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pat T.
16 abonnés
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3,5
Publiée le 19 octobre 2019
malgrés de gros a priori j 'ai plutôt bien aimé ça casse peut etre pas trois pattes à un canard mais c' est plutôt bien fait avec il est vrai quelques facilitées en tout cas ça a le mérite d exister et de faire" connaitre " les débuts du foot féminin ce qui en 1970 devait etre quelque chose
Allez les filles ! L'histoire de la première équipe de football féminin a tout pour faire jaser les mauvaises langues qui adorent voir ces messieurs se rouler dans l'herbe, mais ne supportent pas de voir une dame frapper dans le ballon, et le film "Comme des garçons" dira "zut" à ces derniers, et accueillera avec plaisir (et quelques rires) les autres plus ouverts d'esprit. Max Boublil a encore énormément de mal à me convaincre (purement subjectif) en tant qu'acteur, mais force est de constater qu'il y met du sien, et l'équipe de footballeuses avec lui comporte un lot de femmes toutes uniques : la bourrine, la plus raffinée, celle qui ne peut rien faire sans l'autorisation de son rustre de mari (à qui on collerait bien quelques beignes), celle qui parle (hurle) au nom de toutes... On les adore déjà. Et les voir jouer ne permet pas forcément à ceux et celles qui n'aiment pas le foot de renouer avec ce sport, mais on se prend à apprécier les matches disputés par l'équipe. Mais bien sûr on connaît la fin, belle histoire oblige. Assez instructif, parfois drôle, le film ravira ceux qui ont l'esprit ouvert.
Décor irréprochable des années 70. Bien cadré et coloré. Techniquement déjà une réussite.
L'histoire vraie et bien jouée de cette reconnaissance du foot féminin par la fédération masculine donne à ce film un intérêt grandissant au fil du temps.
Ce film aurait pu et aurait dû être très bon s’il n’avait pas été gâché par des accessoiristes, costumieres, coiffeurs complètement à côté de la plaque... soit parce qu’ils sont trop jeunes dans le métier, soit parce qu’ils ont pris ce film à la légère. Certains dialogues ne correspondent pas du tout à l’époque et on peut même entendre à certains moment du film des intonations limite wesh wesh de la part de certaines comédiennes. Dommage car le sujet était génial.
Une comédie que j’ai trouvé assez gentille dans le bon et mauvais sens du mot. Intéressant de voir le ridicule de la situation de ses femmes qui veulent juste jouer au foot dans les années 60 en France (ça n’est pas si éloigné que ça de nous finalement). Le film fait le choix de la caricature en présentant des personnages qui sont des archétypes, alors des fois ça fonctionne très bien, par moment c’est beaucoup plus limite. Comme la direction d’acteurs est assez inégale on a un rendu un peu curieux. J’en prend pour exemple le personnage de Max Boublil (dommage quand même que le rôle principal d’un film qui se veut féministe soit un homme)décrit en mâle alpha qui se fait des brushings, est mal à l’aise si une femme lui fait des avances, par moment c’est drôle et parfois il joue carrément faux, c’est le cas aussi de Vanessa Guide et d’autres acteurs du casting. En revanche bravo au chef décorateur pour le détail des objets présent à l’écran ça sent vraiment les années 60. Ce n’est pas un grand film, ça tombe vraiment sans la facilité sur la fin, mais son aspect sympathique réussi à sauver l’essentiel.
Une jolie distribution malheureusement gâchée par un scénario fade et une réalisation vieillotte. On attendait mieux pour rendre hommage à ces pionnières du foot féminin.
je ne suis pas d'accord avec la plus part des critiques, ce film est bien fait , il montre que les femmes ont autant le droit que les hommes en matières de sport et autres mais le film parle de foot et le réalisateur a montrer les points positifs si je puis je dire du football féminin même si par rapport à l'inégalité entre les hommes et les femmes concernant ce sujets il manque plusieurs choses par rapport à ce sujets
Convenu mais dans l'air du temps, comment ne pas apprécier les changements de mentalités en cette vieille époque. La rétrospective est souvent trop appuyée et la musique trop forte mais les filles sans max sont, elles, fort sympathiques.
L’idée de Julien Hallard était plutôt louable : relater la (ré)apparition des équipes de football féminines en France à la fin des années 60. On n’y pense pas souvent mais le foot féminin, qui existait au 19ème siècle malgré - déjà! - nombre de critiques sur son indécence et son inanité, avait totalement disparu du paysage sportif durant l’essentiel du 20ème siècle : il aura fallu attendre les années 70 et la pugnacité de joueuses amateur, jusqu’alors obligées de quémander une autorisation maritale pour pouvoir courir en short après un ballon, pour qu’il soit reconnu comme une discipline sportive à part entière. Si le foot ne vous intéresse pas beaucoup - de toute façon, ce n’est pas comme si ‘Comme des garçons’ faisait preuve d’un quelconque génie pour filmer les scènes footbalistiques - il vous restera toujours ce petit voyage temporel en direction d’une époque pas si lointaine où, en France (et en Belgique aussi d’ailleurs), la femme mariée était toujours considérée comme mineure pour des actes aussi ordinaires qu’ouvrir un compte en banque ou accepter un emploi. Le film dévoile effectivement, parfois de façon humoristique, ces années où règnait un machisme ordinaire et “bienveillant�, où chaque chose devait rester à la place qui lui avait été assignée : la volonté de ces onze joueuses d’être reconnues en tant que pratiquantes d’un sport est perçue, au mieux, comme absurde et saugrenue, au pire comme une menace directe contre une citadelle de la masculinité. D’envergure modeste, pas spécialement inspiré, ‘Comme des garçons’ aurait tout de même pu remplir sa petite mission d’éducation à l’histoire de l’égalité des droits mais il y a tout de même un truc qui me chiffonne : je n’ai aucune connaissance du dossier qui me permettrait d’affirmer avec certitude que le scénario du film n’est pas conforme aux faits...mais il est tout de même symptomatique qu’à l’écran, ce qui surnage de cette histoire d’empowerment féminin, ce ne sont pas les joueuses, dont on peine à cerner et à se souvenir des personnalités (à une exception près) mais la gueule enfarinée de Max Boublil, séducteur à peine repenti et coach improvisé pour l’équipe...
Pour son premier long-métrage, Julien Hallard a eu une belle idée - du moins sur le papier - en adaptant l’histoire vraie de la création de l’équipe féminine de football de Reims. Si Comme des garçons a su réunir une belle bande de sportives, on regrette que celle-ci n’ait pas été davantage mise en valeur pour nous faire passer un bon moment. Au lieu de ça, le film s’attarde sur une relation entre Vanessa Guide & Max Boublil qui se montre loin d’être indispensable au milieu d’une histoire bien trop conventionnelle. Cela partait d’un bon sentiment de vouloir rendre hommage à cette équipe féminine rémoise de football mais cette comédie ne nous emballe à aucun moment laissant même place parfois à de l’ennui.
Super film, avec la bande annonce je m'attendais à moins bien, vraiment pas déçu! Max Boublil et son super tic de cheveux est génial dans ce rôle, il apporte juste la dose d'humour qu'il fallait au film! Les actrices sont très bonnes, les acteurs aussi. L'histoire est très bien raconté. Bravo, très bon moment! Il fait du bien au féministe! Je ne mettait pas rendu compte que le football féminin existait depuis 40 ans seulement!
« Comme des Garçons » raconte l’histoire presque vraie du journaliste sportif de l’Union de Reims qui en 1968, passa une annonce pour organiser un match de football féminin. L’équipe montée à cette occasion allait devenir la pionnière du renouveau du football féminin hexagonal. Il faut savoir qu’à cette époque, les filles ne jouaient pas au football et la Fédération Française de Football ne délivrait pas de licences féminines. Max Boubil, Vanessa Guide et les autres comédiennes vont décrire avec une énergie fougueuse ce combat pour l’égalité. Julien Hallard signe une comédie hilarante tout en délivrant un message fort. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
Une petite comédie sympathique mais sans plus. Elle vaut surtout pour son casting dynamique et ses quelques vannes sur les femmes symptomatiques d'une époque pas si lointaine. On les prend aujourd'hui au second degré même si en y réfléchissant c'est assez effrayant d'imaginer qu'elles n'étaient pas vraiment pensées comme telles à l'époque.
Un divertissement agréable qui a, en plus, le mérite d'être ouvertement féministe. De toute façon, un film où on entend les chansons "I'm so lonesome I could cry" (de Hank Williams) et "Hiopy, hippy shake" ne pouvait pas être mauvais !