Un bon film avec une bonne morale. Des sujets intéressants sont énoncés comme la confiance en soi, la dépression, la solitude mais aussi la fraternité, la force de l’amitié et de l’entraînement.
Une comédie hilarante avec des acteurs qui savent faire sourire et parfois même émouvoir. Ce film est porteur d’un message fort, on voit que tout est possible si l’on s’en donne les moyens. Bravo.
L'histoire est particulièrement absurde et fait écho à celle d'autres feel-good movie comme Full Monty (un groupe de types sans talent particulier et en difficulté morale et financière se met en tête de s'engager dans une activité pour laquelle ils ne sont pas du tout taillés pour, en l'occurrence la natation synchronisée). On suit avec plaisir les parcours de ces personnalités très différentes : du chômeur au chanteur dans le déni de son manque de talent en passant par le père de famille n'arrivant pas à gérer la sénilité de sa propre mère.
Le casting est de très haut avec des têtes d'affiche très solides : Matthieu Amalric, Guillaume Canet, Virginie Efira, Leïla Bekhti, Jean-Luc Anglade, Benoît Poelvoorde, Marina Foïs ou encore Philippe Katerine, mais pas que. Évidemment, tout ce beau monde joue très bien (Canet et Bekhti en tête).
On rit de bon cœur, tout simplement. On pourrait éventuellement espérer un film encore plus drôle (comme beaucoup de feel-good movie, la première partie est assez déprimante), mais c'est franchement très bon.
Un film très sympathique sur un thématique importante qui est, la déprime et la solitude, ou l'importance de pouvoir s'entourer de personnes et de partager une passion avec elles lors de moments difficiles de la vie. Le film est prenant, on alterne entre rire et peine devant les difficultés des différents protagonistes dans leur vie. Un très bon film à regarder !
Voilà encore une comédie bien française sur-vendue comme un chef d'œuvre d'humour à tel point qu'on n'a pas cessé de faire référence à "The full monty" pour en parler. Si on en peut pas nier certains points communs, on est quand même loin du niveau des quelques comédies sociales anglaises qui ont marqué l'histoire du cinéma. Le premier problème est que je n'ai souri qu'en de rares occasions, le deuxième est que l'histoire n'est absolument pas crédible et le troisième, qui au final est le plus grave, est que je n'ai rien trouvé d'attachant dans ses personnages. "Le grand bain" est pour moi une comédie française qui fait flop.
Un critique gastronomique et défenseur du fait maison Jean-Pierre Coffe pour ne citer que lui, l’aurait dit en des termes moins galants : ce film est une nullité en puissance . C'est le seul mot qui me vient à l'esprit pour qualifier ce film. Je m'ennuyais tellement eu j'ai eu la mauvaise idée de regarder ma montre en espérant que le supplice s'arrête vite, pensant approcher de la fin téléphonée d'un scénario qui tient sur sur un coin de nappe en papier d'un restaurant bon marché. Il n'en n'était rien : 48 minutes à peine... Je pensais avoir une résistance à la nullité plus élevée. Ce qui m'a rassuré c'est que nous étions 5 à penser la même chose : ouf, je ne suis pas dingue. A vouloir pomper le scénario, excellent au demeurant, du film "The Full Monty", Lellouche cultive une fois de plus son potager pour nous sortir du navet. Résumé : des acteurs sans jeu tentent d'incarner des personnages dont on ne sait pas trop ce qu'ils devraient nous inspirer, lesquels se retrouvent à la piscine municipale au sein d'une association sans adhésion payante ni règles mais qui, par on ne sait quel miracle administratif, bénéficie d'un créneau au sein d'une structure administrative publique règlementée. Soit, passons : les péripéties qui devraient animer le film sont sans intérêt, tout ça pour finir sur une fin téléphonée où nos glorieux pénibles gras du bide décrochent un titre de champions devant des équipes professionnelles dont les nageurs hyper musclés ne peuvent pas rivaliser, là encore par un miracle inexpliqué. Bref Lellouche casé par relations, bénéficie de larges subvention issues de nos impôts (6,6 millions d' euros en 2015 tout de même) pour finalement réussir deux choses : nous faire perdre notre temps et nous faire perdre notre peu d'argent.
Le Grand Bain est le nouveau film francais, choisi pour participer au festival de Cannes. Je trouve ce film très très drôle et divertissant. Tous les personnages sont uniques et ont leur propre histoire, et bien que le film soit une comedie, il montre un problème réel de beaucoup de gens, laissant un bel enseignement.
La production est bonne, la musique est excellente et je trouve l’ histoire en général très originnale.J'aime vraiment beaucoup!
Si vous voulez passer un bon moment et rire, je vous recommande de voir ce film, il est actuellement au cinéma.
Film sur la rédemption et la volonté de se sortir de ses difficultés. Ce n'est peut-être pas toujours bien géré mais le mérite du film est son optimisme sous jacent et une bonne équipe de comédiens qui réussissent à décrire différents types de détresse mais peuvent les mettre de côté le temps des entrainements. Merci à la fraîcheur de Leïla Bekthi 💓 qui prouve à nouveau son immense talent. Alors oui parfois c'est un peu capilo-tracté ou caricatural mais c'est pour le fun. Par contre, le seul gros reproche que je fais et qui m'empêche de mieux noter, le film dure 5 minutes de trop ! Monsieur Lellouche, il aurait été tellement plus fort de finir le film (sans spoiler) sur la scène ou l'équipe descend du bus au milieu de la nature et se met à crier, de joie, de soulagement, de confiance, de retour à la vie . . . À nous d'imaginer la suite !!!C'est ça la force d'une bonne histoire, nous laisser libre court de choisir la suite !! Car votre fin (trop prévisible, improbable et caricaturale) casse tout ce que le film porte ! Dommage.
Impression troublante, pour ne pas dire dérangeante, au sortir de ce qui était annoncée depuis des mois comme « la comédie de l'année ». De fait le succès au box-office ne se dément pas pour ce film chorale à la galerie d'acteurs exceptionnels : un Guillaume Canet à contre-courant en mec aigri, un Mathieu Amalric décidé à bouleverser un mode de vie hypocryte, un Benoît Poelvoorde drôlissime en patron roublard ou encore un Jean-Hugues Anglade ressuscité en musicien raté. L'atmosphère est à la mélancolie durant les trois quarts du film, chaque personnage étant miné par une vie privée insatisfaisante quand ce n'est pas carrément par une pathologie (mythomanie et alcoolisme pour Virginie Effira). La réussite de l'entreprise tient justement à sa capacité à tourner en dérision cette part importante de drame social, n'inspirant jamais le pathos pour mieux pointer l'immaturité de nos héros pieds nickelés. Mentionnons l'hilarante scène du « casse » ou ces « afters » de séances d'entraînement où les fêlures se dévoilent sous formes de boutades. L'aspect comédie passe un cap avec l'introduction de la coach remplaçante impitoyable et d'un montage dynamique à la Rocky. Dommage que le rebondissement final tombe à l'eau par l'usage d'un ressort scénaristique allant à l'encontre du message porté par les personnages. D'autant que l'on se raccroche maladroitement à une scène initiale pourtant splendide. N'était-il pas préférable de creuser le sillon des perdants magnifiques jusqu'au bout ?
2h, deja c'est long sur un film traitant du drame sociale. 1iere partie d'une heure se concentrant sur tous les problemes ( chomage, comportementale, argent, handicape, lasser de la vie, etc...) de nos "sportifs": tres lourd et peu attractif. J'ai faillit decroché. ieme partie a partie du moment ou ils s'inscrivent au championnat du monde: Changement de ton, blague, situation cocasse, tres sympatique
Bref un film un peu inegale mais qui finalement s'en sort pas mal des qu'on y met un peu d'humour et d'espoir... Mention speciale pour le "casse" de l'hypermarché et la blague involontaire " atttention je me leve si vous dormez pas" de l'handicapé !!!
Un film pas si mal dans la veine des chroniques anglaises genre" The full monty", mais avec certaines caractéristiques françaises qui hélas en minorent l'intérêt, à savoir des situations quasi caricaturales et de comportements grotesques. A ce sujet je me demande pourquoi Benoît Poolvoerde est si souvent cantonné à des rôles de commerçant/industriel/affairiste... dépressif dans lesquels je ne l'ai jamais trouvé crédible. Dans l'argumentaire je citerai également le rapport antre la désinvolture et le manque de convictions affichées et les surprenants enjeux qui surgissent, car au final ce n'est pas moins que les championnats du Monde de natation synchronisée masculine que l'équipe la moins préparée et la plus disparate trouve le moyen de gagner. C'est joli certes, mais si peu réaliste. C'aurait été une compétition régionale que cela aurait beaucoup mieux passé . Donc comme vous vous en doutez on a droit au happy end systématique avec réconciliation spontanée de tout ce petit monde avec ses proches. Supposant que la fin eut été fort différente s'ils n'avaient pas vaincu, ce qui - connaissant la trame systématique de la production française - n'eut pas été concevable. Et puis c'est un film familial après tout. Et bien justement, parlons-en. L'ayant regardé en compagnie d'enfants polis, j'ai ressenti de la gêne pour eux comme pour moi en entendant des dialogues d'une continuelle grossièreté. Eux à ne pas comprendre ce que racontent les protagonistes et moi à devoir leur expliquer ce que cette obsession excrémentielle et putassière peut bien vouloir signifier dans la psychologie sociale de masse. Certains argueront sans doute que les gens normaux parlent ainsi pour subjuguer leur émotions, désolé mais pas chez nous. La langue française est-elle si pauvre d'expressions? C'est vulgaire de bout en bout, avec tous les personnages qui de plus pour une bonne part fument à longueur de temps. Un summum de cette nullité comportementale étant atteint lorsque la mère dit à ses enfants d'aller prendre du crack ou traîner sur l'autoroute parce qu'elle veut copuler avec son époux qu'elle redécouvre en vainqueur, ça stimule certes mais ça démontre surtout la médiocrité relationnelle qui sévit dans les familles et plus généralement entre les individus. Le film a bon fond mais la forme a mauvais aspect.
C’est une légende ce film, les meilleures critiques pour un film français depuis longtemps, et ce n’est pas démérité car Le grand bain est un excellent film sur la condition humaine, qui montre parfaitement ce que ressentent de nombreux français à ce jour. Je le déconseille aux moins de 10 ans. 4/5
Je n'étais pas du tout attiré par le thème. J'ai trouvé que c'était un bon full monty à la française. Bien joué, attachant et des chouettes plans. Bravo pour les musiques, la tendresse. C'est un film de cœur, de cœurs.