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23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Il ferait sans doute une drôle de tête, Karl Marx, s'il se voyait incarné par August Diehl dans "Le Jeune Karl Marx" de Raoul Peck. Le réalisateur de "I Am Not Your Negro" suit quatre années de la vie du philosophe, de 1844 à 1848, avec l'aide de Pascal Bonitzer, qui a coécrit ce film captivant avec lui.
CNews
par La Rédaction
Bien qu'ayant une approche quasi-documentaire, ce biopic n'en recèle pas moins une âme cinématographique et s'impose comme une œuvre pédagogique indispensable.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film historique passionnant, romanesque et politique. Brillant sans être didactique.
L'Humanité
par François de Trincamp
Le pari est gagné : montrer de façon captivante la genèse d’une pensée révolutionnaire aux prises avec l’arbitraire et l'exploitation.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une évocation sobre, qui accorde ce qu’il faut à la reconstitution d’époque et à la vie personnelle des protagonistes, mais qui se concentre surtout sur le message politique et qui en montre l’importance dans le contexte social du temps, mais aussi dans ses prolongements historiques.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Plus qu’un biopic : une leçon d’histoire humaine et politique.
Positif
par Eithne O'Neill
Le but affirmé de Peck est de rendre ces hommes bien vivants au lieu d'en faire des icônes. En effet, le film, aussi didactique et classique que soit son esthétique, avec légendes et structure chronologique bâtie sur un réalisme visuel, réussit par la fougue de ces penseurs idéalistes, par le tempo du montage, par un scénario intelligent signé Pascal Bonitzer.
Télérama
par Samuel Douhaire
August Diehl et Stefan Konarske (formidables l’un et l’autre) interprètent les deux révolutionnaires en débatteurs rompus à toutes les subtilités de la dialectique, convaincus de leur supériorité, voire même arrogants.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Raoul Peck n’a jamais cherché à établir un objet de propagande, on ne peut donc pas lui reprocher ce point. Il est cependant impossible de nier les caractères humaniste et moderne qu’il parvient à insuffler à cette révolte sociale qui couve depuis la Révolution industrielle. L’espoir est là, à chacun de s’y accrocher s’il veut y croire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Bombarda
Le portrait d’une jeunesse largement idéaliste qui fait beaucoup défaut à notre époque. Inspiré et inspirant.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
Le film s’en trouve, tour à tour, trop joliment sentimental et trop sèchement discursif : il manque ici un souffle de vie qui ferait du communisme une manière de sentir le monde au cinéma, et non seulement de le déchiffrer – aussi nécessaire cette tâche critique soit-elle.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Cette fresque historique aurait pu tomber dans le didactisme historique et la reconstitution figée. Il n'en est rien, même si le cahier des charges pédagogique du projet, en dépit des efforts de la mise en scène, des scénaristes et des comédiens, bride un peu le résultat final.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Ce petit rappel historique ne manque pas d’intérêt en soi et les constats d’hier résonnent encore, d’une manière ou d’une autre, avec les réalités d’aujourd’hui. Pourtant, le choix que Raoul Peck fait d’un film en costumes à la réalisation académique, n’aide pas à cette mise en perspective.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
Classique et honnête.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Tout en prenant le temps de filmer les joutes verbales entre les deux penseurs, le réalisateur haïtien réussit à mettre du romanesque dans ce biopic à la mise en scène élégante.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Le cinéaste Raoul Peck signe une vivifiante évocation de la jeunesse de l’auteur du "Capital".
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Renaud Baronian
Le film, intéressant, balance entre la vie parisienne, mouvementée, de Marx, sa femme Jenny et d’Engels, et les discussions théoriques des jeunes révoltés.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Après le succès de "I am not your negro" qui revenait sur les luttes sociales et politiques afro-américaines, Raoul Peck revisite avec rigueur l'origine de la révolte ouvrière en s'attaquant aux écrits d'un autre mythe (avant le mythe), sans toutefois échapper aux pièges de la reconstitution historique didactique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Eric Vernay
Avec ce carburant de buddy-movie, Peck trouve un bel équilibre dramaturgique, loin des sempiternels écueils du biopic (violons souffreteux, enluminures hagiographiques), sans qu'on reste non plus dans la reconstitution amidonnée : l’indignation sourd ici derrière chaque plan.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Le cinéaste se laisse aller à un classicisme un rien désuet. (...) Le biopic n'en reste pas moins historiquement passionnant.
Critikat.com
par Josué Morel
Il convient de questionner la démarche de Peck, qui en cherchant à déconstruire le biopic reproduit pleinement des schémas de situations et des processus de montage propres à son vocabulaire.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
A fuir notamment, la vilaine photo numérique, le jeu ampoulé des acteurs et nombre de scènes inutiles... Tourné en Belgique, ce téléfilm balourd est coproduit par Robert Guédiguian.
Libération
par Marcos Uzal
Excessivement didactique, cette plongée dans la jeunesse du philosophe passe à côté de sa démonstration politique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
Il ferait sans doute une drôle de tête, Karl Marx, s'il se voyait incarné par August Diehl dans "Le Jeune Karl Marx" de Raoul Peck. Le réalisateur de "I Am Not Your Negro" suit quatre années de la vie du philosophe, de 1844 à 1848, avec l'aide de Pascal Bonitzer, qui a coécrit ce film captivant avec lui.
CNews
Bien qu'ayant une approche quasi-documentaire, ce biopic n'en recèle pas moins une âme cinématographique et s'impose comme une œuvre pédagogique indispensable.
Femme Actuelle
Un film historique passionnant, romanesque et politique. Brillant sans être didactique.
L'Humanité
Le pari est gagné : montrer de façon captivante la genèse d’une pensée révolutionnaire aux prises avec l’arbitraire et l'exploitation.
Le Dauphiné Libéré
Une évocation sobre, qui accorde ce qu’il faut à la reconstitution d’époque et à la vie personnelle des protagonistes, mais qui se concentre surtout sur le message politique et qui en montre l’importance dans le contexte social du temps, mais aussi dans ses prolongements historiques.
Les Fiches du Cinéma
Plus qu’un biopic : une leçon d’histoire humaine et politique.
Positif
Le but affirmé de Peck est de rendre ces hommes bien vivants au lieu d'en faire des icônes. En effet, le film, aussi didactique et classique que soit son esthétique, avec légendes et structure chronologique bâtie sur un réalisme visuel, réussit par la fougue de ces penseurs idéalistes, par le tempo du montage, par un scénario intelligent signé Pascal Bonitzer.
Télérama
August Diehl et Stefan Konarske (formidables l’un et l’autre) interprètent les deux révolutionnaires en débatteurs rompus à toutes les subtilités de la dialectique, convaincus de leur supériorité, voire même arrogants.
aVoir-aLire.com
Raoul Peck n’a jamais cherché à établir un objet de propagande, on ne peut donc pas lui reprocher ce point. Il est cependant impossible de nier les caractères humaniste et moderne qu’il parvient à insuffler à cette révolte sociale qui couve depuis la Révolution industrielle. L’espoir est là, à chacun de s’y accrocher s’il veut y croire.
Bande à part
Le portrait d’une jeunesse largement idéaliste qui fait beaucoup défaut à notre époque. Inspiré et inspirant.
Cahiers du Cinéma
Le film s’en trouve, tour à tour, trop joliment sentimental et trop sèchement discursif : il manque ici un souffle de vie qui ferait du communisme une manière de sentir le monde au cinéma, et non seulement de le déchiffrer – aussi nécessaire cette tâche critique soit-elle.
L'Obs
Cette fresque historique aurait pu tomber dans le didactisme historique et la reconstitution figée. Il n'en est rien, même si le cahier des charges pédagogique du projet, en dépit des efforts de la mise en scène, des scénaristes et des comédiens, bride un peu le résultat final.
La Croix
Ce petit rappel historique ne manque pas d’intérêt en soi et les constats d’hier résonnent encore, d’une manière ou d’une autre, avec les réalités d’aujourd’hui. Pourtant, le choix que Raoul Peck fait d’un film en costumes à la réalisation académique, n’aide pas à cette mise en perspective.
Le Figaro
Classique et honnête.
Le Journal du Dimanche
Tout en prenant le temps de filmer les joutes verbales entre les deux penseurs, le réalisateur haïtien réussit à mettre du romanesque dans ce biopic à la mise en scène élégante.
Le Monde
Le cinéaste Raoul Peck signe une vivifiante évocation de la jeunesse de l’auteur du "Capital".
Le Parisien
Le film, intéressant, balance entre la vie parisienne, mouvementée, de Marx, sa femme Jenny et d’Engels, et les discussions théoriques des jeunes révoltés.
Paris Match
Après le succès de "I am not your negro" qui revenait sur les luttes sociales et politiques afro-américaines, Raoul Peck revisite avec rigueur l'origine de la révolte ouvrière en s'attaquant aux écrits d'un autre mythe (avant le mythe), sans toutefois échapper aux pièges de la reconstitution historique didactique.
Première
Avec ce carburant de buddy-movie, Peck trouve un bel équilibre dramaturgique, loin des sempiternels écueils du biopic (violons souffreteux, enluminures hagiographiques), sans qu'on reste non plus dans la reconstitution amidonnée : l’indignation sourd ici derrière chaque plan.
Studio Ciné Live
Le cinéaste se laisse aller à un classicisme un rien désuet. (...) Le biopic n'en reste pas moins historiquement passionnant.
Critikat.com
Il convient de questionner la démarche de Peck, qui en cherchant à déconstruire le biopic reproduit pleinement des schémas de situations et des processus de montage propres à son vocabulaire.
La Voix du Nord
A fuir notamment, la vilaine photo numérique, le jeu ampoulé des acteurs et nombre de scènes inutiles... Tourné en Belgique, ce téléfilm balourd est coproduit par Robert Guédiguian.
Libération
Excessivement didactique, cette plongée dans la jeunesse du philosophe passe à côté de sa démonstration politique.