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    Le Grand Bain
    Note moyenne
    3,8
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    1 360 critiques spectateurs

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    Victor W
    Victor W

    1 abonné 8 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 février 2019
    Vraiment rigolo. Difficile de rentrer dans l'histoire au début mais la suite et assez surprenante. De bon acteur
    François-Xavier C.
    François-Xavier C.

    9 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 février 2019
    Tellement décevant... Film décousu, scénario improbable, déroulement très approximatif et fin ratée (il y avait tellement mieux à faire...). Un Full Monty aquatique qui fait plouf!
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 10 février 2019
    Encore un film qui ne sert pas à grand chose et qu'on oublie au plus vite... Philippe Catherine sauve heureusement un peu la baraque... pendant que Poolevorde ne sait plus quoi faire d'autre que lui-même... et Canet s'imagine encore une fois plus intelligent qu'il n'est : rien de naturel chez lui, tout est fabriqué... c'est gênant. Les rôles féminins sont nuls et mal scénarisés... bref, heureusement que c'est une comédie et qu'on rigole un peu... mais bon, ça casse pas une patte à un canard!!!
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    268 abonnés 1 639 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2019
    Des histoires de losers qui vont se dépasser, se trouver et connaître un succès envers et contre tout, on en a vu des dizaines au cinéma. C'est toujours la même formule, sympathique et euphorisante. Seuls les univers changent : le sport, la musique, la danse, etc. Ici, c'est la natation synchronisée masculine, qui fait écho au strip-tease masculin de The Full Monty, en matière burlesque. Gilles Lellouche, réalisateur, applique donc une recette qui marche, avec ses facilités scénaristiques, ses scènes attendues. Tout est cousu de fil blanc, du début à la fin. Les seules surprises sont dans l'improbable casting du film, un "all stars" hétéroclite et réjouissant. Mention spéciale pour Philippe Katerine.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 février 2019
    Ca fait plaisir de voir ce genre de films de comédie française qui ne surf pas sur cette vague de clichés tous aussi débiles les uns des autres... C'est bien joué, l'histoire est originale, les personnages attachant (Le personnage de Marina Foïs est juste magique !), et les musiques sont géniales ! Bref, Le Grand Bain, un film léger, très sympathique, qui fait plaisir à voir :)
    Sylvain C
    Sylvain C

    5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 février 2019
    Tres bon film, les acteurs sont supers, l’histoire est émouvante et comique avec en plus une belle leçon de vie. Bravo Lellouche
    Marcelo_Di_Palermo
    Marcelo_Di_Palermo

    8 abonnés 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2019
    film de copains, 40/50 ans, tous un peu paumés (éventuellement) dans un tournant de leurs vies. Drôle, émouvant, réaliste et optimiste. Le grand nombre de têtes d'affiche pouvait être dangereux mais non, ça passe parfaitement. Bravo à Lellouche pour ce premier film, espérons qu'il y en aura plein d'autres!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 3 février 2019
    Un moment agréable avec ces hommes cassés, dépressifs. Il y a de la tendresse, de la mélancolie, le film évite de tomber dans la mièvrerie et c'est plutôt bien. Film touchant, simple, ça fait plaisir. A part le personnage de Leila Bekhti qui est un peu trop vulgaire et qui gâche un peu l'esprit du film, les autres acteurs sont vraiment bien. Virginie Efira est touchante dans son rôle d'entraineuse. Bref, le film n'a en soi rien d'exceptionnel, mais il est très agréable, beaucoup d'humanité s'en dégage.
    Sophie P.
    Sophie P.

    7 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 février 2019
    Très moyen. Avec la distribution et les critiques, je m'attendais vraiment à autre chose. Une bande de bras cassés, beaucoup de clichés, des personnalités un peu trop caricaturales comme celle de Leila Bekhti. Des situations et une histoire peu crédibles.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 31 janvier 2019
    MANQUE DE SOUFFLE QUOIQUE

    La recette est connue et fonctionne toujours. Souvent caricaturale, atténuée toutefois par une belle brochette d'acteurs, cette comédie sans prétention, cette histoire d'un groupe d'homme dans la force de l'âge et à des titres divers, en situation de faiblesse, c'est d'abord une fable moderne autant qu'un conte pour enfants où l'on nous raconte une fois de plus qu'à cœur vaillant rien d'impossible.

    Qu'on se laisse porter par cette aspiration à voir dans l'espoir retrouvé, la solution à tous nos malheurs ou qu'avec plus de distance, on garde la tête froide même si le cœur est touché, ne chose est certaine, de si loin que l'on parte et où que l'on arrive, sans un minimum de motivation qui ne coulerait pas et sans une main secourable, si menue soit-elle, on finit par boire la tasse.

    Allez donc rire ou sourire c'est selon sans surprise sinon de tester votre niveau d'empathie pour le genre humain.
    Gcm B.
    Gcm B.

    14 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 janvier 2019
    Que du spoiler dans ma critique.
    Ce film est tout simplement superbe. Vendu comme une grosse comédie, il cache en fait un drame, plutôt plusieurs drames, ce de tout les personnages car tous sont à un moment de leur vie qui est complètement pathétique. Gille Lelouche prend le temps de montrer chaque névrose et ce n'est que le début des surprises.
    spoiler: En effet, car quand l'entrainement pour le championnat du monde commence enfin, on va de surprise en surprise. D'abord la musique de J.H Langlade n'est pas prise par les autres mais pire, c'est sa fille qui lui dit enfin que c'est un chanteur raté. Puis le championnat lui même, alors qu'ils sont moches, gras, gros, comment imaginé le final, qui nous est montré de façon si subtil que, contrairement à un "rasta rocket", et bien ils sont en fait champion du Monde ! Et cette victoire est un victoire sur la vie.

    En un mot bravo, du cinoche français comme on les aime
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    Le sujet peut faire penser à The full Monty, la dimension sociale en moins. La première demi-heure est franchement ennuyeuse et le film ne décolle que grâce aux personnages de Leila Bekhti et Philippe Catherine. Je lui accorde néanmoins quelques séquences assez drôles malgré des dialogues assez pauvres et une fin plutôt réussie.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 janvier 2019
    ... tombée dans le piège des pubs incontournables sur pratiquement toutes les chaines télé, j'ai été très déçue et me suis bien ennuyée pendant ces 2 longues heures (j'ai toutefois admiré le jeu de tous les acteurs... )
    en résumé, pour moi : C'EST UN NAVET (qui visiblement a tout de même coûté cher !!!)
    J'ajouterais que les critiques très flatteuses que j'ai entendues ou lues ici ou là sur la qualité de jeu de V.Efira dans ce film ...,....elles me laissent pantoise ...
    blacktide
    blacktide

    58 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 janvier 2019
    Incoulables

    Il est des séances quelque peu exceptionnelles. Semblables à de l’eau bénite, pour ainsi dire. Non parce qu'elles révolutionnent le Cinéma ou en renforcent l’édifice, mais bien parce qu'elles touchent à quelque chose tenant davantage de la communion entre l’Image et son public : essence du cinéma, où les émotions se captent, se transmettent et se projettent au-delà de l’écran. Des spectateurs si réceptifs à ce tendre et tordant ballet aquatique qu’ils en sortaient non seulement avec quelques sourires, mais aussi avec ce même émerveillement dans le regard. Et la conviction peut-être, que désormais les carrés pourraient être des ronds, si l'envie leur en prend.

    Il est alors intéressant de voir à quel point la notion de causalité émotionnelle simplifie tout le processus de notation. Je suis heureux PARCE QUE Le Grand Bain en est la source. Simple. Ne restait alors qu’à situer mon état de sérénité sur « l’échelle du bonheur subjectif » pour en extérioriser l’opinion. Paraît-il que les réunions de motivation et autres groupes « anonymes » s'en servent pour redonner confiance aux cas les plus extrêmes. Car pourquoi vouloir ingurgiter une tonne d’antidépresseurs quand on a le 7e art pour s’évader ? La prescription est sans appel : perdons pied dans Le Grand Bain.

    Hommes-dauphins, à contre-courant & gestuelle aquatique, dans le chlore de la dépression, le moral en quarantaine remonte ; d’une équipée sauvage ou presque, au fond de la piscine, noyade de rires, et bouée de larmes, etc. Mes mots s’y perdent, les maux s’envolent, et un sourire en émerge. Le syndrome du bien-être ? On n’en est pas loin. Car Le Grand Bain puise dans le meilleur de la comédie pour nous concocter un programme sportif, synchronisé et vivifiant. Puisque le bonheur, c’est simple comme des pieds dans un pédiluve.

    40 ans, toujours sous l’eau. Accrocheur, n’est-ce pas ? De son prologue socialo-géométrique, et son collage en voix-off façon L’île aux Fleurs, Le Grand Bain s’ouvre sur de solides bases, mathématiques, et traite sa métaphore comme un leitmotiv, un problème rationnel à réponse irrationnelle. Puisque la vie n’a rien de logique, et ne se définit ni par un carré, ni par un rond. Puis le cadre s’élargit, et dans un mouvement très « Teen Movie », les Tears For Fears pénètrent ironiquement l’intimité de Mathieu Amalric (exceptionnel), gobant les antidépresseurs comme des céréales au petit déjeuner : Everybody Wants To Rule The World ? Peut-être, mais pas lui.

    Société dégénérescente, rêves brisés, bidons en avant, êtres en faillite, vie désynchronisée, les personnages du Grand Bain n’ont rien de vainqueurs olympiques, et pourtant, c’est en les approchant, en épilant le maillot, en les mettant à nu, en les rassemblant, qu’ils triomphent, et se dérobent aux bas-fonds. L’alchimie entre les comédiens est incroyable : qu’ils soient vendeur de piscine irresponsable (Benoît Poelvoorde poilant), rock star en camping-car (Jean-Hugues Anglade saisissant), solitaire extravagant (Philippe Katerine désopilant et extraordinaire), père anxieux (Guillaume Canet émouvant) ou dépressif sur canapé, tous ont leur moment de gloire (ou presque), leur moment de choir, et ensemble, ils resynchroniseront leurs existences sur la même cadence. Chacun pour tous, tous pour un. Sans oublier Leila Bekhti, Marina Fois et Virginie Efira absolument formidables. Harmonie telle que l’on se permet d’ailleurs de pardonner quelques facilités et lourdeurs narratives.

    Lellouche s’amuse des références, les singe (tel cet hilarant vol des maillots de bain à la Ocean's Eleven), pour mieux en exhorter un certain côté « pathétique bienveillant » : un anti Chariot de Feu (les Charlots du bassin ?), contre le culte du corps, où l’entraînement se fera à coup de Full Metal Jacket, de travellings gauche-droite/ droite-gauche, insistant sur les individus au sein du groupe et la force du collectif. Le message est clair : venez comme vous êtes (sans faire de publicité clownesque). Puisque Le Grand Bain excelle à déployer son panache de l’imperfection. Une dynamique narrative très proche de The Full Monty ou de ces comédies sociales anglaises revigorantes et « Virtuoses ».

    Et la réalisation se révèle étonnamment propre, travaillée et pleine de sens : plans de grue, travellings, ellipses, sur-cadrages, Lellouche se permet même des effets doubles focales à la De Palma. Une mise en scène jouant sur les ruptures, et destinée à percer l’envers des apparences : des plans coupés par l’eau, insistant sur les imperfections humaines, l’envers de l’Iceberg finalement, et sa flottabilité incertaine/ instable sur l’océan de la vie.

    A l’instar de cette séquence en travelling arrière, où Philippe Katerine rit, mange, d’abord isolé dans un gros plan, fort, joyeux, chaleureux, avant de laisser la fragilité s’immiscer dans un élargissement du cadre, comme pour en exposer la tragédie de la solitude : de l’intérieur souriant à sa déchirure extérieure, du collectif soudé à la solitude individuelle, de la comédie aquatique au drame de la dépression. Des personnages qui seront d’abord isolés dans des plongées avant de reprendre le contrôle sur l’angle de leur propre vie. Puisqu'il faut parfois toucher le fond (de la piscine) pour pouvoir remonter.

    Inutile d'y chercher des symboliques, un « Poetic Cinema » ou autres sous-entendus théoriques. Car Le Grand Bain se refuse à tout sarcasme, à tout ricanement moqueur, et laisse le rictus du cœur s'exprimer. De proximité, il en est toujours question, tant ces solitudes s'assemblent et nous ressemblent, un peu, beaucoup et toujours passionnément. Puisque ces quadras à la marge, à la masculinité découragée, ne pataugent pas dans le petit bassin : ils terrassent les profondeurs du Grand Bleu et gravissent les Mavericks de Point Break. Coule Monty ? Pourquoi pas. Les frissons nous gagnent, le sourire s’élance, et sur un Easy Lover, ou un coucher de soleil, Le Grand Bain fête sa victoire en nageant, synchronise les rires et solidarise son audience. Pour ne plus rire seul à sa table, et partager ce bon repas en salle de cinéma.

    Critique à synchroniser également sur mon Blog : https://fadeoffblog.wordpress.com/2018/11/03/critique-le-grand-bain/
    Juju Y
    Juju Y

    4 abonnés 9 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 janvier 2019
    Franchement laborieux, mal filmé, lourd, l'histoire très moyenne. Le seul qui tire un peu son épingle c'est philippe katherine.
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