Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Isabelle Carré était la bonne personne pour incarner ce personnage funambule. C'est pour elle un rôle aussi fort que "Se souvenir des belles choses" et ce film est une belle chose dont on se souviendra.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Avec lyre et passion, Vanja d’Alcantara offre à Isabelle Carré, formidable de sensibilité, l’une de ses meilleures composition et délivre, loin de tout matérialisme, un message providentiel qui éblouit par sa beauté. Tout simplement magnifique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une belle réussite d'une jeune réalisatrice belge.
La Croix
par Marie Soyeux
La sensibilité de ce film se heurte cependant une première partie très schématique, qui peine à se faire oublier.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un voyage sensible vers la sagesse et la paix intérieure, dont les chemins apparaissent toutefois un peu trop balisés pour être vraiment convaincants.
Les Fiches du Cinéma
par Louis Roux
Un deuil aux allures de voyage initiatique, à voir pour la douceur d'Isabelle Carré, qui aimante la caméra.
Télérama
par Mathilde Blottière
Elle restitue avec délicatesse l'intensité de cette renaissance par le deuil et l'exil. Les regards et les gestes esquissés du film mutique en disent long sur le vertige d'exister.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Anna Leysens
(...) il manque ici une sensibilité dans l’observation de ces interactions humaines (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Un voyage spirituel qui aligne les clichés Orient versus Occident.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par La Rédaction
Passe encore que l’actrice interprète un énième rôle de femme flétrie par son quotidien d’épouse et de mère : ses talents d’actrice sont tels qu’elle pourrait jouer dix fois la même partition sans se répéter. Encore faudrait-il que celle-ci soit moins lénifiante et le film, plus remuant qu’une jolie carte postale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La mort, c'est triste et le Japon c'est zen. Sans blague ?
Le Parisien
Isabelle Carré était la bonne personne pour incarner ce personnage funambule. C'est pour elle un rôle aussi fort que "Se souvenir des belles choses" et ce film est une belle chose dont on se souviendra.
aVoir-aLire.com
Avec lyre et passion, Vanja d’Alcantara offre à Isabelle Carré, formidable de sensibilité, l’une de ses meilleures composition et délivre, loin de tout matérialisme, un message providentiel qui éblouit par sa beauté. Tout simplement magnifique.
Ouest France
Une belle réussite d'une jeune réalisatrice belge.
La Croix
La sensibilité de ce film se heurte cependant une première partie très schématique, qui peine à se faire oublier.
Le Dauphiné Libéré
Un voyage sensible vers la sagesse et la paix intérieure, dont les chemins apparaissent toutefois un peu trop balisés pour être vraiment convaincants.
Les Fiches du Cinéma
Un deuil aux allures de voyage initiatique, à voir pour la douceur d'Isabelle Carré, qui aimante la caméra.
Télérama
Elle restitue avec délicatesse l'intensité de cette renaissance par le deuil et l'exil. Les regards et les gestes esquissés du film mutique en disent long sur le vertige d'exister.
Critikat.com
(...) il manque ici une sensibilité dans l’observation de ces interactions humaines (...).
Première
Un voyage spirituel qui aligne les clichés Orient versus Occident.
L'Obs
Passe encore que l’actrice interprète un énième rôle de femme flétrie par son quotidien d’épouse et de mère : ses talents d’actrice sont tels qu’elle pourrait jouer dix fois la même partition sans se répéter. Encore faudrait-il que celle-ci soit moins lénifiante et le film, plus remuant qu’une jolie carte postale.
Studio Ciné Live
La mort, c'est triste et le Japon c'est zen. Sans blague ?