AlloCiné
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Votre avis sur Comme des garçons ?
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Un film qui rappelle à quel point les mœurs de la société et la vision de la femme étaient encore ultra conservatrices il y a seulement 50 ans. Certes, étant trop jeune pour avoir connu l'époque, certains passages m'ont paru caricaturaux tellement les propos tenus par des hommes étaient dégradants pour les femmes; mais il est indéniable néanmoins que l'idée même de football féminin était vue comme une hérésie. Sur la forme, le scénario n'est pas extraordinaire (je ne sais pas à quel point le film raconte vraiment ce qui s'est produit) et j'ai trouvé Max Boubil un peu lourd (mais n'est ce pas à cause de son personnage ?). En tout cas une bonne piqure de rappel sur les progrès accomplis en quelques décennies.... et sur les progrès qu'il reste à accomplir (quand on voit les différences salariales homme/femme dans le foot qui sont abyssales, on peut supposer que l'égalité n'est pas pour tout de suite).
Très bonne comédie, des airs de OSS dans les dialogues et la reconstitution des années 60. Les comédiens sont tous excellents et l’air de rien, ce film dit bcp de choses sur le machisme et l’émancipation des femmes dans ces années-là.
L’idée de Julien Hallard était plutôt louable : relater la (ré)apparition des équipes de football féminines en France à la fin des années 60. On n’y pense pas souvent mais le foot féminin, qui existait au 19ème siècle malgré - déjà! - nombre de critiques sur son indécence et son inanité, avait totalement disparu du paysage sportif durant l’essentiel du 20ème siècle : il aura fallu attendre les années 70 et la pugnacité de joueuses amateur, jusqu’alors obligées de quémander une autorisation maritale pour pouvoir courir en short après un ballon, pour qu’il soit reconnu comme une discipline sportive à part entière. Si le foot ne vous intéresse pas beaucoup - de toute façon, ce n’est pas comme si ‘Comme des garçons’ faisait preuve d’un quelconque génie pour filmer les scènes footbalistiques - il vous restera toujours ce petit voyage temporel en direction d’une époque pas si lointaine où, en France (et en Belgique aussi d’ailleurs), la femme mariée était toujours considérée comme mineure pour des actes aussi ordinaires qu’ouvrir un compte en banque ou accepter un emploi. Le film dévoile effectivement, parfois de façon humoristique, ces années où règnait un machisme ordinaire et “bienveillant�, où chaque chose devait rester à la place qui lui avait été assignée : la volonté de ces onze joueuses d’être reconnues en tant que pratiquantes d’un sport est perçue, au mieux, comme absurde et saugrenue, au pire comme une menace directe contre une citadelle de la masculinité. D’envergure modeste, pas spécialement inspiré, ‘Comme des garçons’ aurait tout de même pu remplir sa petite mission d’éducation à l’histoire de l’égalité des droits mais il y a tout de même un truc qui me chiffonne : je n’ai aucune connaissance du dossier qui me permettrait d’affirmer avec certitude que le scénario du film n’est pas conforme aux faits...mais il est tout de même symptomatique qu’à l’écran, ce qui surnage de cette histoire d’empowerment féminin, ce ne sont pas les joueuses, dont on peine à cerner et à se souvenir des personnalités (à une exception près) mais la gueule enfarinée de Max Boublil, séducteur à peine repenti et coach improvisé pour l’équipe...
Très belle comédie surprenante , un flash back dans les années 70.
film vintage très réussi , l'histoire de la première équipe féminine de football en France , team éclectique et touchantes. du vécu.... !!
un coach Max Boublil comme journaliste et coach des filles.
Vanessa superbe et leader de cette équipe de filles en crampons , les CRAMPONNICHONS...
mention bravo au second rôle , Bruno Lochet , à l'affiche aussi dans " les Municipaux."
film vintage très réussi , l'histoire de la première équipe féminine de football en France , team éclectique et touchantes. du vécu.... !!
un coach Max Boublil comme journaliste et coach des filles.
Vanessa superbe et leader de cette équipe de filles en crampons , les CRAMPONNICHONS...
mention bravo au second rôle , Bruno Lochet , à l'affiche aussi dans " les Municipaux."
Passe le marketting et le plan média. Passe encore le film féministe à 2 balles dont les milieux bobos sont friands. Passe encore la comédie franchouillarde.... Mais Boublil, non! Nul dès les premières secondes, il pourrait aussi bien jouer un toréador madrilène qu'un capitaine de frégate Pakistanais, on ne verrait pas la différence! Il plombe à lui tout seul ce film qui aurait pu être une comédie gentillette. C'est pas possible, il est pote avec des producteurs lui, non?
Ce film est une très belle surprise. Drôle et touchant. On s'intègre instantanément à cette équipe de filles en quête d'égalité. La galerie de portrait dépeinte par le réalisateur est fraiche et inspirante. Des caractères bien trempés au service d'un objectif commun : pratiquer le sport qu'elles aiment malgré la pression sociale.
Le jeu des acteurs est toujours au service du collectif : juste et sans caricatures.
Tout en étant ouvertement un film engagé et féministe, il n'en reste pas moins léger et divertissant. Un équilibre subtil parfaitement conservé tout au long du récit de l'histoire de ces pionnières du ballon rond.
On sort de la séance avec la banane, tout en gardant à l'esprit le chemin qui reste à faire dans le combat des femmes pour leur émancipation.
Le jeu des acteurs est toujours au service du collectif : juste et sans caricatures.
Tout en étant ouvertement un film engagé et féministe, il n'en reste pas moins léger et divertissant. Un équilibre subtil parfaitement conservé tout au long du récit de l'histoire de ces pionnières du ballon rond.
On sort de la séance avec la banane, tout en gardant à l'esprit le chemin qui reste à faire dans le combat des femmes pour leur émancipation.
Reims à la fin des années 60 : un journaliste va créer la toute première équipe féminine de football en France.
Bien sûr, les mentalités de l'époque vont se heurter à ce projet.
J'ai aimé la précision et l'ambiance des années 1968-1969 très bien retranscrites à l'écran, la réalisation est vraiment bonne de ce côté là.
Par contre, deux points noirs atténuent franchement ma notation.
Tout d'abord, le personnage principal (le journaliste) que joue Max Boublil est totalement agaçant, antipathique, théâtral et en gros, ridicule.
Ensuite, l'histoire est globalement traitée comme une grosse farce avec des situations pas vraiment crédibles et des personnages caricaturaux au possible.
Je ressors donc déçu de ce long-métrage qui n'est finalement ni drôle ni passionnant alors qu'il y avait largement matière à faire quelque chose de plus abouti.
--> Site CINEMADOURG <--
Bien sûr, les mentalités de l'époque vont se heurter à ce projet.
J'ai aimé la précision et l'ambiance des années 1968-1969 très bien retranscrites à l'écran, la réalisation est vraiment bonne de ce côté là.
Par contre, deux points noirs atténuent franchement ma notation.
Tout d'abord, le personnage principal (le journaliste) que joue Max Boublil est totalement agaçant, antipathique, théâtral et en gros, ridicule.
Ensuite, l'histoire est globalement traitée comme une grosse farce avec des situations pas vraiment crédibles et des personnages caricaturaux au possible.
Je ressors donc déçu de ce long-métrage qui n'est finalement ni drôle ni passionnant alors qu'il y avait largement matière à faire quelque chose de plus abouti.
--> Site CINEMADOURG <--
Bonne surprise que ce film frais, sympathique et vraiment bien interprété notamment par Vanessa Guide, Max Boublil et Bruno Lochet. L'histoire est prenante et nous ramène à une époque révolue où la femme n'existait pas. C'est souvent drôle et prenant. Je recommande !
Comme des garçons
1h37 de souffrance
La fake news est réelle. A ceux qui ne regardent pas les bandes annonces, lorsque vous lisez "Max boublil est époustouflant" sur l'affiche du film, fuyez. Comme des garçons vous souffle les codes du navet dès les 5 premières minutes. Vous souffrirez de toutes les étapes du deuil.
Déni : non, Max Boublil ne peut pas feinter d'être un si mauvais acteur pendant plus de 99 Minutes.
Douleur : comment un film "moderne" peut légaliser sous prétexte de contexte historique des blagues vaseuses niveau Bigard misogynes que ton oncle cotorep rendrait plus marrantes. Ce genre de blagues qui autorisent tes handicapés sociaux à les répéter en soirée avec ses potes pour faire le coq (et qui rentrera finalement avec sa main droite
Colère : comment veulent-t'il nous faire croire que Max au charme d'andouillette peut se choper la meuf la plus bonne de toutes tes copines avec une drague sortie du Manuel des bolosses à Marseille saison 1
Marchandage : en même temps les 4 spectateurs qui rient sont responsables du financement de cette médiocrité.
Dépression : les acteurs ont regardé le film et ont quand même accepté sa diffusion. Malgré l'absence de programmation d'avant première. En même temps il n'y a que 18 personnes dans la salle.
Reconstruction : cette équipe de foot féminin a vraiment existé, c'est donc une histoire vraie.
Acceptation : les comédies françaises sont les bouses de l'humour français, la relève a 14 ans, nous n'avons que quelques années à tenir avant un renouveau.
On retiendra : qu'une bouteille de vin blanc et une planche mixte au pas sage peut vous faire oublier que vous avez perdu 1h35 de votre vie
1,75/20
1h37 de souffrance
La fake news est réelle. A ceux qui ne regardent pas les bandes annonces, lorsque vous lisez "Max boublil est époustouflant" sur l'affiche du film, fuyez. Comme des garçons vous souffle les codes du navet dès les 5 premières minutes. Vous souffrirez de toutes les étapes du deuil.
Déni : non, Max Boublil ne peut pas feinter d'être un si mauvais acteur pendant plus de 99 Minutes.
Douleur : comment un film "moderne" peut légaliser sous prétexte de contexte historique des blagues vaseuses niveau Bigard misogynes que ton oncle cotorep rendrait plus marrantes. Ce genre de blagues qui autorisent tes handicapés sociaux à les répéter en soirée avec ses potes pour faire le coq (et qui rentrera finalement avec sa main droite
Colère : comment veulent-t'il nous faire croire que Max au charme d'andouillette peut se choper la meuf la plus bonne de toutes tes copines avec une drague sortie du Manuel des bolosses à Marseille saison 1
Marchandage : en même temps les 4 spectateurs qui rient sont responsables du financement de cette médiocrité.
Dépression : les acteurs ont regardé le film et ont quand même accepté sa diffusion. Malgré l'absence de programmation d'avant première. En même temps il n'y a que 18 personnes dans la salle.
Reconstruction : cette équipe de foot féminin a vraiment existé, c'est donc une histoire vraie.
Acceptation : les comédies françaises sont les bouses de l'humour français, la relève a 14 ans, nous n'avons que quelques années à tenir avant un renouveau.
On retiendra : qu'une bouteille de vin blanc et une planche mixte au pas sage peut vous faire oublier que vous avez perdu 1h35 de votre vie
1,75/20
Malgré une idee qui pouvait laisser attendre une belle surprise, le film est nul et mal joué. Ce qui se veut drôle ne l’est pas, les acteurs principaux sont faux. A éviter.
Un ennui total. Rein ne se passe ... c'est convenu .. trop gros et assez mal joué . Bref rien d'interessant . A oublier
defleppard
Une réalisation avec une photographie très colorée façon bubblegum.....les vingt dernières minutes rehaussent l'ensemble du film.....3 étoiles.....!!!!!!
Un joli casting et une très fidèle retranscription des années 70 pour une comédie légère et sans prétention autour de l'émancipation des femmes, ici par le football avec les Filles de Reims. Sans être génial ni super drôle, le divertissement reste correct pour une soirée de pluie
Excellent ! Courrez y ! Ca fait du bien de voir une comédie intelligente, touchante et drôle ! Girls power
Vendredi 4 mai 2018: Nous avons passé un agréable moment devant cette comédie.
Une très belle entreprise qui naquit d'un concours de circonstances : un bel hommage rendu aux femmes.
Une très belle entreprise qui naquit d'un concours de circonstances : un bel hommage rendu aux femmes.
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