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    Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne)
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    122 critiques spectateurs

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    Alizée R.
    Alizée R.

    8 abonnés 39 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2018
    Un film provocant et provocateur mais tout en sensualité. Une bande son du tonnerre et des acteurs prometteurs. En somme, un très bon moment passé devant ce film.
    Benito G
    Benito G

    664 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 mars 2021
    Le point de départ laisse penser l'idée d'un énième teen movie (à la française), d'autant plus que la réalisatrice est une femme. Elle nous propose, en effet, une mise en scène esthétique... Elle parvient à éviter la vulgarité alors que les scènes de sexe mêlent à la fois réalisme et codes du porno et de l érotisme (mais pas le téléfilm du dimanche soir...!). Elle les laisse libres de leurs actes et de leurs comportements, sans pour autant délivrer une approbation ou un consentement vis-à-vis de leurs activités sexuelles. Elle se contente de regarder, comme nous spectateurs (un peu voyeuristes, on assume), et d'y apporter une touche réflexive à ce qui se déroule sous nos yeux... Ce n'est en effet qu'au cours de la dernière demi-heure que nous parvenons à saisir les enjeux derrière l'histoire des jeunes et à distinguer le pourquoi du comment de la chose.
    Ce qui frappe d'abord dans Bang Gang (une histoire d'amour moderne), c'est l'éclatement de la famille. Les jeunes apparaissent comme livrés à eux-mêmes, échappant au regard et au contrôle parental, à un âge auquel la déconnexion vis-à-vis de cette sphère de vie se fait progressive et grandissante. 16 ans, c'est le stade de l'insouciance, celui auquel on aspire à vivre, à entreprendre des expériences, à tenter des choses...
    Ces bang gang apparaissent comme l'expression d'une liberté sexuelle et la revendication d'un droit à la baise qui entravent la liberté cinématographique au nom de ce que veule représenter les producteurs meme si au 1er regard la critique peut être vite fait... avec du recul et objectivité on peut l entrevoir autrement ou du moins différemment. Par ailleurs, à cet âge, que représente l'adolescence, la sexualité est ici un exemple des étapes auquel tout individu est confronté au cours de sa vie. On teste ses limites, on se cherche, tout en essayant de se conformer au commun des mortels"lol". Mais permettant parfois d'éviter l'exclusion, la mise à l'écart, dans une période de la vie où le niveau de confiance en soi flirte souvent avec le zéro et le mal-être souvent présent. Ici, le bang gang apparaît comme un moyen d'évacuer ce mal-être, cet état de tension permanente et propre à chacun: chaque corps et chaque sexe sont l'égal de l'autre, au mépris de tout jugement extérieur. Les partenaires se ressemblent, se changent et s'échangent.,..
    Bref ici la vision de la sexualité est présentée comme normal par les codes montrés par l'industrie pornographique, que ce soit en termes de représentation des corps et cela dans tout ce que l'on peut imaginer voir même ne pas penser... No comment..En outre, l'activité sexuelle semble ici représenter un genre d échange à la encontre de l'ennui que semblent éprouver les personnages au cœur des quartiers résidentiels....
    La sexualité se définit alors en tant qu'activité sociale, associée à la prise d'alcools et de drogues où il y aurait a débattre des heures et des heures et ou plusieurs avis, voir vécu ; "remplirer" ce que certains verront comme quelques cas a part de petit bourge ou alors d une réalité quelques peu extrapolé mais pas si inexistante que cela (le chemsex même si plus réservé aux homosexuels me semblent pourraient en être une continuité, toujours dans la recherche du toujours plus...
    C'est alors que survient l'éclatement de la bulle, de la communauté, le bang (attendu) du gang. Finie l'insouciance, retour à la réalité froide et implacable, celle qui ne fait pas de cadeaux et qui nous sort du leurre. La vérité est alors révélée au grand jour, le scandale éclate, moral et sanitaire. Comme si l'adolescence en tant qu'épreuve personnelle ne suffisait pas, comme si nos héros ne voulaient déjà pas se soustraire au regard d'autrui, les voilà jugés sur la place publique. Par obligation, la cellule familiale est tenue informée et intervient, de manière différenciée selon les parents, du silence à la réprobation, en passant par la fuite et la déception.
    Pour tous, ce bang gang marque la fin d'une époque, d'une expérience au caractère mythique, d'une histoire moderne qui se muera en légende dans les couloirs du lycée. La dislocation de cette communauté d'appartenance, à laquelle plus personne ne souhaite désormais s'identifier, engendre la fin d'une solidarité tacite et collective, ainsi que la rupture avec un cercle amical, qui s'expriment via la fuite ou la recherche d'un nouveau départ hors du cadre territorial de cette fiction réelle.
    Avec une BO envoûtante, entrecoupée de musique classique, mais jouant son effet. Et ceux malgré les imperfections (rythme inégal, manque de réflexivité et de profondeur dans la première partie), ce Bang Gang apparaît comme un coup d'essai aussi lumineux que le propos est sombre. Outre la révélation de jeunes acteurs adoptant un ton juste et réaliste alors qu'ils sont littéralement exposés aux yeux du spectateur, le film marque les débuts prometteurs d'une réalisatrice stupéfiante!
    Kinopoivre
    Kinopoivre

    29 abonnés 200 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 octobre 2016
    On se demande où veut en venir la réalisatrice-scénariste. À ce discours, peu avant la fin, où ce père handicapé fait la leçon à son fils (le seul jeune intéressant, joué par le très beau Lorenzo Lefebvre) sur le thème « Vos ébats sexuels, à toi et à tes copains, sont minables, alors que, partout dans le monde, des jeunes luttent pour leur liberté » ? Cet enfonçage de porte ouverte ne méritait pas un film, surtout aussi mal fichu ! Les séquences de gangbang, que la réalisatrice rebaptise « Bang gang » pour faire original, sont ratées : jamais les garçons n’y retirent leur slip (on ne voit un nu masculin que durant quelques secondes, tout au début, et c’est une scène qui se veut comique), et les images de copulation sont vues d’assez loin et en images floues. Il n’y a du reste aucun viol collectif, et une seule fille voit atterrir sur YouTube l’image d’une scène à laquelle elle a participé, mais très volontairement. Après quoi, tout le monde ayant contracté syphilis ou blennorragie (vite soignés), la bande se disperse, l’un des garçons part faire de l’humanitaire (sic), et un autre, le « gentil » du film, se met en couple stable avec la fille qu’il a honorée...

    Et, comme de bien entendu, l’auteur plaque sur cette chose le refrain habituel : « D’après une histoire vraie », qui se serait, d’ailleurs, passée aux États-Unis, et pas à Biarritz comme ici. On a l’habitude de ce genre d’imposture, qui ne renforce en rien l’intérêt de son travail, même avec l’ajout artificiel de l’époque très particulière en France, celle de la canicule meurtrière de 2003, qui tombe là comme un cheveu sur la soupe.

    Inutile de souligner que le complément du titre, « Une histoire d’amour moderne », est loufoque et lourdingue : le film, qui ne traite que de l’ennui et du vide intellectuel, ne parle ni d’amour ni de modernité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 14 janvier 2016
    Les images sont très belle, l'allusion à Larry Clark dans la mise en scène est évidente (même si les puristes diront que c'est raté), on ne s'ennuie pas. Mais quel mauvais traitement! D'accord, ce sont des ados de seize ans, était-on obligé d'en faire des idiots pour autant (mention spéciale pour Alex et Laetitia d'ailleurs)? Ça veut bien dire ce que ça veut dire: il paraîtrait qu'Eva Husson ne veuille pas porter de jugement sur ses personnages ; en voilà déjà un: en traitant ces personnages comme des idiots (Laetitia), des égoïstes (Alex) ou au mieux des désespérés (George et Gabriel), il est peu probable que ces partouzes doivent être vues comme une bonne chose pour le spectateur. La conclusion du film le confirme en effet ("C'est quoi ces rapports de merde que vous avez entre vous?"), lorsque le tout tombe dans une moraline téléphonée, très politiquement correcte en somme. C'est peut-être le plus gros problème du film: d'être si regardable, si politiquement dans les clous, alors qu'il nous promettait au contraire quelque chose de provocant. À éviter.
    tony-76
    tony-76

    1 071 abonnés 1 410 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Premier long-métrage de Éva Lusson, Bang Gang (une histoire d'amour moderne) est un film qui dresse le portrait de l'adolescence sur le monde de la provocation à savoir le sexe, le drogue et encore le sexe. L'histoire d'une jolie jeune fille de seize ans : George, qui est amoureuse d'un garçon, Alex. Et, se prépare à un jeu collectif avec leurs amis et découvrent à plusieurs les limites de leur sexualité. Le pitch de départ est pourtant novateur et la cinéaste donne quelques idées intéressantes mais cela manque d'émotion, de profondeur et de rythme... Malgré une honnête performance de Marilyn Lima et de Lorenzo Lefèvre, les personnages, en général, sont naïfs ! Finnegan Oldfield (aperçu dans Les Cowboys au côté de François Damiens) reste très passable... On l'a connu meilleur dans le drame de Thomas Bidegain ou dans l'hilarante comédie qu'est A toute épreuve d'Antoine Blossier. Le film en soi est assez répétitif, des scènes de sexe soft et des dialogues ridicules ! Néanmoins, la bande son mérite d'être écouter à la fois électrique et pop, et l'utilisation de la musique de Véronique Sanson est bien amenée. Pour conclure, ce Bang Gang laisse sur sa faim et ne surprend guère... Une oeuvre bancale !
    théo Monier
    théo Monier

    3 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 juin 2016
    Une belle histoire d'amour, très différente de ce que l'on peut voir dans les films sur la jeunesse. Très bien mené, avec une bande son qui donne la pêche ! Tout en sensualité et en érotisme, je conseille ce film, très frais, qui décoiffe !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    J'ai vu le film en avant première. La réalisatrice et l'acteur principal ont ensuite éclairé la démarche l'ambiance du film. Les deux personnes étaient intéressantes. Ce sont des gens qui ont une carrure, une vraie réflexion et démarche artistique.
    J'étais réticent par rapport au sujet. Mais je suis content d'avoir vu ce film. Il n'y a pas de voyeurisme. Les acteurs sont très bons. La BO très bien. Elle a été l'objet d'une très grande attention.
    Pas de jugement de la part de la réalisatrice, juste une occasion pour le spectateur de s'interroger, se confronter.
    A voir. Et aussi pour soutenir un cinéma français de qualité, riche de promesses.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juin 2016
    Un film très érotique, sans cliché et pas du tout creux comme pourrait supposer le thème "une histoire d'amour moderne". Au contraire, il y a dans ce film beaucoup de finesse, de très belles images, une bande son géniale et un vrai regard sur la jeunesse et les Hommes en général.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 15 août 2016
    Que c'est mal joué et racoleur... La dernière scène avec le père de Gabriel sauve le film du zéro pointé.
    selenie
    selenie

    6 228 abonnés 6 180 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 juillet 2016
    Pour son premier film la réalisatrice a choisi une histoire sulfureuse et osée puisqu'elle choisit de filmer des ados dans leurs ébats sexuels style partouze de vacances. On pense évidemment d'emblée à "La Crème de la crème" (2014) de Kim Chapiron et "The smell of Us" (2015) de Larry Clark... Des films qui l'ont certainement inspirés bien qu'elle annonce plutôt Paul Thomas Anderson, Wong Kar-Wai et Gus Van Sant ! Disons-le de suite Eva Husson n'a ni leur subtilité ni leur sens de l'image. Seul (gros) bonus de ce film est d'avoir su choisir un joli casting, prometteur, dont la jeune inconnue Marylin Lima. Néanmoins ça reste un film prétentieux dans la forme et hypocrites dans le fond.
    ffred
    ffred

    1 695 abonnés 4 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 janvier 2016
    Attention, le titre est trompeur, le sous-titre l'est moins. Pas vraiment le film provocateur et dérangeant que l'on croyait voir. Bang Gang parle surtout d'amour. Certes, quelques zizis se baladent par ci par là, les dialogues sont assez crus et quelques scènes sont assez chaudes. Mais tout arrive suite à un dépit amoureux. Pour son premier long métrage, Eva Husson met un certain style dans sa mise en scène. Son scénario est assez finement écrit, évitant les longueurs, ne jugeant pas ses personnages, ne faisant pas que l'on s’attache à l'un plus qu'à l'autre. L'ensemble reste paradoxalement assez sage. On attendait peut être quelque chose de plus trash, à la Larry Clark par exemple. Tous les acteurs font ici, ou presque, leurs premiers pas devant la caméra. A part Finnegan Oldfield qui commence à se faire une belle filmographie (Ni le ciel ni la terre, Les Cowboys). Ils sont tous très bien. Si on ajoute à cela une très belle photo et une bande-son sympa, on obtient un premier film intéressant, qui aurait pu aller plus loin, mais qui augure sans doute de belles choses pour sa réalisatrice et ses acteurs. A découvrir donc.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 146 abonnés 5 130 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 août 2016
    Sur le débordement de la jeunesse. Que ce soit comme ici dans le sexe ou bien l'alcool. Il n'y a pas de limites dans les excès. Le "social" n'est plus dans les simples rencontres mais dans les corps qui se touchent, dans le complet abandon vers l'autre. Je vois aussi dans sa deuxième partie une forme d'amour excessif comme un jeu qui polluerait l'amour véritable et sentimental. Constat brut.
    moket
    moket

    524 abonnés 4 329 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 29 janvier 2017
    Un film bancal qui se veut transgressif sans parvenir à l'assumer. On suit une bande d'ados trop gâtés et on se fout royalement de leurs histoires à coups d'orgies et de flashbacks répétitifs. Les personnages sont presque tous antipathiques. La réalisation est stylisée mais aseptisée. Seule la BO envoutante rehausse un peu le niveau.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    246 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 janvier 2016
    Pendant longtemps, lorsqu'on faisait des films sur les adolescents et le sexe, c’étaient bien souvent pour raconter les galères de jeunes puceaux obsédés par leur première fois. Aujourd'hui, on a l'impression que le sexe est devenu beaucoup plus accessible dès l'adolescence et Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne) en est un peu la preuve puisque la réalisatrice Eva Husson s'est inspiré d'une histoire vraie qui s'est déroulée aux Etats Unis pour écrire son long métrage.

    Mais si elle ne l'avoue pas, Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne) ressemble énormément à une adaptation cinématographique de la série anglaise Skins. On y retrouve exactement le même cocktail de musique électro, drogues et sexes dans des ambiances brumeuses et éthérée. Mais comme nous sommes dans un film bien français, Eva Husson ose plus de nudité et colle une bande son pleine de musique classique et de tubes de la variété française.

    Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne) suit au début deux copines George la délurée (Marilyn Lima) et Laetitia la jeune fille vierge et sage (Daisy Broom) qui vont rapidement se brouiller à cause d'Alex (Finnegan Oldfield), jeune queutard bourgeois que sa mère laisse seul dans leur grande maison de familles où il peut recevoir à volonté tous ses potes. Restant à l'écart du groupe il y a le solitaire Gabriel (Lorenzo Lefebvre) marqué par l'accident qui a rendu son père handicapé et qui préfère composer de la musique dans sa chambre ou se défouler dans d'étrange réunions de pogo sur fond de musique electro.

    Tourner avec de jeunes acteurs, qui sont en plus pour la plupart débutant, n'est jamais facile mais il faut reconnaître que la réalisatrice pourtant encore peu expérimentée, a su parfaitement les diriger. Tous jouent étonnamment juste et donne vraiment l'impression de voir un vrai film plus qu'une simple réunion de potes devant une caméra ce qui est trop souvent le cas. Les scènes de sexe sont nombreuses mais toujours assez pudiques, filmées généralement de loin ou de manière esthétique sans jamais trop en faire. Il fallait tout de même bien du courage à tous ses jeunes acteurs pour s'exhiber totalement nus comme cela, il faut dire qu'ils ont tous des physiques vraiment parfait ne montrant pas vraiment la diversité des adolescents que ce soit en terme de corpulence et même de couleurs.

    Curieusement la réalisatrice filme la dérive de cette bande de jeunes sans aucun parti pris pendant presque toute la durée du long métrage. Que cela puisse influencer un jeune public ne semble pas inquiéter la réalisatrice de 39 ans peut être pas encore concernée par l'éducation d'enfants de cet age. Elle semble juste faire un parallèle lourdingue avec des nouvelles quotidiennes de trains qui déraillent qui semblent plus inquiéter les parents que ce que peuvent faire leurs enfants. Et puis soudainement la fin du film devient extrêmement moraliste avec un père chargé de faire la morale et un événement qui vient mettre un terme définitif à ces soirées.

    Au crédit de Bang Gang (Une Histoire Moderne), il faut reconnaître que pour un premier film, la réalisatrice Eva Husson fait preuve d'une belle maîtrise visuelle rappelant les films de David Hamilton et d'un grand talent dans la direction d'acteurs. Saluons aussi au passage cette belle bande d'acteurs et actrices très prometteur que l'on reverra certainement très vite dans d'autres films. En revanche, on ne peut pas dire que son scénario très inspiré par la série Skins ne soit franchement une réussite surtout pour sa fin vraiment plombante et L'histoire d'amour promise qui tombe comme un cheveu sur la soupe à la fin sans vraiment être touchante. Ce film risque fort de donner des idées aux adolescents et de faire flipper leurs parents.
    platinoch
    platinoch

    39 abonnés 132 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 mai 2016
    S'inspirant d'un fait divers réel qui avait défrayé la chronique américaine, Eva Husson signe avec "Bang Gang" un film sensuel sur les dérives adolescentes. Une œuvre culottée et déculottée!
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