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34 critiques presse
Bande à part
par Jo Fishley
POUR : Du projet musical des Sparks, Leos Carax fait un grand film de cinéma, splendide et déchirant, sur l’enfance brisée.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Ce film paradoxal et protéiforme est à la fois cruel et plein d’entrain.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Œuvre démesurée, d’un lyrisme absolu, Annette rejoue une forme moderne de tragédie, dans laquelle la passion et la jalousie sont les forces immaîtrisables des grands malheurs et des grands crimes.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Annette marquera sans doute une date dans la filmographie de Leos Carax, comme une réussite dans l’art délicat du film musical, mais aussi comme une œuvre à part entière.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
LCI
par Jérôme Vermelin
Grisant, magique, cruel et toujours captivant, Annette est sans doute le film le plus accessible de son auteur. L’un des plus maîtrisés aussi. Un prix de la mise en scène, au minimum, lui tend les bras.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
Il y a tellement de ferveur dans le geste de Carax, d’invitation à aimer et à sublimer, qu’on ne peut refuser d’embarquer à bord de ce chef-d’œuvre.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Cette concordance est d’autant plus étonnante que Leos Carax ne renonce pas pour autant à sa signature personnelle avec ce film presque entièrement chanté.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Une comédie musicale déchirante et inspirée.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un incroyable moment de cinéma.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Pour cet autoportrait de l'artiste en ogre, le cinéaste a puisé dans les drames de sa vie pour un réquisitoire féroce contre lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Annette parvient à ne s’abîmer ni dans le cynisme ni dans le désespoir. [...] Par le souffle de la mise en scène, d’abord, qui parvient à rester en équilibre, tel un funambule, entre le grotesque et le sublime [...]. Souffle qui n’aplatit pas les enjeux du film mais, tout à l’opposé, met en relief des secrètes virtualités, des promesses cachées qu’il nous incombe d’investir.
La critique complète est disponible sur le site Transfuge
Télérama
par Laurent Rigoulet
Un opéra rock flamboyant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Thomas Bonicel
Carax ouvre le Festival de Cannes avec maestria, en proposant le spectacle ultime pour retourner en salle de cinéma, grâce à une expérience sensitive sans équivalent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Une comédie musicale brillante et flamboyante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Renan Cros
La rencontre furibarde entre Sparks et Leos Carax, de l’opéra-cinéma radical, déroutant, dont la noirceur et la beauté hantent longtemps.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
D'une richesse plastique infinie, le nouveau film de Leos Carax explore l'âme brisée d'un artiste et amant raté, avec une intelligence et une énergie poétique uniques.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Sophie Grassin
Geste artistique incontestable, opéra baroque hanté par le fantôme de Hollywood et le spectre de #Metoo, « Annette », qui file un bon coup de boule aux films trop sages, brille comme un soleil noir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Christophe Caron
C’est étourdissant et kitsch. Toxique et naïf. On regrette peut-être une conclusion frustrante, comme la sensation qu’il manque un chapitre à cette fresque bousculée. En tout cas, dans ses boursouflures comme dans ses coups de génie ravageurs, Annette célèbre avec éclats le grand retour du cinéma à Cannes (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Yves Jaeglé
POUR : « Annette » bouleverse parce que ce film franco-américain chanté en anglais a les moyens d’une grosse production et la poésie d’un artiste solitaire. Qui signe aussi le grand film de l’ère #MeToo, de la manière insidieuse avec laquelle la violence surgit à l’intérieur d’un homme.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Opéra rock étonnant, « Annette » décrit les coulisses poisseuses du monde du spectacle tout en célébrant les artistes qui en jaillissent. Le réalisateur des « Amants du Pont-Neuf » se met au service du mythique groupe californien Sparks pour signer un film sombre et singulier qui ouvre le Festival de Cannes.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Une exultation de cinéma d’une audace et d’une invention ébouriffantes, mais dans laquelle gît une noirceur parfois perturbante.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester et Elisabeth Franck-Dumas
L’étrange blockbuster d’auteur mute en une singulière et entêtante expérimentation sur la dose d’abomination soluble dans les conventions du spectacle et la féerie pop – au risque de la brûlure, de la difformité, de la défiguration.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Adrien Gombeaud
Annette n’est que le sixième long métrage de Carax en trente-sept ans. Il est peut-être le premier dont on se souviendra en entier.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Film d’ouverture du festival de Cannes, le nouveau Leos Carax, Annette, est un séduisant OVNI, à ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L'Humanité
par Michaël Mélinard
Le cinéma de Carax est sensitif, excessif, onirique, unique, expérimental et parfois raté. Annette est un peu de tout cela. Des fulgurances, des idées géniales et un kitsch assumé qui parfois fait pschitt.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Stéphane Dreyfus
Le film, qui aurait gagné à être resserré, finit tout de même par émouvoir grâce à une idée de mise en scène du personnage d’Annette que le réalisateur a prié de ne pas révéler pour ne pas gâcher la surprise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
C’est magnifiquement filmé, un plaisir de cinéma toujours inventif, mais il faut accepter de se laisser porter par cette longue histoire qui tarde à livrer ses émotions.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
“Annette” a de la fougue et du style, mais, asphyxié par celle des Sparks, le film peine un peu à trouver sa musique à lui. Manquent, entre deux chansons, l’art du dialogue et du silence propres à Carax.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Thierry Cheze
Avec Annette, pro et anti Carax devraient donc camper sur leur position. Mais le spectacle vaut le coup d'oeil et n'a pas volé son invitation dans la compétition cannoise.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Plus grand public que son précédent film, « Holy Motors », « Annette » est un hommage au cinéma, à sa puissance poétique. Une célébration bienvenue après la longue éclipse sanitaire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par Isabelle Danel
CONTRE : L’alchimie ne prend pas, c’est chic, beau parfois, et un peu toc aussi.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Josué Morel
Il ne faut pas s’y tromper : cet aspect brinquebalant, plutôt que de témoigner d’une prise de risque, nourrit l’impression d’assister à un « grand film malade » préfabriqué qui cherche à tourner son impuissance en force créatrice.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Renaud Baronian
CONTRE : Rien à dire sur la musique, beaucoup de chansons cassent la baraque, même si quelques textes s’avèrent totalement benêts. Le problème vient de l’interprétation : Adam Driver chante comme une casserole, la plupart du temps un ton trop haut…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Projetée mardi soir en ouverture du Festival de Cannes, la comédie musicale très attendue de Leos Carax fait pschitt. Son emphase et son absence de propos confinent souvent au ridicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Bande à part
POUR : Du projet musical des Sparks, Leos Carax fait un grand film de cinéma, splendide et déchirant, sur l’enfance brisée.
Cahiers du Cinéma
Ce film paradoxal et protéiforme est à la fois cruel et plein d’entrain.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Œuvre démesurée, d’un lyrisme absolu, Annette rejoue une forme moderne de tragédie, dans laquelle la passion et la jalousie sont les forces immaîtrisables des grands malheurs et des grands crimes.
Franceinfo Culture
Annette marquera sans doute une date dans la filmographie de Leos Carax, comme une réussite dans l’art délicat du film musical, mais aussi comme une œuvre à part entière.
LCI
Grisant, magique, cruel et toujours captivant, Annette est sans doute le film le plus accessible de son auteur. L’un des plus maîtrisés aussi. Un prix de la mise en scène, au minimum, lui tend les bras.
La Septième Obsession
Il y a tellement de ferveur dans le geste de Carax, d’invitation à aimer et à sublimer, qu’on ne peut refuser d’embarquer à bord de ce chef-d’œuvre.
Le Dauphiné Libéré
Cette concordance est d’autant plus étonnante que Leos Carax ne renonce pas pour autant à sa signature personnelle avec ce film presque entièrement chanté.
Le Monde
Une comédie musicale déchirante et inspirée.
Ouest France
Un incroyable moment de cinéma.
Paris Match
Pour cet autoportrait de l'artiste en ogre, le cinéaste a puisé dans les drames de sa vie pour un réquisitoire féroce contre lui-même.
Transfuge
Annette parvient à ne s’abîmer ni dans le cynisme ni dans le désespoir. [...] Par le souffle de la mise en scène, d’abord, qui parvient à rester en équilibre, tel un funambule, entre le grotesque et le sublime [...]. Souffle qui n’aplatit pas les enjeux du film mais, tout à l’opposé, met en relief des secrètes virtualités, des promesses cachées qu’il nous incombe d’investir.
Télérama
Un opéra rock flamboyant.
aVoir-aLire.com
Carax ouvre le Festival de Cannes avec maestria, en proposant le spectacle ultime pour retourner en salle de cinéma, grâce à une expérience sensitive sans équivalent.
20 Minutes
Une comédie musicale brillante et flamboyante.
CinemaTeaser
La rencontre furibarde entre Sparks et Leos Carax, de l’opéra-cinéma radical, déroutant, dont la noirceur et la beauté hantent longtemps.
Ecran Large
D'une richesse plastique infinie, le nouveau film de Leos Carax explore l'âme brisée d'un artiste et amant raté, avec une intelligence et une énergie poétique uniques.
L'Obs
Geste artistique incontestable, opéra baroque hanté par le fantôme de Hollywood et le spectre de #Metoo, « Annette », qui file un bon coup de boule aux films trop sages, brille comme un soleil noir.
La Voix du Nord
C’est étourdissant et kitsch. Toxique et naïf. On regrette peut-être une conclusion frustrante, comme la sensation qu’il manque un chapitre à cette fresque bousculée. En tout cas, dans ses boursouflures comme dans ses coups de génie ravageurs, Annette célèbre avec éclats le grand retour du cinéma à Cannes (...).
Le Parisien
POUR : « Annette » bouleverse parce que ce film franco-américain chanté en anglais a les moyens d’une grosse production et la poésie d’un artiste solitaire. Qui signe aussi le grand film de l’ère #MeToo, de la manière insidieuse avec laquelle la violence surgit à l’intérieur d’un homme.
Les Echos
Opéra rock étonnant, « Annette » décrit les coulisses poisseuses du monde du spectacle tout en célébrant les artistes qui en jaillissent. Le réalisateur des « Amants du Pont-Neuf » se met au service du mythique groupe californien Sparks pour signer un film sombre et singulier qui ouvre le Festival de Cannes.
Les Inrockuptibles
Une exultation de cinéma d’une audace et d’une invention ébouriffantes, mais dans laquelle gît une noirceur parfois perturbante.
Libération
L’étrange blockbuster d’auteur mute en une singulière et entêtante expérimentation sur la dose d’abomination soluble dans les conventions du spectacle et la féerie pop – au risque de la brûlure, de la difformité, de la défiguration.
Positif
Annette n’est que le sixième long métrage de Carax en trente-sept ans. Il est peut-être le premier dont on se souviendra en entier.
Rolling Stone
Film d’ouverture du festival de Cannes, le nouveau Leos Carax, Annette, est un séduisant OVNI, à ne pas manquer.
L'Humanité
Le cinéma de Carax est sensitif, excessif, onirique, unique, expérimental et parfois raté. Annette est un peu de tout cela. Des fulgurances, des idées géniales et un kitsch assumé qui parfois fait pschitt.
La Croix
Le film, qui aurait gagné à être resserré, finit tout de même par émouvoir grâce à une idée de mise en scène du personnage d’Annette que le réalisateur a prié de ne pas révéler pour ne pas gâcher la surprise.
Le Journal du Dimanche
C’est magnifiquement filmé, un plaisir de cinéma toujours inventif, mais il faut accepter de se laisser porter par cette longue histoire qui tarde à livrer ses émotions.
Les Fiches du Cinéma
“Annette” a de la fougue et du style, mais, asphyxié par celle des Sparks, le film peine un peu à trouver sa musique à lui. Manquent, entre deux chansons, l’art du dialogue et du silence propres à Carax.
Première
Avec Annette, pro et anti Carax devraient donc camper sur leur position. Mais le spectacle vaut le coup d'oeil et n'a pas volé son invitation dans la compétition cannoise.
Sud Ouest
Plus grand public que son précédent film, « Holy Motors », « Annette » est un hommage au cinéma, à sa puissance poétique. Une célébration bienvenue après la longue éclipse sanitaire.
Bande à part
CONTRE : L’alchimie ne prend pas, c’est chic, beau parfois, et un peu toc aussi.
Critikat.com
Il ne faut pas s’y tromper : cet aspect brinquebalant, plutôt que de témoigner d’une prise de risque, nourrit l’impression d’assister à un « grand film malade » préfabriqué qui cherche à tourner son impuissance en force créatrice.
Le Parisien
CONTRE : Rien à dire sur la musique, beaucoup de chansons cassent la baraque, même si quelques textes s’avèrent totalement benêts. Le problème vient de l’interprétation : Adam Driver chante comme une casserole, la plupart du temps un ton trop haut…
Le Figaro
Projetée mardi soir en ouverture du Festival de Cannes, la comédie musicale très attendue de Leos Carax fait pschitt. Son emphase et son absence de propos confinent souvent au ridicule.