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galau7
30 abonnés
719 critiques
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2,0
Publiée le 1 mai 2018
Sur une belle idée et avec un faible aperçu de ce qu’a pu être la solidarité de cette équipe pionnière, le film se traîne, portant à bout de bras un MB surjoueur. Dommage, ces filles méritaient mieux.
Il faut absolument laisser 100 caractères pour dire que 75% des spectateurs classant ce film dans la catégorie chef d'oeuvre n'ont jamais eu la moindre autre activité sur ce site.
Bonne petite comédie française, divertissante même si on n'aime pas spécialement le football, contrairement à certains moi max Boublil me fait mourir de rire et Vanessa Guide est charmante comme à chaque fois, juste une légère frustration à la fin car on aurait aimé en voir plus, mais bon les actrices ne sont pas de vrais joueuse de foot donc ça se comprend, bel hommage à l'équipe féminine de Reims de 1969...
Un divertissement agréable qui a, en plus, le mérite d'être ouvertement féministe. De toute façon, un film où on entend les chansons "I'm so lonesome I could cry" (de Hank Williams) et "Hiopy, hippy shake" ne pouvait pas être mauvais !
Une petite comédie sympathique mais sans plus. Elle vaut surtout pour son casting dynamique et ses quelques vannes sur les femmes symptomatiques d'une époque pas si lointaine. On les prend aujourd'hui au second degré même si en y réfléchissant c'est assez effrayant d'imaginer qu'elles n'étaient pas vraiment pensées comme telles à l'époque.
Tirée d'une histoire vraie, une comédie gentillette et très clichée autour d'un combat contre les préjugés à travers la création à la fin des années 60 d'une équipe féminine de foot. Ça aurait fait un bon téléfilm sur France 2.
C’est une comédie sociale rafraîchissante menée par Max Boublil en pleine forme et Vanessa Guide ingénue… mais pas trop. La fin des années 60 et son machisme moustachu est décrite avec finesse, l’humour fait mouche et on prend facilement position pour cette équipe déterminée et touchante.
Je n'aime pas du tout le foot. MAIS j'ai beaucoup aimé ce bel hommage à celles qui ont dû se battre et affronter les mentalités arriérées et tellement machistes de l'époque. Jean-Christophe Bouzy et Julien Hallard ont vraiment fait du très bon travail. Tout mon respect au Football Club Féminin Reims de 1968 et à toutes ses pionnières sans qui rien n'aurait été possible.
« Comme des Garçons » raconte l’histoire presque vraie du journaliste sportif de l’Union de Reims qui en 1968, passa une annonce pour organiser un match de football féminin. L’équipe montée à cette occasion allait devenir la pionnière du renouveau du football féminin hexagonal. Il faut savoir qu’à cette époque, les filles ne jouaient pas au football et la Fédération Française de Football ne délivrait pas de licences féminines. Max Boubil, Vanessa Guide et les autres comédiennes vont décrire avec une énergie fougueuse ce combat pour l’égalité. Julien Hallard signe une comédie hilarante tout en délivrant un message fort. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
La réalisation est très "scolaire".On sent l'envie et l'application du réalisateur à nous raconter l'histoire 'vraie" de ce sport. Il a reconstitué parfaitement l"époque avec les décors, les costumes, les coiffures, les musiques et les moeurs. Une même implication dans les dialogues aurait été bienvenue
Au casting, Max Boublil et Vanessa Guide sont en haut de l'affiche. Je n'ai pas vraiment été convaincue par l'interprétation de Max Boublil, un manque de crédibilité.
Je trouve que le procédé récurrent tout au long du film de décalage entre l'image et le son est agaçant et n'apporte pas grand chose au comique. Par ailleurs, compte tenu du changement de nom du héros, on se demande ce qui relève de la fiction et du réel de l'histoire...
Allez les filles ! L'histoire de la première équipe de football féminin a tout pour faire jaser les mauvaises langues qui adorent voir ces messieurs se rouler dans l'herbe, mais ne supportent pas de voir une dame frapper dans le ballon, et le film "Comme des garçons" dira "zut" à ces derniers, et accueillera avec plaisir (et quelques rires) les autres plus ouverts d'esprit. Max Boublil a encore énormément de mal à me convaincre (purement subjectif) en tant qu'acteur, mais force est de constater qu'il y met du sien, et l'équipe de footballeuses avec lui comporte un lot de femmes toutes uniques : la bourrine, la plus raffinée, celle qui ne peut rien faire sans l'autorisation de son rustre de mari (à qui on collerait bien quelques beignes), celle qui parle (hurle) au nom de toutes... On les adore déjà. Et les voir jouer ne permet pas forcément à ceux et celles qui n'aiment pas le foot de renouer avec ce sport, mais on se prend à apprécier les matches disputés par l'équipe. Mais bien sûr on connaît la fin, belle histoire oblige. Assez instructif, parfois drôle, le film ravira ceux qui ont l'esprit ouvert.
Un film engagé et assez interessant au final, Max Boublil et Vanessa Guilde jouent tres bien sans forcement y crever l'ecran ! On est emporté par la bande de filles qui, elles, menent le film a la baguette ! On y rit peut etre peu, mais on s'y interesse car l'histoire nous intrigue meme si on devine le final (tres bien pour autant)
Convenu mais dans l'air du temps, comment ne pas apprécier les changements de mentalités en cette vieille époque. La rétrospective est souvent trop appuyée et la musique trop forte mais les filles sans max sont, elles, fort sympathiques.
Ce film qui prétend à certains moments retracer les premiers pas du football féminin en France est trompeur, il ne reprend que de grandes lignes de la vérité historique, ce n'est pas son but. Oui il nous retranscrit l'époque, cela le cinéma qui a les moyens sait le faire, mais pas dans les mentalités, il ne le fait que par des clichés et des caricatures qui ont une certaines originalité mais dont le but est de faire une comédie assez consensuelle et d'apparence féministe. D'apparence seulement car ce n'est pas non plus ce qui est recherché aussi parce que ce milieu du football français est toujours un des plus machiste qui soit. Un vrai film qui voudrait retracer la vraie histoire même s'il est difficile d'en resituer les détails aurait une autre allure, moins de caricatures et d'effets de manche, pas d'entraineur playboy, de déconfiture du Stade de Reims en 1969 et de joueuse vedette hyper forte.