage.
Metro
par Mehdi Omaïs
Sur le papier, il y avait tout pour que ce long métrage soit un grand cru : des réalisateurs d’ordinaire lumineux comme des soleils, des acteurs à maturation, une flopée de seconds rôles prometteurs et tutti quanti. Mais à l’arrivée, le produit n’a hélas aucune ampleur en bouche.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
Pour qui a pu trouver touchants quelques films du duo Kervern-Delépine et aurait pu se laisser attendrir par une débauche de bons sentiments sur fond de sinistrose, ce film-ci est si navrant et lénifiant qu’il propose une épreuve, une mission impossible : comment en parler sans être trop vache ?
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ça et là, un ballon de situations, des rasades de dialogues cul sec arrachent un sourire, l’esquisse d’un vague espoir, le soupçon d’un ressaisissement mais la chute bascule dans un grand n’importe quoi. Pouvait-il en être autrement ? Une piquette, à ne voir que si l’on a soif.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Didier Péron
On est mal à l’aise tout le temps parce qu’on voit à chaque séquence que toute cette petite cuisine, qui ne tient pas debout et s’en félicite, ne repose plus sur rien sinon des bouts de gags qui font pitié (...) et des lambeaux d’idées inaccomplies.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
Il souffle sur ce "Saint Amour" un grand vent de liberté. Celui qui rend les joues roses et pique au nez. Qui enivre aussi, sans pour autant filer la gueule de bois.
20 Minutes
Une comédie tendrement éthylique
CNews
L'alcool, les femmes, la relation père-fils sont les sujets du nouveau road movie des réalisateurs des cultes "Louise-Michel" (2008) et "Le Grand soir" (2012). Aussi libre que les films précédents, "Saint Amour" se distingue par une certaine tendresse.
Ecran Large
Nouvelle odyssée intime et fantasque de Delépine et Kervern, "Saint Amour" ne révolutionne rien mais fait du bien par où il passe.
Femme Actuelle
Le film réussit à être à la fois drôle et émouvant. Les deux auteurs ont lâché un peu de leur causticité pour plus de tendresse. Et cela leur va bien,
Franceinfo Culture
Du Beaujolais au Bordelais, le film avance à son rythme, avec parfois des bouffées surréalistes. Le cinéma de Delépine et Kervern est un genre à part entière. Drôle et touchant, toujours à hauteur d'homme.
L'Express
"Saint Amour" est un cri d'amour très sain. Une déclaration enflammée pleine de poésie, de sourire et de pinard pour un pays aimant et aimable qui regorge de vies comme les autres, de gens sur canapé prêts à boire un coup, de tendresse pour un corps qui s'ouvre, de caresses qui se disent trop peu souvent.
L'Obs
Peu importe si, par instants, le film de Delépine et Kervern sent vaguement le bouchon, leur cinéma a du cœur, des tripes et de la cuisse.
Le Dauphiné Libéré
Une traversée de la France dont le prétexte viticole débouche sur une virée poétique et cocasse le long de ces routes buissonnières pavées de toutes les libertés moralement et politiquement incorrectes chères au duo Delépine - Kervern.
Le Figaroscope
Respectivement père et fils, les deux monstres du cinéma français se complètent à merveille dans ce road-movie décalé, épique et souvent désopilant. Focalisée sur cette distribution de choix, la mise en scène est complétée idéalement par Vincent Lacoste.
Le Journal du Dimanche
Certes, il fallait être un brin cinglé pour réunir les deux plus grands pochtrons du cinéma français sur la même affiche. Kervern et Delépine l’ont fait et bien fait. Finalement, on en reprendrait encore un peu pour la route.
Le Parisien
Véritable et gouleyant road-movie sentimental, « Saint Amour », comme son nom l'indique, vendange surtout l'amour et la beauté des femmes. Depardieu y est singulièrement émouvant. On souhaite à ce film de faire du foin.
Les Fiches du Cinéma
Un périple bourré… de tendresse, à l'humour absurde et poétique.
Marianne
Facile mais vrai : débordant de vin et de tendresse, "Saint Amour", le septième film de Benoît Delépine et Gustave Kerven, est à déguster sans modération.
Ouest France
C'est drôle, émouvant, mais ça passe aussi vite qu'un petit vin de terroire.
Positif
L'anarchie des films précédents du duo Delépine-Kervern s'essouffle au profit d'une tendresse rocailleuse. Peut-être pas leur meilleur cru mais une très belle appellation !
Studio Ciné Live
La nonchalance du film, voire sa lenteur, cadre parfaitement avec le souffle de poésie sereine que Delépine et Kervern déposent sur l'écran.
Sud Ouest
"Saint-Amour" n'est pas un film d'ivrogne ou une pochade de bons vivants. C'est au contraire, dans sa délicatesse, dans sa mélancolie et dans son humour, une comédie au cœur lourd qui se console avec la fiction. Et nous console au passage.
Transfuge
Avec leur dérision habituelle, les deux cinéastes réalisent une belle sortie de route grâce à un casting grandiose guidé par deux monstres sacrés qui savent si bien mêler tendresse et décadence.
Télérama
Ode aux femmes et aux sorties de route, "Saint Amour prend", avec son dénouement, des airs de comédie à la Bertrand Blier.
Voici
Depardieu et Poelvoorde, acteurs extrêmes, en père et fils spiritueux sur la route des vins, ça aurait pu ressembler à un gros film qui tache. Mais ce serait compter sans la poésie roots du duo Delépine-Kervern, l'énorme subtilité du menhir Depardieu, et la folie déroutante de Poelvoorde.
aVoir-aLire.com
(...) si Kervern et Delépine semblent avoir abandonné l’idée de travailler l’image (texture, éclairage, mise au point, tout est bâclé), le vent de liberté qu’ils transportent de film en film n’en finit pas de souffler, et balaye les quelques réserves rencontrées en chemin.
Culturopoing.com
Une façon salutaire de mettre en boite tous les tics et gimmicks de notre société, ivre de comm’ et de vélocité.
La Voix du Nord
Michel Houellebecq, Chiara Mastroianni, Andréa Ferréol, Izïa Higelin, Céline Sallette se promènent dans une image proprette et une musique insipide tranchant avec la punk attitude des opus précédents, autrement plus tanniques.
Les Inrockuptibles
Ils ont assurément un univers, un ton, une vision bien à eux, entre franchouillardise, beau bizarre et rock’n roll attitude, mais ça ne suffit pas toujours à faire un film aussi satisfaisant que Mammuth ou Le Grand Soir.
Première
À force de tabler sur un enchaînement de rencontres avec des femmes aux désirs imprévisibles, les cinéastes, malgré un art intact du contre-pied comique, sacrifient les exigences de rythme les plus élémentaires et laissent leurs personnages à l’état d’ébauches émotionnelles.
TF1 News
Ce road-movie viticole tragi-comique est conduit avec un bonheur inégal. Mais son humanité touche.
Télé 7 Jours
Avec truculence et générosité, le film aborde aussi la difficulté de trouver l'âme soeur. Et même si le récit est souvent décousu, "ce saint-amour" se déguste avec un réel plaisir.
Critikat.com
Si Kervern et Delépine sont toujours aussi à l’aise pour mettre en scène les absurdités liées à la normalisation mondialisée de nos modes de vie, l’embarrassante représentation de la France agricole qu’ils nous livrent à la fin du film a de quoi sérieusement laisser dubitatif.
Le Monde
En un mot, l'impression que le film n'a pas su transsubstantier en oeuvre la virée pittoresque qu'a dû être son tournage.
Metro
Sur le papier, il y avait tout pour que ce long métrage soit un grand cru : des réalisateurs d’ordinaire lumineux comme des soleils, des acteurs à maturation, une flopée de seconds rôles prometteurs et tutti quanti. Mais à l’arrivée, le produit n’a hélas aucune ampleur en bouche.
Cahiers du Cinéma
Pour qui a pu trouver touchants quelques films du duo Kervern-Delépine et aurait pu se laisser attendrir par une débauche de bons sentiments sur fond de sinistrose, ce film-ci est si navrant et lénifiant qu’il propose une épreuve, une mission impossible : comment en parler sans être trop vache ?
La Croix
Ça et là, un ballon de situations, des rasades de dialogues cul sec arrachent un sourire, l’esquisse d’un vague espoir, le soupçon d’un ressaisissement mais la chute bascule dans un grand n’importe quoi. Pouvait-il en être autrement ? Une piquette, à ne voir que si l’on a soif.
Libération
On est mal à l’aise tout le temps parce qu’on voit à chaque séquence que toute cette petite cuisine, qui ne tient pas debout et s’en félicite, ne repose plus sur rien sinon des bouts de gags qui font pitié (...) et des lambeaux d’idées inaccomplies.