Derniers Avis : Le Grand Bain - Page 27

Un bon film, avec de formidables acteurs, sur la crise de la cinquantaine. Les personnages sont crédibles et attachants, et le film m'a fait rire sans pour autant s'imposer comme comédie. Les actrices féminines sont superbes également, je retiens une scène incroyable dans un super marché !

Répliques souvent sinistres, violentes pour rien. On rit quelques fois (merci Leila Bekhti). Film de dépressifs, je ne m'étonne pas qu'il ait cartonné dans cette société malade. Heureusement qu'il a une fin.

Malgré un assez gros budget (presque 19 millions d’euros) et un casting impressionnant (Mathieu Amalric, Guillaume Canet, Benoit Poelvoorde, Jean-Hughes Anglade, Philippe Katerine, Virginie Efira, Leïla Bekhti, Marina Foïs, Melanie Doutey, Claire Nadeau…), Le Grand Bain est le succès surprise de l’année 2018. Cela peut s’expliquer car le film de Gilles Lellouche est un bain de fraîcheur souvent très drôle. Malgré une photographie et des cadrages pouvant sembler un peu fades, le cinéaste fait preuve d’excellentes idées de montage créant un rythme idéal pour une comédie et d’un grand talent de directeur d’acteurs donnant l’impression que ces derniers se sont amusés dans leurs différents rôles et offrent leurs meilleurs pour le spectateur. Les comédiens sont à la fois hilarants et réalistes et réussissent ainsi à se rendre attachants auprès du spectateur. Lellouche réussit ainsi à ce que le spectateur sorte de la salle en étant heureux alors qu’il vient de passer deux heures avec des personnages dépressifs et multipliant les échecs dans leurs vies. Faire une plongée dans Le Grand Bain permet d’être face à un beau moment de divertissement.

Film "gentillet" sur la maladresse, la solitude et la détresse humaine, inspiré du Monty python. L' humour y est très troisième degré, avec une improbable happy end. Bon jeu d'acteurs, pas des débutants, il est vrai... je n'ai pas regretté d'être venu, mais l'enthousiasme n'y est pas.

Très drôle et subtil malgré tout,un film que l'on peut voir plusieurs fois ,léger et frais comme la piscine .

Magnifique film. Tous ces écorchés de la vie, laissez pour compte se regroupent dans une équipe de natation synchronisée masculine et se transforment petit à petit sous nos yeux. D'abord ringard ils vont trouver la force de se magnifier. Peu aidés par leur première coach, formidable Virginie Efira, elle aussi laissée pour compte et qu'ils leur racontent des histoires pour les motiver. A hurler de rire. Puis ils sont pris en charge par une autre coach, Leila Bekhti, la seule handica

Le Grand Bain traite un sujet très inconnu du grand public car il s'agit de la natation synchronisée masculine. A partir de là, il était plutôt facile de créer une histoire drôle, en essayant d'être touchant. C'est un bon film, sincèrement, je le recommande d'aller le voir ou de l'acheter en DVD; quant à moi, j'ai été satisfait du film. Mes attentes n'étaient pas très élevées, mais le film a réussi à combler mes attentes.

Au début, le film commence un peu de manière hachée, c'est à dire que les scènes s'ajoutent au compte-goutte et n'a pas de lien entre elles. Puis le côté délire vient et j'ai eu peur que le film aille complètement à l'ouest, mais heureusement que ce n'est pas le cas car le film reste dans les clous. Poelvorde a vraiment du mal à se contrôler, il a tendance à en faire beaucoup trop, ce qui rend le film un peu lent. Mais une fois que les objectifs sont clairs, un peu près vers le tiers du film, le scénario ne s'écarte plus du fil rouge et l'histoire devient beaucoup plus claire, plus limpide, plus joyeuse. C'est donc dans les deux derniers tiers du film que l'histoire est très intéressante.
L'humour est évidemment très présent, mais seulement dans les deux derniers tiers. de même pour les émotions, les deux derniers tiers les traitent suffisamment bien. Le film est un peu long à démarrer, je l'accorde mais il faut s'accrocher car les choses intéressantes arrivent après.

On se laisse prendre au jeu et à la compétition. C'est évidemment improbable mais petit à petit on se laisse embarquer par le bon jeu des acteurs. Un bon moment.

Plutôt bien réussi avec un rythme soutenu notamment lorsque Leila Bekhti prend les rênes de l’équipe de champions.
Généreux sans être trop mièvre.

NUL
extrêmement long et ennuyeux
Vous êtes sûr de faire une bonne sieste.
Difficile d'avoir sans caractère quand on a rien à dire sur ce film

N’importe qui pourrais s’identifier aux différents personnages, des personnes lambda avec une vie simple ennuyeuse sans réel but (dépressifs

Le film aborde ce sujet de la solitude que chacun peut ressentir avec humour et émotion !

film qui produit une réelle étude psychologique d'un groupe de personnes représentatif d'une grande partie de la population qui est au niveau familiale et proffessionel le plus bas. Au travers de ces quelques gags, ce film montre une réalité sociale forte négligée

Un film sans prétention et bon enfant. Extrêmement bien interprété même si je coince toujours sur Guillaume Canet. Ça fait sourire, on se détend, je n’en attendais pas plus. Puis, bon les losers, ça rassure toujours.

Suis très mitigé sur ce film. Début (1ère heure) peu attrayant et la 2ème partie top on rentre enfin dans le film. Des scènes drôles et d’autre déprimantes.
Je finis par ne pas regretter mais bon je pense que certaines parties du films auraient put être supprimés.

Pourquoi le cinéma français s'ingénie-t-il à singer la mécanique US et produire ces "produits" à la chaîne" ? Je sais bien que les enjeux financiers d'une production sont importants. On peut comprendre que cette logique qui consiste à suivre des voies balisées ne va pas déplaire à une majorité de spectateurs. Mais personnellement j'attends beaucoup plus d'un film qu'un simple objet de divertissement. Voilà donc un "Full Monty" revisité, une histoire de "losers" sublimes. Comme souvent avec cette logique marketing, la narration tient debout ici. Et certains acteurs montrent avec brio leur palette. Mention spéciale pour M. Anglade et Mme Efira. J'ai eu beaucoup plus de mal en revanche avec Mrs Katerine et Amalric, prisonniers de leur interprétation monolithique.. Je ne sais pas pourquoi, ce dernier me file des boutons à chaque fois que je le vois. On a ses têtes, faut croire...