Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Elle
par Amandine Garcia
« Les Délices de Tokyo » aborde avec légèreté et justesse le thème de la transmission entre générations à travers une magnifique histoire d’amitié.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film empreint d’une infinie douceur, où passent toute une philosophie animiste de la nature et une tendresse émouvante.
Paris Match
par Alain Spira
Simples et débordants de sagesse, ces «Délices de Tokyo» se dégustent à petites bouchées, comme des dorayakis. Et si vous ne savez pas ce que c'est, optez pour la version française, les macarons...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Dans cette minuscule cuisine, la réalisatrice japonaise nous offre un grand moment de poésie et de cinéma. Bouleversant, tout simplement.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Gala
par Amélie de Menou
Succulente mise en bouche du cru 2015 de la compétition Un Certain Regard, le dixième long-métrage de Naomi Kawase est un délice de douceur, une leçon de vie, de respect des anciens, des marginaux, des solitaires.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ou comment Naomi Kawase, en partant d’une situation un peu idyllique, sous-tendue par la beauté du décor ambiant (cerisiers en fleur), instille le trouble, et élabore une fable émouvante sur la tolérance et l’amitié. Et ce, sans oublier la dimension épicurienne de l’histoire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par La Rédaction
La sobriété de la cinéaste est savoureuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
"Les Délices de Tokyo" offre d’explorer avec une richesse et une subtilité rares – qui font la profondeur du film et lui octroient sa grâce – ce récit de transmission entre générations.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Forte de son regard aiguisé et engagé, Kawase signe un joli conte philosophique, à la fois urbain et atemporel, moral et épicurien, mené avec l’aisance et la confiance d’un grand chef.
Le Monde
par Noémie Luciani
En nous privant des secrets de la cuisine, elle semble nous rappeler (...) que l'art de la gastronomie ne s'apprend jamais vraiment que dans l'intimité partagée des corps au-dessus des fourneaux, les murmures sibyllins, et les rencontres qui nourrissent le cœur.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Fidèle à ses thèmes de prédilection, Naomi Kawase ouvre son cinéma à une veine plus légère avec cette comédie dramatique modeste et émouvante.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un savoureux conte de Naomi Kawase.
Positif
par Adrien Gombeaud
Ce raffinement s'oppose à la brutalité de la société que dépeint Naomi Kawase. La cinéaste nous raconte la sourde violence de ce monde délicat.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Un joli mélo dans lequel une vieille dame sauve du désespoir un jeune pâtissier.
Transfuge
par Damien Aubel
"Les Délices de Tokyo" (...) sont merveilleusement équilibrés.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout en menant ce récit avec simplicité et candeur, Naomi Kawase ("Still the water") ne cesse d'y chercher matière à une élévation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Ce bijou d’émotion et de poésie est peut-être le film le plus accessible de Naomi Kawase.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Ces « délices » ouvertement mineurs ne suffisent pas à signer un éclatant retour en grâce de Naomi Kawase mais se laissent goûter sans déplaisir.
Critikat.com
par Quentin Le Goff
"Les Délices de Tokyo" est le film le plus apaisé de Kawase.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le nouveau film de l’auteur de Shara raconte très bien le Japon contemporain et la transmission du savoir et du goût. Un beau geste qui se serait toutefois mieux épanoui avec davantage de sobriété.
Libération
par Clémentine Gallot
Si l’on se méfie, à raison, de la larmoyante tambouille mêlant cuisine et métaphysique, l’émulsion est arrangée de main de maître par Naomi Kawase.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Ce nouveau long métrage de fiction de Naomi Kawase offre des images aussi belles que "La Forêt de Mogari", aussi sensuelles que "Still the Water". Mais cette bluette réunissant trois solitudes reste bien conventionnelle et sans surprise.
La critique complète est disponible sur le site Première
TF1 News
par Romain Le Vern
Naomi Kawase ouvre son cinéma au risque de perdre sa suprême singularité et ses aficionados lui reprocheront d'être trop accessible. Ce n'est évidemment pas un crime. Mais s'il est souvent charmant, son mélo ne laisse aucune empreinte durable.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Elle
« Les Délices de Tokyo » aborde avec légèreté et justesse le thème de la transmission entre générations à travers une magnifique histoire d’amitié.
Le Dauphiné Libéré
Un film empreint d’une infinie douceur, où passent toute une philosophie animiste de la nature et une tendresse émouvante.
Paris Match
Simples et débordants de sagesse, ces «Délices de Tokyo» se dégustent à petites bouchées, comme des dorayakis. Et si vous ne savez pas ce que c'est, optez pour la version française, les macarons...
Franceinfo Culture
Dans cette minuscule cuisine, la réalisatrice japonaise nous offre un grand moment de poésie et de cinéma. Bouleversant, tout simplement.
Gala
Succulente mise en bouche du cru 2015 de la compétition Un Certain Regard, le dixième long-métrage de Naomi Kawase est un délice de douceur, une leçon de vie, de respect des anciens, des marginaux, des solitaires.
L'Humanité
Ou comment Naomi Kawase, en partant d’une situation un peu idyllique, sous-tendue par la beauté du décor ambiant (cerisiers en fleur), instille le trouble, et élabore une fable émouvante sur la tolérance et l’amitié. Et ce, sans oublier la dimension épicurienne de l’histoire.
L'Obs
La sobriété de la cinéaste est savoureuse.
La Croix
"Les Délices de Tokyo" offre d’explorer avec une richesse et une subtilité rares – qui font la profondeur du film et lui octroient sa grâce – ce récit de transmission entre générations.
Le Journal du Dimanche
Forte de son regard aiguisé et engagé, Kawase signe un joli conte philosophique, à la fois urbain et atemporel, moral et épicurien, mené avec l’aisance et la confiance d’un grand chef.
Le Monde
En nous privant des secrets de la cuisine, elle semble nous rappeler (...) que l'art de la gastronomie ne s'apprend jamais vraiment que dans l'intimité partagée des corps au-dessus des fourneaux, les murmures sibyllins, et les rencontres qui nourrissent le cœur.
Les Fiches du Cinéma
Fidèle à ses thèmes de prédilection, Naomi Kawase ouvre son cinéma à une veine plus légère avec cette comédie dramatique modeste et émouvante.
Ouest France
Un savoureux conte de Naomi Kawase.
Positif
Ce raffinement s'oppose à la brutalité de la société que dépeint Naomi Kawase. La cinéaste nous raconte la sourde violence de ce monde délicat.
Studio Ciné Live
Un joli mélo dans lequel une vieille dame sauve du désespoir un jeune pâtissier.
Transfuge
"Les Délices de Tokyo" (...) sont merveilleusement équilibrés.
Télérama
Tout en menant ce récit avec simplicité et candeur, Naomi Kawase ("Still the water") ne cesse d'y chercher matière à une élévation.
aVoir-aLire.com
Ce bijou d’émotion et de poésie est peut-être le film le plus accessible de Naomi Kawase.
Cahiers du Cinéma
Ces « délices » ouvertement mineurs ne suffisent pas à signer un éclatant retour en grâce de Naomi Kawase mais se laissent goûter sans déplaisir.
Critikat.com
"Les Délices de Tokyo" est le film le plus apaisé de Kawase.
Les Inrockuptibles
Le nouveau film de l’auteur de Shara raconte très bien le Japon contemporain et la transmission du savoir et du goût. Un beau geste qui se serait toutefois mieux épanoui avec davantage de sobriété.
Libération
Si l’on se méfie, à raison, de la larmoyante tambouille mêlant cuisine et métaphysique, l’émulsion est arrangée de main de maître par Naomi Kawase.
Première
Ce nouveau long métrage de fiction de Naomi Kawase offre des images aussi belles que "La Forêt de Mogari", aussi sensuelles que "Still the Water". Mais cette bluette réunissant trois solitudes reste bien conventionnelle et sans surprise.
TF1 News
Naomi Kawase ouvre son cinéma au risque de perdre sa suprême singularité et ses aficionados lui reprocheront d'être trop accessible. Ce n'est évidemment pas un crime. Mais s'il est souvent charmant, son mélo ne laisse aucune empreinte durable.