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Votre avis sur Spiderhead ?
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Un scenario qui aurait pu etre intéressant mais là ... juste une histoire tellement plate, sans saveur et des jeux d’acteurs limite risibles tellement c'est mauvais. Franchement, ne perdez pas votre temps devant ce navet
Le film est beaucoup trop soucote et je ne comprends pas pourquoi parce qu'il est très bien. On a deux acteurs juste formidables, Chris Hemsworth et Miles Teller. Par le réalisateur de Tron, le film a un scénario juste incroyable et un aspect psychologie fou, c'est la tout le génie, des expériences scientifiques sur les humains et leurs réactions, c'est génial. On a des tensions et de la violence, c'est très bien.
Jorik V
Certains vont se dire qu’ils ont déjà vu le nom du réalisateur de « Spiderhead » récemment sur les écrans et ils auront raison. En effet, Joseph Kosinski est aussi celui qui a mis en scène le gros carton en salles du moment, en l’occurrence le blockbuster où brille Tom Cruise : « Top Gun, Maverick ». Et cette simultanéité de sorties quasi parfaite est due aux multiples reports en salles dudit film suite aux mesures sanitaires. La Paramount a préféré attendre d’avoir un ciel cent pour cent clément à l’horizon pour lâcher son bolide et elle a eu raison vu le succès qu’on lui connaît. Tourné il y a près de quatre, le film aurait dû sortir il y a deux ans déjà, le temps à Kosinski de tourner un autre film. Que voilà. Et on peut clairement affirmer que ce « Spiderhead » est une déception quand la suite tardive des aventures de Maverick a été une bonne surprise nostalgique pour beaucoup. Certes, cette production Netflix peut capitaliser sur la curiosité du spectateur, cristallisée par l’originalité excitante de son postulat, mais elle loupe dans les grandes largeurs l’appellation de bon film et encore plus de classique de la science-fiction/anticipation. En effet, c’est l’adaptation d’une nouvelle acclamée par la critique littéraire il y a dix ans mais dont le résultat à l’écran s’avère tout juste sympathique mais surtout bien trop lisse, formaté et prévisible au vu du sujet. Comme si ce long-métrage était passé à la moulinette Netflix mais du mauvais côté du panier, celui des films interchangeables et sans âme. Mais avec un budget pareil (car le film tout de même coûté la coquette somme de 100 M$ et on se demande vraiment pourquoi!). On est donc loin du versant auteur et plus appliqué vers lequel aime se diriger la plateforme avec bonheur parfois (comme les géniaux « Marriage Story » ou « Don’t look up »). Ce n’est certes pas un navet, on a connu bien pire, et le film regorge autant de qualités que de défauts mais il ne restera pas dans les annales, c’est sûr.
Du côté des bonnes choses on peut citer une bande originale très années 80 du meilleur goût et qui parfume le récit d’une certaine ironie bienvenue. On peut également compter sur le talent de Kosinski pour soigner ses images. C’est ce qu’il fait encore ici en mettant en valeur l’étrange décor de ce bunker sur une île exotique tout en cadrant ses plans avec le touché esthétique qu’on lui connaît. Sa mise en scène glacée et très travaillée est en parfaite adéquation avec le sujet. Les prestations de Chris Hemsworth et Miles Teller sont satisfaisantes sans pour autant être renversantes mais on est plutôt dans le positif. En outre, si « Spiderhead » a bien du mal à décoller, pour ne pas dire ennuyer dans sa première partie, la seconde moité est peut-être plus classique mais bien plus captivante. Car le problème du long-métrage est son rythme poussif voire chaotique, entre précipitation et surplace. Il manque également de contextualisation. Que ce soit concernant le groupe pharmaceutique, ce qui a permis à ses prisonniers de bénéficier de ce programme, de ses substances injectées, ... Beaucoup de choses restent sans réponse, manquent de développement ou ne semblent pas vraiment intéresser les scénaristes. Et dans un tel huis-clos psychologique, c’est un petit peu gênant, frustrant même. D’autant plus avec un sujet en or comme celui-là. En effet, un postulat alléchant de la sorte méritait bien plus de folie, d’ampleur et de maîtrise. Cela aurait pu déboucher sur un classique du film d’anticipation et on se retrouve avec une série B de luxe classique voire prévisible, qui ne surprend jamais jusque dans son dénouement. Bref, on peut circuler, il n’y a pas grand-chose à voir, malheureusement.
Plus de critiques sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
Du côté des bonnes choses on peut citer une bande originale très années 80 du meilleur goût et qui parfume le récit d’une certaine ironie bienvenue. On peut également compter sur le talent de Kosinski pour soigner ses images. C’est ce qu’il fait encore ici en mettant en valeur l’étrange décor de ce bunker sur une île exotique tout en cadrant ses plans avec le touché esthétique qu’on lui connaît. Sa mise en scène glacée et très travaillée est en parfaite adéquation avec le sujet. Les prestations de Chris Hemsworth et Miles Teller sont satisfaisantes sans pour autant être renversantes mais on est plutôt dans le positif. En outre, si « Spiderhead » a bien du mal à décoller, pour ne pas dire ennuyer dans sa première partie, la seconde moité est peut-être plus classique mais bien plus captivante. Car le problème du long-métrage est son rythme poussif voire chaotique, entre précipitation et surplace. Il manque également de contextualisation. Que ce soit concernant le groupe pharmaceutique, ce qui a permis à ses prisonniers de bénéficier de ce programme, de ses substances injectées, ... Beaucoup de choses restent sans réponse, manquent de développement ou ne semblent pas vraiment intéresser les scénaristes. Et dans un tel huis-clos psychologique, c’est un petit peu gênant, frustrant même. D’autant plus avec un sujet en or comme celui-là. En effet, un postulat alléchant de la sorte méritait bien plus de folie, d’ampleur et de maîtrise. Cela aurait pu déboucher sur un classique du film d’anticipation et on se retrouve avec une série B de luxe classique voire prévisible, qui ne surprend jamais jusque dans son dénouement. Bref, on peut circuler, il n’y a pas grand-chose à voir, malheureusement.
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"Spiderhead" est un film qui m'a bien plus. L'histoire est intéressante et intriguant dans la première partie de film, puis la suite toune un peu en rond. Les acteurs jouent très bien et j'ai bien aimé le décor.
Redzing
Afin de bénéficier de remises de peines, des prisonniers acceptent de servir de cobaye pour tester des drogues altérant les émotions. Toute l'action de "Spiderhead" se déroulera ainsi dans cette prison high tech et détendue, qui ressemble plutôt à un camp de vacances pour hipsters. Le cinéma de Joseph Kosinski se résume souvent à de belles images pour un scénario creux ou déjà-vu. Et bien c'est exactement ce qui ressort ici. La photographie est jolie, l'imagerie est soignée. Et l'intrigue n'a pas grand attrait. Il faut bien attendre la moitié du film pour que démarre un peu de tension, et celle-ci va demeurer assez molle, jusqu'à une révélation finale téléphonée. Ce ne sont pas les acteurs qui sont en cause. Miles Teller donne le change en protagoniste qui cherche la rédemption (bien que l'on se demande pourquoi il se trouve auprès de détenus au passé bien plus chargé que lui, légalement parlant). Chris Hemsworth s'amuse beaucoup en jouant ce savant/directeur de prison faussement affable, au grand sourire, et qui à l'occasion teste ses produits (l'acteur se laisse ainsi aller à de brusques changements d'expressions). Le souci est d'une part le choix esthétique. Présenter une prison comme un centre décomplexé, sans garde, avec un lumière chaleureuse et une BO pop planante, crée effectivement un décalage avec les prisons habituelles au cinéma. Et cela permet d'anticiper que le directeur est un grand hypocrite. Mais ce décalage n'amène jamais de tension. Le film aurait gagné à avoir une atmosphère plus gênante, ou plus menaçante. D'autre part, clairement le scénario n'a pas grand chose à raconter. 1h47 (enfin 1h37 sans le générique) c'est trop long pour une intrigue aussi plate. Dont les réflexions sont en prime survolées. En fait ce pitch aurait davantage convenu à un épisode de Black Mirror, plus sombre et plus court. Mais c'est trop léger pour une "grosse" sortie Netflix.
Yetcha
Une belle idée, une réalisation efficace, une critique du système de la recherche pharmaceutique avec les conflits d'intérêts et un duo d'acteurs puissants. Pourtant, ce n'est pas non plus le blockbuster psychiatrique que j'attendais, surtout piur un tel réalisateur.
ferdinand75
Un scénario qui se voulait original , mais bien plat au final et pas très crédible. Une réalisation bien fade , et une suspens qui ne prend pas ? Du coup on s'ennuie très vite , même si les deux acteurs font tout leur possible .
Ti Nou
À l’instar d’autres productions Netflix avec des noms prestigieux derrière la caméra, "Spiderhead" ne restera qu’une œuvre mineure et oubliable dans la filmographie de son réalisateur. Le thème de la gestion des émotions est abordé de façon superficielle dans un film plat.
On dirait que dernièrement le seul but de Chris Hemsworth est de casser son image de Thor. Quitte à cabotiner à droite à gauche dans n'importe quel film où on le laisse faire.
On a ici une vague idée complètement bâclée qui donne finalement un truc sans intérêt.
On a ici une vague idée complètement bâclée qui donne finalement un truc sans intérêt.
Une prison d'un nouveau genre enferme un savant fou avec des cobayes plus ou moins volontaires pour faire des expériences. Voilà le script prometteur de ce Spiderhead. Il faut dire qu'on est vite intrigué par cette histoire, par cette prison et ses occupants plutôt heureux. Il y a un vrai potentiel dans ce script et des possibilités presque infinies avec les nombreuses doses existantes aux effets variés. Malheureusement, malgré tout le potentiel promis, le film se termine mal, le scénario n'exploite pas tout son potentiel malgré un twist surprenant. On attendait tellement de cette histoire qu'on reste déçu du dénouement.
Encore une production Netflix bien vendue au spectateur (la note sur la plateforme est de 98%!!!) et bâchée par les spectateurs d'Allociné. Alors ce n'est certes pas mauvais en soi, car les idées de la prison semi-ouverte, du consentement des prisonniers ou des capsules colorées sont vraiment bonnes mais que c'est long! Le film ne dure qu'un peu plus d'1H30, mais on sent bien le poids du temps qui passe, malgré une interprétation plus que raisonnable. La réalisation manque de fraîcheur, avec une histoire comme ça, on s'attend vraiment à une mise en scène ultra-décomplexée, ce qui est loin d'être le cas. Un bon film SF, tout juste, qui manque de profondeur et d'originalité pour côtoyer les sommets.
Mieux que ce que j'aurai cru vu les critiques générales qui le descende
J'ai passé un bon moment même si le film n'est qu'en huit-clos
J'ai passé un bon moment même si le film n'est qu'en huit-clos
J'adore l'acteur Chris Hemsworth. Ça fait bizarre de le voir dans un rôle de "
spoiler:
méchant
" mais je retrouve son humour malgré tout.
J'étais contente aussi de retrouver l'acteur Miles Teller, j'ai bien aimé son rôle. Il a bien joué avec Chris Hemsworth.
Sinon le film était pas mal.
" mais je retrouve son humour malgré tout.
J'étais contente aussi de retrouver l'acteur Miles Teller, j'ai bien aimé son rôle. Il a bien joué avec Chris Hemsworth.
Sinon le film était pas mal.
Jérémie
Qui veut un navet inutilement long ? Vous serez servi avec ce Spiderhead, qui pourtant promet de belles choses. Un démarrage assez sympa, un bon dynamisme et une bonne présentation des acteurs et de leurs enjeux.
Le scénario se dévoile, le flou sur "l'utilité finale" des drogues est encore épais, et maintient donc l'intérêt du film. Tout est un peu lent, mais ça reste acceptable tant que le film pose ses piliers.
Et puis la grande révélation, celle qui va faire basculer le film, augmentant son rythme et perdant son ambition. Pour au final ne retrouver qu'un long métrage lambda, creux et sans finalité.
Le scénario se dévoile, le flou sur "l'utilité finale" des drogues est encore épais, et maintient donc l'intérêt du film. Tout est un peu lent, mais ça reste acceptable tant que le film pose ses piliers.
Et puis la grande révélation, celle qui va faire basculer le film, augmentant son rythme et perdant son ambition. Pour au final ne retrouver qu'un long métrage lambda, creux et sans finalité.
Il y avait tant à faire, il y avait un réalisateur, un bon casting, un sujet original et pourtant... facilité et ennui priment. Et la fin tient de la (mauvaise) blague. Encore une belle proposition foirée, merci Netflix.
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