Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne) : Critique presse
Bang Gang (Une Histoire D'Amour Moderne)
Note moyenne
2,9
20 titres de presse
Les Inrockuptibles
Transfuge
Culturopoing.com
Elle
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Cahiers du Cinéma
Franceinfo Culture
Le Monde
Studio Ciné Live
aVoir-aLire.com
L'Express
L'Obs
Le Dauphiné Libéré
Les Fiches du Cinéma
Libération
Première
Télérama
TF1 News
VSD
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Dans la réussite de son film, Eva Husson a été plus que bien épaulée par son chef op (Mattias Troelstrup) et ses acteurs novices aux noms de stars internationales : Finnegan Oldfield tranchant comme une lame, Marilyn Lima petite Bardot en herbe, Daisy Broom et sa très sexy coquetterie dans l’œil, Lorenzo Lefebvre tout en beauté ténébreuse…
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Sidy Sakho
Très réussi.
Culturopoing.com
par Marc Bousquet
Eva Husson réussit à filmer au plus juste ces êtres humains en construction, d’une beauté, d’une pureté et d’une fragilité qui traversent le film de part en part, transcendées par la caméra subtile de la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Amandine Seguin
En bref, une histoire à voir parce qu’elle nous rappelle les films de Larry Clark, en beaucoup plus tendre.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec une troupe d’acteurs novices épatants et un brin d’humour, le projet n’évite pas les stéréotypes ni les références. Mais au moyen d’une réalisation habile et aboutie, il les transcende pour aller jusqu’au bout de son inspiration sulfureuse et sensuelle.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Il faut dire que « Bang Gang » n'y va pas avec le dos de la cuillère sur les dérives d'adolescents. Sexe, drogue et amour à plusieurs. Punition vénérienne. Mais un vrai souffle sensuel et moderne. Un amour transgressif des corps.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film trouve sa voie, cahin-caha, parce qu’il ne se contente pas de poser son concept sur la table (un pitch, un look), mais cherche toujours à le remettre en cause.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce film porte un regard cru sur le rapport au sexe d'une génération et ne manque pas de qualités, même si certaines des intentions d'Eva Husson tombent un peu à plat.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Peu d'explications, peu de profondeur, peu de contexte, peu d'intrigue. Plutôt un désir d'exposer l'opacité adolescente à la lumière du cinéma, de faire miroiter la surface des choses. C'est la rigueur entêtée de ce parti pris qui fait la vertu du film.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Eva Husson cherche la provoc mais ne semble pas assumer l'aspect subversif de son sujet, de même, d'ailleurs, qu'elle peine à rendre crédible cette parenthèse luxurieuse. Cela étant, une vérité émerge des personnages (...).
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
"Bang Gang" est un film à fleur de peau, aussi naïf que ses personnages. Et c’est précisément pour cela qu’il nous touche.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Eric Libiot
Le film montre sans expliquer, effleure sans approfondir, laisse sur sa faim et ne choque même pas.
L'Obs
par La Rédaction
Le film bénéficie du talent de ses interprètes, parmi lesquels Finnegan Oldfield ("les Cowboys"), mais l’absence d’un personnage qui soit à même d’assurer le lien entre les séquences empêche le spectateur de se sentir concerné autrement que de manière très éphémère et sur un mode où le voyeurisme a sa part.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une succession de flashback racontant de manière répétitive les ruptures et les réconciliations sexuelles d’un couple. On s’en lasse.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
Malgré un titre clin d'œil à l'univers de la pornographie et ses prétentions sulfureuses, “Bang gang” se révèle convenu et aseptisé.
Libération
par Julien Gester
(...) passé quelques traits délicats et au moins autant d’embardées aux relents un rien putassiers, ce caractère réticulaire venait appuyer aussi, avec une assez cruelle ironie, l’ultime péripétie d’une histoire soudain rattrapée par les leçons de morale.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
"Bang Gang...", portrait de l’adolescence"vu à travers le prisme d’un érotisme débridé (par dépit amoureux, une jeune fille invente des jeux sexuels collectifs sur fond de coke et d’alcool), ne tient pas les promesses de son pitch provocateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Louis Guichard
Emaillé de belles idées, jusque dans l'utilisation d'une chanson de Véronique Sanson, le film sort du lot mais reste bancal, entre transgression mal assumée et conformisme latent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
TF1 News
par Romain Le Vern
Super poseur, "Bang Gang" cherche une profondeur dans les moules les plus creux. Le traitement se voudrait proche des teen movie américains cotonneux et mélancoliques. Il se rapproche davantage d'une fastidieuse variation de "Faustine le bel été" (Nina Companeez, 1972).
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
VSD
par Bernard Achour
De l’érotisme atrocement hypocrite, qui culpabilise le spectateur de se sentir émoustillé.
Les Inrockuptibles
Dans la réussite de son film, Eva Husson a été plus que bien épaulée par son chef op (Mattias Troelstrup) et ses acteurs novices aux noms de stars internationales : Finnegan Oldfield tranchant comme une lame, Marilyn Lima petite Bardot en herbe, Daisy Broom et sa très sexy coquetterie dans l’œil, Lorenzo Lefebvre tout en beauté ténébreuse…
Transfuge
Très réussi.
Culturopoing.com
Eva Husson réussit à filmer au plus juste ces êtres humains en construction, d’une beauté, d’une pureté et d’une fragilité qui traversent le film de part en part, transcendées par la caméra subtile de la réalisatrice.
Elle
En bref, une histoire à voir parce qu’elle nous rappelle les films de Larry Clark, en beaucoup plus tendre.
Le Journal du Dimanche
Avec une troupe d’acteurs novices épatants et un brin d’humour, le projet n’évite pas les stéréotypes ni les références. Mais au moyen d’une réalisation habile et aboutie, il les transcende pour aller jusqu’au bout de son inspiration sulfureuse et sensuelle.
Le Parisien
Il faut dire que « Bang Gang » n'y va pas avec le dos de la cuillère sur les dérives d'adolescents. Sexe, drogue et amour à plusieurs. Punition vénérienne. Mais un vrai souffle sensuel et moderne. Un amour transgressif des corps.
Cahiers du Cinéma
Le film trouve sa voie, cahin-caha, parce qu’il ne se contente pas de poser son concept sur la table (un pitch, un look), mais cherche toujours à le remettre en cause.
Franceinfo Culture
Ce film porte un regard cru sur le rapport au sexe d'une génération et ne manque pas de qualités, même si certaines des intentions d'Eva Husson tombent un peu à plat.
Le Monde
Peu d'explications, peu de profondeur, peu de contexte, peu d'intrigue. Plutôt un désir d'exposer l'opacité adolescente à la lumière du cinéma, de faire miroiter la surface des choses. C'est la rigueur entêtée de ce parti pris qui fait la vertu du film.
Studio Ciné Live
Eva Husson cherche la provoc mais ne semble pas assumer l'aspect subversif de son sujet, de même, d'ailleurs, qu'elle peine à rendre crédible cette parenthèse luxurieuse. Cela étant, une vérité émerge des personnages (...).
aVoir-aLire.com
"Bang Gang" est un film à fleur de peau, aussi naïf que ses personnages. Et c’est précisément pour cela qu’il nous touche.
L'Express
Le film montre sans expliquer, effleure sans approfondir, laisse sur sa faim et ne choque même pas.
L'Obs
Le film bénéficie du talent de ses interprètes, parmi lesquels Finnegan Oldfield ("les Cowboys"), mais l’absence d’un personnage qui soit à même d’assurer le lien entre les séquences empêche le spectateur de se sentir concerné autrement que de manière très éphémère et sur un mode où le voyeurisme a sa part.
Le Dauphiné Libéré
Une succession de flashback racontant de manière répétitive les ruptures et les réconciliations sexuelles d’un couple. On s’en lasse.
Les Fiches du Cinéma
Malgré un titre clin d'œil à l'univers de la pornographie et ses prétentions sulfureuses, “Bang gang” se révèle convenu et aseptisé.
Libération
(...) passé quelques traits délicats et au moins autant d’embardées aux relents un rien putassiers, ce caractère réticulaire venait appuyer aussi, avec une assez cruelle ironie, l’ultime péripétie d’une histoire soudain rattrapée par les leçons de morale.
Première
"Bang Gang...", portrait de l’adolescence"vu à travers le prisme d’un érotisme débridé (par dépit amoureux, une jeune fille invente des jeux sexuels collectifs sur fond de coke et d’alcool), ne tient pas les promesses de son pitch provocateur.
Télérama
Emaillé de belles idées, jusque dans l'utilisation d'une chanson de Véronique Sanson, le film sort du lot mais reste bancal, entre transgression mal assumée et conformisme latent.
TF1 News
Super poseur, "Bang Gang" cherche une profondeur dans les moules les plus creux. Le traitement se voudrait proche des teen movie américains cotonneux et mélancoliques. Il se rapproche davantage d'une fastidieuse variation de "Faustine le bel été" (Nina Companeez, 1972).
VSD
De l’érotisme atrocement hypocrite, qui culpabilise le spectateur de se sentir émoustillé.