Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Un peu plus de trois ans après "Do Not Disturb", l’acteur et réalisateur français Yvan Attal signe un long-métrage à sketches et utilise un humour percutant pour rendre compte d’un sujet sensible.
Gala
par Yasmine Choukair
Dans ce long-métrage entre rire et larmes, Yvan Attal démonte, avec l'aide d'un brillant casting, les clichés envers les juifs.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui ne manque pas d’audace. Faire le catalogue de tous les clichés antisémites, sans s’en faire le fourrier malgré soi : il fallait le faire !
Marianne
par Martine Gozlan
Avec "Ils sont partout"; Attal donne donc la grosse artillerie de la caméra comique. (...) Le tragique se glisse (aussi) entre chacun des sketches, obligeant le spectateur de la farce à affronter le réel de la tragédie.
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
"Ils sont partout" n'est ni une satire féroce ni une comédie folklorique. Le film est mieux que ça ! Il est vrai.
Libération
par Gilles Renault
Formellement bancal (...), le propos s’empêtre dans son propre piège caustique en caricaturant tous les goys en beaufs détestables. Fil rouge reliant chaque saynète, les réflexions d’Yvan Attal chez son psy illustrent néanmoins l’inquiétude d’un citoyen las du climat délétère.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Si les intentions sont bonnes et la prestation de certains acteurs au diapason, "Ils sont partout" ne tient pas la distance sur ses presque deux heures.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Tout ce que vous avez pu entendre sur les juifs de pire, de réac, de sinistre, d’idiot se trouve moqué, malheureusement sans être dynamité (...). Certaines pastilles sont drôles (...) mais la démonstration est vite encombrée par les poncifs qu’elle dénonce, jusqu’à devenir gênante.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Pourtant, la qualité de l’interprétation, la volonté un peu désespérée de fantaisie d’"Ils sont partout" face au tragique indiquent parfois ce que pourrait être une comédie qui analyserait résolument les symptômes les plus inquiétants du corps social français. Yvan Attal ne fait que l’esquisser.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Sur un sujet sensible - la vision des Juifs dans la société -, Yvan Attal signe un film à sketches qui manque cruellement de finesse et ne réussit pas à faire rire, malgré une savoureuse galerie d'acteurs.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ses séances chez le psy (passionnantes, émouvantes et drôles) alternent avec des sketches plus ou moins longs et plus ou moins drôles (un peu lourdingues) mettant en scène et/ou démontant les fantasmes antisémites les plus courants (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Metro
par Marilyne Letertre
Ici, la gêne l’emporte souvent sur le sourire, tant les tentatives sont poussives malgré Dany Boon, Benoit Poelvoorde ou François Damiens au casting. Peut-être aurait-il fallu assumer davantage la parodie ou la noirceur...
La critique complète est disponible sur le site Metro
Paris Match
par Alain Spira
Non seulement Attal rate sa cible, mais il n'est pas loin de marquer contre son camp, à un point tel que cela en devient gênant. Malgré quelques bonnes idées qui auraient pu être exploitables, cette comédie est à des années lumière de l'humour et de l'intelligence percutante de «L'être ou pas».
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Ariane Allard
On aurait aimé l'aimer, ce film. (...) Las ! Si "Ils sont partout" choisit en effet de se déployer dans la veine tragi-comique, il a du mal à stimuler l'attention... pas plus que les zygomatiques, d'ailleurs !
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Las, le résultat est vraiment très inégal, n'est pas Woody Allen qui veut.
Voici
par La Rédaction
Par peur, peut-être de traiter son sujet dans une fiction "normale", Yvan Attal l'a morcelé en saynètes outrancières, inégales, voire franchement ratées.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Vouloir dénoncer l’antisémitisme en France, voilà une idée séduisante. Hélas, elle ne l’est que sur le papier. Car cette succession de scènes courtes au mieux loufoques, au pire vulgaires alourdissent le propos sans apporter d’éléments probants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Gros malaise que ce spectacle d’un « film citoyen » trop pontifiant pour faire naître un rire libérateur, et trop inconséquent pour dépasser ses propres impensés.
L'Express
par Eric Libiot
Une belle idée. Gâchée menu parce qu'"Ils sont partout" n'est pas drôle.
L'Obs
par Grégoire Leménager
Il y a parfois une bonne idée (et même un Popeck émouvant en vieil amnésique rescapé des camps), mais "Ils sont partout" ne va nulle part. C’est un film à sketchs pas drôles, bavards, où tout est surligné avec une insistance qui finit par être gênante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Yvan Attal a oublié l'humour juif.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télérama
par Samuel Douhaire
Écriture poussive, réalisation mollassonne, direction d'acteurs approximative malgré un casting de luxe... Seul Benoît Poelvoorde, grinçant en leader d'extrême droite qui découvre sa judéité, nous a arraché deux sourires.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
CNews
Un peu plus de trois ans après "Do Not Disturb", l’acteur et réalisateur français Yvan Attal signe un long-métrage à sketches et utilise un humour percutant pour rendre compte d’un sujet sensible.
Gala
Dans ce long-métrage entre rire et larmes, Yvan Attal démonte, avec l'aide d'un brillant casting, les clichés envers les juifs.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui ne manque pas d’audace. Faire le catalogue de tous les clichés antisémites, sans s’en faire le fourrier malgré soi : il fallait le faire !
Marianne
Avec "Ils sont partout"; Attal donne donc la grosse artillerie de la caméra comique. (...) Le tragique se glisse (aussi) entre chacun des sketches, obligeant le spectateur de la farce à affronter le réel de la tragédie.
Studio Ciné Live
"Ils sont partout" n'est ni une satire féroce ni une comédie folklorique. Le film est mieux que ça ! Il est vrai.
Libération
Formellement bancal (...), le propos s’empêtre dans son propre piège caustique en caricaturant tous les goys en beaufs détestables. Fil rouge reliant chaque saynète, les réflexions d’Yvan Attal chez son psy illustrent néanmoins l’inquiétude d’un citoyen las du climat délétère.
Franceinfo Culture
Si les intentions sont bonnes et la prestation de certains acteurs au diapason, "Ils sont partout" ne tient pas la distance sur ses presque deux heures.
Le Journal du Dimanche
Tout ce que vous avez pu entendre sur les juifs de pire, de réac, de sinistre, d’idiot se trouve moqué, malheureusement sans être dynamité (...). Certaines pastilles sont drôles (...) mais la démonstration est vite encombrée par les poncifs qu’elle dénonce, jusqu’à devenir gênante.
Le Monde
Pourtant, la qualité de l’interprétation, la volonté un peu désespérée de fantaisie d’"Ils sont partout" face au tragique indiquent parfois ce que pourrait être une comédie qui analyserait résolument les symptômes les plus inquiétants du corps social français. Yvan Attal ne fait que l’esquisser.
Les Fiches du Cinéma
Sur un sujet sensible - la vision des Juifs dans la société -, Yvan Attal signe un film à sketches qui manque cruellement de finesse et ne réussit pas à faire rire, malgré une savoureuse galerie d'acteurs.
Les Inrockuptibles
Ses séances chez le psy (passionnantes, émouvantes et drôles) alternent avec des sketches plus ou moins longs et plus ou moins drôles (un peu lourdingues) mettant en scène et/ou démontant les fantasmes antisémites les plus courants (...).
Metro
Ici, la gêne l’emporte souvent sur le sourire, tant les tentatives sont poussives malgré Dany Boon, Benoit Poelvoorde ou François Damiens au casting. Peut-être aurait-il fallu assumer davantage la parodie ou la noirceur...
Paris Match
Non seulement Attal rate sa cible, mais il n'est pas loin de marquer contre son camp, à un point tel que cela en devient gênant. Malgré quelques bonnes idées qui auraient pu être exploitables, cette comédie est à des années lumière de l'humour et de l'intelligence percutante de «L'être ou pas».
Positif
On aurait aimé l'aimer, ce film. (...) Las ! Si "Ils sont partout" choisit en effet de se déployer dans la veine tragi-comique, il a du mal à stimuler l'attention... pas plus que les zygomatiques, d'ailleurs !
Télé 7 Jours
Las, le résultat est vraiment très inégal, n'est pas Woody Allen qui veut.
Voici
Par peur, peut-être de traiter son sujet dans une fiction "normale", Yvan Attal l'a morcelé en saynètes outrancières, inégales, voire franchement ratées.
aVoir-aLire.com
Vouloir dénoncer l’antisémitisme en France, voilà une idée séduisante. Hélas, elle ne l’est que sur le papier. Car cette succession de scènes courtes au mieux loufoques, au pire vulgaires alourdissent le propos sans apporter d’éléments probants.
Cahiers du Cinéma
Gros malaise que ce spectacle d’un « film citoyen » trop pontifiant pour faire naître un rire libérateur, et trop inconséquent pour dépasser ses propres impensés.
L'Express
Une belle idée. Gâchée menu parce qu'"Ils sont partout" n'est pas drôle.
L'Obs
Il y a parfois une bonne idée (et même un Popeck émouvant en vieil amnésique rescapé des camps), mais "Ils sont partout" ne va nulle part. C’est un film à sketchs pas drôles, bavards, où tout est surligné avec une insistance qui finit par être gênante.
Le Parisien
Yvan Attal a oublié l'humour juif.
Télérama
Écriture poussive, réalisation mollassonne, direction d'acteurs approximative malgré un casting de luxe... Seul Benoît Poelvoorde, grinçant en leader d'extrême droite qui découvre sa judéité, nous a arraché deux sourires.
VSD
Qui trop embrasse mal étreint.