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Ce dont peut-être le film nous parle : dans la difficulté de voir, la recherche d’un accès à ce qui reste irregardable (...) "Le Rappel des oiseaux" propose sa modeste solution en s’offrant comme une description des regards en présence.
Ce dispositif est fragile – on en sent toute l’écriture – mais cette fragilité même en fait le contraire d’un film opportuniste et voyeur. Il permet finalement d’interroger une forme communément partagée de fascination, qui du spectacle le plus étranger et insoutenable a priori, fraie un chemin vers une contemplation étonnamment calme et l’examen des plus intimes représentations.
En cinéaste avisé, Batut repousse d'abord l'évènement par une longue attente, par le biais du trajet angoissé qui l'amène sur les lieux: il ne s'agira pas tant d'un document ethnographique que d'un voyage intime vers l'au-delà, qui doit profondément bousculer la perception.
A ceux qui s’étonnent qu’un film de 40 minutes seulement puisse sortir en salle sans double programme, on leur répondra simplement que, quand on regarde une nuée de vautours réduire un défunt en charpie, chaque seconde compte double.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le décalage entre la force brute des images et le dialogue très écrit que récitent le réalisateur et son traducteur crée une distance propice à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Pas assez ethnographique, médiocrement réflexif, "Le Rappel des oiseaux" (du nom d'une pièce délicate de Rameau) aurait plus sa place dans un festival de films gore qu'au Réel à Beaubourg.
Les Inrockuptibles
Ce dont peut-être le film nous parle : dans la difficulté de voir, la recherche d’un accès à ce qui reste irregardable (...) "Le Rappel des oiseaux" propose sa modeste solution en s’offrant comme une description des regards en présence.
Libération
Stéphane Batut dévoile un rite funéraire et interroge avec poésie et violence les rapports au corps et à la mort.
Cahiers du Cinéma
Ce dispositif est fragile – on en sent toute l’écriture – mais cette fragilité même en fait le contraire d’un film opportuniste et voyeur. Il permet finalement d’interroger une forme communément partagée de fascination, qui du spectacle le plus étranger et insoutenable a priori, fraie un chemin vers une contemplation étonnamment calme et l’examen des plus intimes représentations.
Le Monde
En cinéaste avisé, Batut repousse d'abord l'évènement par une longue attente, par le biais du trajet angoissé qui l'amène sur les lieux: il ne s'agira pas tant d'un document ethnographique que d'un voyage intime vers l'au-delà, qui doit profondément bousculer la perception.
Critikat.com
A ceux qui s’étonnent qu’un film de 40 minutes seulement puisse sortir en salle sans double programme, on leur répondra simplement que, quand on regarde une nuée de vautours réduire un défunt en charpie, chaque seconde compte double.
Télérama
Le décalage entre la force brute des images et le dialogue très écrit que récitent le réalisateur et son traducteur crée une distance propice à la réflexion.
aVoir-aLire.com
Stéphane Batut signe un documentaire inégal un sujet fort et qui ne peut que nous interroger.
Positif
Pas assez ethnographique, médiocrement réflexif, "Le Rappel des oiseaux" (du nom d'une pièce délicate de Rameau) aurait plus sa place dans un festival de films gore qu'au Réel à Beaubourg.