AlloCiné
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Il y a des films qu'il faut voir absolument pour prendre une leçon de cinéma ( "a touch of sin"), d'autres à fuir absolument tant l'accumulation d’aberrations exaspère ( "vincent n'a pas d'écaille", mais je me répète ). SKY fait partie d'une nouvelle catégorie de film : le film réussi raté.
Il y a en effet tous les clichés propre au genre, dans un parfait respect des règles de cinéma :tout y est académique. Présentation générale des personnages ( accumulation de clichés), Les caractères des protagonistes : Lelouche en mari épais est une caricature. La comédienne dont j'ai oublié le nom en est une autre. Renfort de gros plans. Voila, on explique bien pourquoi le couple se délite. Bien, c'est clair. Puis commence le road movie : vu et revu, rien de neuf, mais moins lourd que la première partie. Belles perspectives. Fin de la ballade. Enfin commence l'amourette et les rencontres. Une suite de clichés sur le désœuvrement des habitants de ces contrées. Alternance de dialogues et silences profonds. Pittoresque. C'est la partie la plus intéressante, mais un pour reportage sur la vie des autochtones blancs comme indiens sur l’Arizona du sud, je préfère un reportage sur Arte.
Une fin en queue de poisson semble poindre? Que nenni ! après la petite larme, on a bien droit à un happy end en bonne et due forme. Non, je ne le crois pas, suis-je sur un banc d'école en 1965 en train d'écouter la leçon d'histoire de mon instituteur?
Voila comment, en voulant "tout bien faire comme il faut", on ne fait rien du tout finalement, en tout cas pas du cinéma. Vous voila prévenu, ce film est donc à voir pour voir comment ne rien voir.
Il y a en effet tous les clichés propre au genre, dans un parfait respect des règles de cinéma :tout y est académique. Présentation générale des personnages ( accumulation de clichés), Les caractères des protagonistes : Lelouche en mari épais est une caricature. La comédienne dont j'ai oublié le nom en est une autre. Renfort de gros plans. Voila, on explique bien pourquoi le couple se délite. Bien, c'est clair. Puis commence le road movie : vu et revu, rien de neuf, mais moins lourd que la première partie. Belles perspectives. Fin de la ballade. Enfin commence l'amourette et les rencontres. Une suite de clichés sur le désœuvrement des habitants de ces contrées. Alternance de dialogues et silences profonds. Pittoresque. C'est la partie la plus intéressante, mais un pour reportage sur la vie des autochtones blancs comme indiens sur l’Arizona du sud, je préfère un reportage sur Arte.
Une fin en queue de poisson semble poindre? Que nenni ! après la petite larme, on a bien droit à un happy end en bonne et due forme. Non, je ne le crois pas, suis-je sur un banc d'école en 1965 en train d'écouter la leçon d'histoire de mon instituteur?
Voila comment, en voulant "tout bien faire comme il faut", on ne fait rien du tout finalement, en tout cas pas du cinéma. Vous voila prévenu, ce film est donc à voir pour voir comment ne rien voir.
Surprenant ! Diane Krüger se révèle , et oh joie j'y ai pris un certain plaisir ! Elle devient humaine et sensible....
Le plus drôle étant de voir Diane K en Rabbit a Las Vegas avec un sex appeal de poule devant une brosse à dent .....
Et puis tout doucement cela ce transforme et prend vie .... Elle incarne cette femme totalement irréel qui décide de redémarrer sa vie , suite à une relation trop longue avec un beauf, gille Lellouche - décidément il a la tête de l'emploi......-. Puis une vrai ambiance se dessine à la fois dans les paysage de la frontière mexicaine et à la fois très intimiste.. Et c'est vraiment réussi car j'en oublie la total invraisemblance de la situation...
Bande son rocailleuse a la tom watts et à la Nick cave et la j'adore.
Bonne surprise mais il faut attendre 1 h de film pour enfin s'enfoncer dans cette romance mystique et magique entre une française d'origine allemande qui n'y croyait plus...
Le personnage du cowboy incarné par Norman Reedus est excellent, ténébreux à souhait et presque Côme un fantôme ....j'ai même cru qq seconde que c'était le chanteur des white stripe , Jack White qui l'interprétait....mais en plus defoncê.
Le plus drôle étant de voir Diane K en Rabbit a Las Vegas avec un sex appeal de poule devant une brosse à dent .....
Et puis tout doucement cela ce transforme et prend vie .... Elle incarne cette femme totalement irréel qui décide de redémarrer sa vie , suite à une relation trop longue avec un beauf, gille Lellouche - décidément il a la tête de l'emploi......-. Puis une vrai ambiance se dessine à la fois dans les paysage de la frontière mexicaine et à la fois très intimiste.. Et c'est vraiment réussi car j'en oublie la total invraisemblance de la situation...
Bande son rocailleuse a la tom watts et à la Nick cave et la j'adore.
Bonne surprise mais il faut attendre 1 h de film pour enfin s'enfoncer dans cette romance mystique et magique entre une française d'origine allemande qui n'y croyait plus...
Le personnage du cowboy incarné par Norman Reedus est excellent, ténébreux à souhait et presque Côme un fantôme ....j'ai même cru qq seconde que c'était le chanteur des white stripe , Jack White qui l'interprétait....mais en plus defoncê.
Très beau et sensible portrait de femme, admirablement interprété par Diane Kruger. C'est un road movie émouvant. Je salue également le jeu du charismatique de Norma Reedus qui est très juste dans ce film.
Un road movie très émouvant dans lequel la beauté de Diane Kruger et son talent font merveille comme d'habitude et quel plaisir de retrouver le charismatique Norman Reedus découvert dans The walking Dead dans le rôle d'un vétéran brisé par la vie. Les paysages sont magnifiques et la musique de Rover excellente.
Sylvain P
Road trip lent, Sky est habité par la sublime Diane Kruger qui retrouve sa liberté après une rupture. La photographie est magnifique mais les quelques longueurs desservent un film par ailleurs aérien. C'est un beau voyage inabouti.
J'ai tout simplement adoré , tout y est !
L'émotion , les sentiments et Diane Kruger est épatante!
Et Norman Reedus était tout simplement parfait , et émouvant loin du Daryl Dixon légendaire et franchement ça m'a fait du bien !
Merci Fabienne Berthaud pour ce film si joliment fait !
L'émotion , les sentiments et Diane Kruger est épatante!
Et Norman Reedus était tout simplement parfait , et émouvant loin du Daryl Dixon légendaire et franchement ça m'a fait du bien !
Merci Fabienne Berthaud pour ce film si joliment fait !
Le film parle de la rédemption des êtres, des corps et surtout si le message de la délivrance s'inscrit dans un scénario un peu cliché, "Sky" reste pour Diane Kruger une histoire où elle a pu accomplir aussi un questionnement sur la maternité ! Une bonne chose ou peut être une bonne nouvelle pour l'actrice qui partage sa vie depuis longtemps avec Joshua Jackson...Le film joue comme un filtre révélateur dans une scène particulière, "instrumentalisée" par Fabienne Berthaud qui n'a pas toujours utilisé des comédiens professionnels ! Bref si l'histoire jongle avec des répliques un brin naïves, le fil conducteur du scénario ne pose pas suffisamment l'émotion au fur et à mesure du déroulé des scènes. Dans des paysages somptueux, les images jouent avec la lumière naturelle, mais les dialogues restent les enfants pauvres d'un film à petit budget.
traversay1
Sky n'est pas à proprement parler un réel road-movie ou alors si, mais mental, aux basques d'une femme en rupture de ban qui semble peu à même de se réaliser pleinement. Le scénario n'est pas d'une grande originalité et parait s'en remettre aux seules dérives de son héroïne. Au passage, le film nous livre quelques clichés durs comme de la pierre sur l'Amérique rurale et Las Vegas. Depuis ses débuts, Fabienne Berthaud a fait de Diane Kruger son égérie, comme une sorte de double déboussolée et en quête perpétuelle. Il faut reconnaître que l'actrice lui fait une entière confiance y compris pour se rendre ridicule ou pathétique, parfois, touchante le plus souvent. A l'inverse de ses confrères cinéastes, la réalisatrice ne joue pas sur sa beauté mais sur sur ses variations de jeu. S'il y a un intérêt à voir Sky, c'est bien là qu'il se trouve.
weihnachtsmann
Un voyage interrompu qui abouti sur une rencontre impromptue et un saut dans l'inconnu. La fin du film est assez belle. La scène dans le lit à la fin est très jolie mais c'est dommage que le reste soit assez glauque et si triste. Cela dit c'est un bel espoir de renouveau pour les gens qui subissent une séparation. L'histoire de deux personnes différentes qui se retrouvent dans leur fragilité et la mort en eux qui peut donner la vie.
Un film généreux avec une Diane Kruger inspirée, forte et généreuse elle aussi. Beaucoup de douceur. Des acteurs portés par une réalisatrice qui les aime (ça se sent). Certes, la cinématographie, la mise en scène, et le scénario sont critiquables, mais on l'oublie assez vite, emporté par la grâce.
Ce film est une excellente surprise, une grosse claque en sortant de la salle. Un film très beau et très touchant, un jeu d'acteurs parfaitement mené, des paysages splendides, et une bande son que je cherche à retrouver désespérément, sans succès pour le moment. Une alternance de scènes légères, drôles, et plus graves habilement dosées, sur une tonalité de liberté omniprésente et insaisissable à la fois. On en reste imprégné pendant un bon moment. Joli coup de cœur.
pierrre s.
Toujours incroyable (et particulier) de voyager, alors que l'on est assis dans un fauteuil de cinéma. Néanmoins le road-trip n'est pas mon genre préfèré. En effet, je trouve que les films ont du mal à se renouveler.. Sky, malgré de nombreuses qualités n'échappe pas à la règle, et rempli un à un les codes du genre mais sans jamais les bouleverser.
très bon film qui nous entraîne dans une histoire oú se croise des vies et des personnages attachant.
Après « Frankie » et « Pieds nus sur les limaces » Fabienne Berthaud retrouve son actrice fétiche, l’excellente et non moins superbe Diane Kruger. Dans la famille des ex-top-models devenues actrices elle est de très loin la meilleure. En vacances avec son macho de mari (Gilles Lelouche, parfaitement ignoble) dans l’ouest américain, Romy prend la tangente à la suite d’une violente dispute. À bord d’une vieille voiture, elle s’enfuit sans but, sauf celui de se perdre pour mieux sans doute, se retrouver. Elle fait la rencontre d’un homme esquinté, revenu de tout, dont elle tombe amoureuse… Au fil de son périple, elle va croiser la route de plusieurs individus à la marge qui lui redonneront la force de vivre. Sur un scénario plutôt mince, la réalisatrice dresse le portrait lumineux d’une femme blessée face à son destin dont les choix aventureux surprennent et convainquent. Ce n’est pas un film bavard mais contemplatif où les regards et les paysages ont la part belle. Ce road movie est avant tout un plaidoyer pour la liberté, une ode au courage et aux chemins de traverse, loin du consensus mou qui gouverne nos vies. Fabienne Berthaud transmet bien la fascination qu’a l’air d’exercer sur elle cette Amérique non conformiste, à mille lieux des poncifs véhiculés par la plupart des séries. Ici, c’est plutôt à feu Jim Harrison, Barbara Kingslover ou Dorothy Allison que l’on pense, des écrivains qui ne s’intéressent pas qu’aux winners. La peinture des personnages est subtile, le résultat extrêmement authentique. À l’image du beau casting (Norman Reedus vu dans « Walking dead » ou Q’Orianka Kilcher, l’héroïne magnifique du « Nouveau monde » de Terrence Malick). Un film fragile, touchant et porteur d’espoir qui mérite toute votre attention.
Sky est à la fois contemplatif et psychologique. On retrouve une Diane Kruger au somme et un Norman Reedus touchant. Les deux brisent leur barrière à leur manière. Je reste sur ma fin mais je suis très heureux de l'avoir enfin vu. Pas indispensable, mais surprenant par moment.
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