Esto es lo que hay, chronique d'une poésie cubaine : Critique presse
Esto es lo que hay, chronique d'une poésie cubaine
Note moyenne
3,4
8 titres de presse
Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
Libération
Positif
L'Obs
Première
Télérama
Le Monde
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
À l’heure où la reprise des relations diplomatiques entre Cuba et les États-Unis fait figure d’événement historique, la sortie du documentaire de Léa Rinaldi offre un passionnant contre-point sur le quotidien des Cubains.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Derrière ce portrait de trois artistes se dévoile la condition des Cubains d'aujourd'hui. Authentique et émouvant.
Libération
par François-Xavier Gomez
Filmé au plus près des corps, Esto es lo que hay (...) est une épopée de colère, de résistance à la répression, avec de beaux moments d’émotion
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Hubert Niogret
Filmant elle-même avec des moyens modestes et parfois approximatifs l'aventure de Los Aldeanos, Léa Rinaldi nous transmet un témoignage rare, un triple portrait (...).
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce premier film, tourné en douce, est un peu brouillon, mais constitue un témoignage unique. Son titre lui va comme un gant : "On fait avec ce qu’on a."
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Christophe Narbonne
Tourné pendant six ans, ce documentaire sur Los Aldeanos, le groupe de rap contestataire le plus populaire de Cuba, pâtit un peu d’un montage confus, résultat de sa production à rallonge. Il offre toutefois un témoignage précieux sur l’évolution de cette île stratégique, complexe et ambiguë.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Frédéric Strauss
Ce film de groupie, un peu léger, capte pourtant des choses fortes. (...) On finit, nous aussi, fan de Los Aldeanos.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La réalisatrice Léa Rinaldi a suivi le groupe de rap cubain Los Aldeanos. Muselés par le pouvoir, ces jeunes gens ont longtemps expérimenté ce qu'il en coûte de de dénoncer l'impéritie du gouvernement (...) Tel est le fil rouge d'un film qui peine à installer ses personnages et à en faire une histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
À l’heure où la reprise des relations diplomatiques entre Cuba et les États-Unis fait figure d’événement historique, la sortie du documentaire de Léa Rinaldi offre un passionnant contre-point sur le quotidien des Cubains.
Les Fiches du Cinéma
Derrière ce portrait de trois artistes se dévoile la condition des Cubains d'aujourd'hui. Authentique et émouvant.
Libération
Filmé au plus près des corps, Esto es lo que hay (...) est une épopée de colère, de résistance à la répression, avec de beaux moments d’émotion
Positif
Filmant elle-même avec des moyens modestes et parfois approximatifs l'aventure de Los Aldeanos, Léa Rinaldi nous transmet un témoignage rare, un triple portrait (...).
L'Obs
Ce premier film, tourné en douce, est un peu brouillon, mais constitue un témoignage unique. Son titre lui va comme un gant : "On fait avec ce qu’on a."
Première
Tourné pendant six ans, ce documentaire sur Los Aldeanos, le groupe de rap contestataire le plus populaire de Cuba, pâtit un peu d’un montage confus, résultat de sa production à rallonge. Il offre toutefois un témoignage précieux sur l’évolution de cette île stratégique, complexe et ambiguë.
Télérama
Ce film de groupie, un peu léger, capte pourtant des choses fortes. (...) On finit, nous aussi, fan de Los Aldeanos.
Le Monde
La réalisatrice Léa Rinaldi a suivi le groupe de rap cubain Los Aldeanos. Muselés par le pouvoir, ces jeunes gens ont longtemps expérimenté ce qu'il en coûte de de dénoncer l'impéritie du gouvernement (...) Tel est le fil rouge d'un film qui peine à installer ses personnages et à en faire une histoire.