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Votre avis sur Brimstone ?
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Le défaut de ce film n'est pas tant la folie et la violence qu'il contient : ce sont ses multiples invraisemblances. À cela s'ajoute une idéologie simpliste. Bref, à part l'adrénaline de l'hémoglobine, je me suis ennuyé.
Film a fuir ! Perte de temps de pres de 2h20
Violences gratuite,scènes choquantes, prévisible et irréaliste !
Je n arrive toujours pas à trouver ou ce cache le coté thriller et western , il est juste à classer dans la catégorie des GROS NAVETS !!
dommage que l on ne puisse pas mettre de note négative .
Violences gratuite,scènes choquantes, prévisible et irréaliste !
Je n arrive toujours pas à trouver ou ce cache le coté thriller et western , il est juste à classer dans la catégorie des GROS NAVETS !!
dommage que l on ne puisse pas mettre de note négative .
Dik ap Prale
Une confrontation sadique rendue prenante et palpable grâce à l'interprétation sans faille de ses deux acteurs principaux mais également de tous ceux qui sont dans le champ. Martin Koolhoven à un sacré sens du rythme et quelle direction d'acteur...
Violent, glauque et "épicé". Ce western est plus que brillant quant au scénario, à la réalisation et au casting. Pas fait pour hles pieds tendres, imprévisible de bout en bout, le film est haletant ! L'idée des chapitres est belle, je met 10/10 !
C'est simple, 2h20 de souffrance.
Une demi étoile pour essayé de faire baisser la note de ce film et ainsi éviter à d'autres cette souffrance.
Je regrette sincèrement de ne pas avoir lu les commentaires négatifs avant. Chose que je fait habituellement au cas où.
J'adore les western, et je n'en ai jamais vu de bon qui ne comportait pas son lot de souffrance. La noirceur humaine y est souvent omniprésente.
Mais dans Brimstone, il n'y a que ça. De plus, dans ce film, la noirceur qui y est traité est celle que peuvent subir les enfant. Donc la pire de toute. C'est un sujet qui me fait bouillir, et quand la fin spoiler: on lit: "Chapitre 4 : Le châtiment", on s'attend justement à un châtiment à la hauteur. Et bien, pas du tout.
Quand à ceux qui aime avoir la haine dans leur vie, ils seront ravis de pouvoir la nourrir avec ce film, et bien sûr, ils lui mettront cinq étoiles pour que d'autres puissent la subir.
Une demi étoile pour essayé de faire baisser la note de ce film et ainsi éviter à d'autres cette souffrance.
Je regrette sincèrement de ne pas avoir lu les commentaires négatifs avant. Chose que je fait habituellement au cas où.
J'adore les western, et je n'en ai jamais vu de bon qui ne comportait pas son lot de souffrance. La noirceur humaine y est souvent omniprésente.
Mais dans Brimstone, il n'y a que ça. De plus, dans ce film, la noirceur qui y est traité est celle que peuvent subir les enfant. Donc la pire de toute. C'est un sujet qui me fait bouillir, et quand la fin spoiler: on lit: "Chapitre 4 : Le châtiment", on s'attend justement à un châtiment à la hauteur. Et bien, pas du tout.
Quand à ceux qui aime avoir la haine dans leur vie, ils seront ravis de pouvoir la nourrir avec ce film, et bien sûr, ils lui mettront cinq étoiles pour que d'autres puissent la subir.
Brimstone note
Guy PEARCE joue le rôle d'un psychopathe, sadique, pervers et pédophile, cela fait beaucoup, il ne faut pas s'y fier, comme il le dit dans ses sermons, sous l'habit de l'agneau, se cache une âme corrompue. Le film se décline en plusieurs chapitre, comme dans la bible, tous, nous donnant un portrait des plus noir, pas de résurrection, juste de la noirceur et de la douleur. Une découpage assez habile, une histoire qui se découvre plus qu'elle ne se suit, bref une vrai envie de nous surprendre dans ce western post apocalyptique. Le film est surement bon à bien des égards, mais, il faut se rendre à l'évidence, je n'ai pas aimé cette histoire, trop sombre, trop brut, trop noir; rien ne nous ai épargné, pas une lueur d'espoir, juste la cruauté et le sang des innocents qui se repend, pas de justice. Un choc sans chic.
Guy PEARCE joue le rôle d'un psychopathe, sadique, pervers et pédophile, cela fait beaucoup, il ne faut pas s'y fier, comme il le dit dans ses sermons, sous l'habit de l'agneau, se cache une âme corrompue. Le film se décline en plusieurs chapitre, comme dans la bible, tous, nous donnant un portrait des plus noir, pas de résurrection, juste de la noirceur et de la douleur. Une découpage assez habile, une histoire qui se découvre plus qu'elle ne se suit, bref une vrai envie de nous surprendre dans ce western post apocalyptique. Le film est surement bon à bien des égards, mais, il faut se rendre à l'évidence, je n'ai pas aimé cette histoire, trop sombre, trop brut, trop noir; rien ne nous ai épargné, pas une lueur d'espoir, juste la cruauté et le sang des innocents qui se repend, pas de justice. Un choc sans chic.
Les avis sont mitigés sur ce film qui peut en fasciner certains et en rebuter d'autres.
Tout est excessif , la violence et le sadisme en tout genre jalonnent un récit certes bien mené mais loin de certains cinéastes dont il semble s'être inspiré.
Koolhoven n'est ni Scorcese, ni Leone ou Tarentino et sa surenchère, souvent malvenue en révoltera plus d'un...
Si on a le cœur bien accroché, on regardera néanmoins ce western hollandais comme une curiosité.
Tout est excessif , la violence et le sadisme en tout genre jalonnent un récit certes bien mené mais loin de certains cinéastes dont il semble s'être inspiré.
Koolhoven n'est ni Scorcese, ni Leone ou Tarentino et sa surenchère, souvent malvenue en révoltera plus d'un...
Si on a le cœur bien accroché, on regardera néanmoins ce western hollandais comme une curiosité.
D'une férocité sans précédent, ce western palpitant à de quoi nous réservés des sueurs froides. Le récit initiatique d'une jeune femme joliment interprétée par Dakota Fanning, traquée par son bourreau, un prédicateur sadique joué par un remarquable Guy Pearce méconnaissable. Un survivaliste poignant d'une extrême noirceur de séquence en séquence, avec un sentiment de supériorité qui devient une plongée dans l'horreur la plus insoutenable. Mêlant à la fois le western, le thriller et l'horreur, un film crépusculaire sans pitiés, morbide et sanglant qui n’épargne rien jusqu'au dénouement final. Déconseillé aux âmes sensibles.
Si vous avez des pulsions sado maso, le film est fait pour vous.
Psychologie des personnages incohérente, complaisances troubles pour des violences gratuites qui n'apportent rien à l'histoire.
Du mauvais Tarantino.
Psychologie des personnages incohérente, complaisances troubles pour des violences gratuites qui n'apportent rien à l'histoire.
Du mauvais Tarantino.
Le film serait moins insupportable s'il n'était pas aussi excessif. Tout ici n'est que surenchère et manichéisme.
Guy Pearce surjoue comme jamais. Le montage qui se veut "pesant" est tellement lent qu'il en devient soporifique (avec un montage classique, le film durerait 1h30 max au lieu de 2h30 tellement il raconte finalement peu de choses).
Au lieu de montrer la fuite d'une jeune femme poursuivie par son sociopathe de père, l'héroïne est maltraitée, voir torturée, par la terre entière (seul un personnage se montrera tout juste humain envers elle).
Mais surtout, le personnage du père devient tellement méchant au fil du film qu'il en perd toute crédibilité et sombre dans le grotesque tant ses actions sont plus gratuites que cohérentes avec sa méchanceté et sans lien avec son objectif, il fait juste "des trucs méchants" pour montrer qu'il est méchant, point.
Les autres personnages ne sont pas plus crédibles et font office de décor comme ces ouailles qui observent les agissements les plus inhumains et les moins chrétiens du monde sans lever un sourcil.
Soyons clairs, le film n'a pas d'histoire à raconter, il cherche juste à choquer à travers les souffrances d'une pauvre fille victime d'un univers ultra manichéen.
Guy Pearce surjoue comme jamais. Le montage qui se veut "pesant" est tellement lent qu'il en devient soporifique (avec un montage classique, le film durerait 1h30 max au lieu de 2h30 tellement il raconte finalement peu de choses).
Au lieu de montrer la fuite d'une jeune femme poursuivie par son sociopathe de père, l'héroïne est maltraitée, voir torturée, par la terre entière (seul un personnage se montrera tout juste humain envers elle).
Mais surtout, le personnage du père devient tellement méchant au fil du film qu'il en perd toute crédibilité et sombre dans le grotesque tant ses actions sont plus gratuites que cohérentes avec sa méchanceté et sans lien avec son objectif, il fait juste "des trucs méchants" pour montrer qu'il est méchant, point.
Les autres personnages ne sont pas plus crédibles et font office de décor comme ces ouailles qui observent les agissements les plus inhumains et les moins chrétiens du monde sans lever un sourcil.
Soyons clairs, le film n'a pas d'histoire à raconter, il cherche juste à choquer à travers les souffrances d'une pauvre fille victime d'un univers ultra manichéen.
Caine78
Whaou. Autant je m'attendais à un western singulier, autant j'étais loin d'imaginer ce qui m'attendait face à cet hallucinant « Brimstone », expérience de cinéma rarissime, qui plus est dans le paysage moderne. Ici, rien n'est conventionnel, surtout dans ce genre habituellement si codifié, voire balisé qu'est le western. Ça ne l'empêche pas de capitaliser sur d'indéniables qualités formelles : réalisation montrant avec force la violence du récit, très belle photographie, décors (notamment extérieurs) élégamment mis en valeur... Rien que pour ça, le film aurait eu un certain intérêt, mais c'est clairement son scénario et sa construction qui le font basculer dans une autre dimension. Quand j'y repense, je trouve ça dingue. Dingue qu'un réalisateur aille aussi loin dans l'horreur, la perversité frôlant la gratuité mais pourtant toujours au service d'une histoire, de personnages où chacun a un rôle à jouer (dont un Kit Harington aussi convaincant qu'inattendu), multipliant l'impact que ces images peuvent avoir sur nous à travers cette crudité à la limite de l'insoutenable. Il y a toujours un propos à travers cela, l'inversion soudaine des « valeurs » à travers ce révérend
spoiler:
au-delà du Mal, figure quasi-fantastique dont on découvre les « origines » au fil des minutes
. Car une des autres très belles idées de l'œuvre est de proposer cette narration en chapitres, nous faisant à chaque fois spoiler: remonter un peu plus dans le passé de l'héroïne afin de comprendre comment celle-ci a pu se retrouver dans cette situation
. Une sorte de « Memento » (en beaucoup moins resserré et encore avec Guy Pearce!) de l'Ouest, offrant à coup sûr l'une des pires ordures que j'ai eu l'occasion de voir au cinéma (top 50 direct) : celui d'un spoiler: père, violent, incestueux, cruel, prêt à tout détruire sur son passage pour atteindre son but
(Pearce, donc, bon sans s'imposer comme une évidence pour le rôle). C'est clair (ou du moins le devient au fil des minutes), habile, cohérent, parfois vraiment original et incroyablement choquant (au bons sens du terme) dans la douleur, la terreur imposées à des innocentes, à l'image de cette belle héroïne incarnée avec sensibilité par Dakota Fanning. En revanche, bien qu'assez audacieuse, il ne me paraissait pas nécessaire d'en spoiler: rajouter une dernière couche à travers cette fin déprimante (ayant au moins l'intelligence de garder une petite lueur d'espoir) : je crois que cette chère Joanna avait encaissé assez de coups pour plusieurs vies entières sans la condamner à mort...
Maintenant, voilà une sacrée claque envoyée par une production franco-néerlandaise (!!), faisant fi de la bienséance pour imposer un amour du cinéma (sous forte influence « La Nuit du chasseur ») et un « malaise salvateur » : de quoi raviver la flamme du septième art dont les amateurs sont si souvent privés depuis de nombreuses années. Éprouvant, marquant.
. Car une des autres très belles idées de l'œuvre est de proposer cette narration en chapitres, nous faisant à chaque fois spoiler: remonter un peu plus dans le passé de l'héroïne afin de comprendre comment celle-ci a pu se retrouver dans cette situation
. Une sorte de « Memento » (en beaucoup moins resserré et encore avec Guy Pearce!) de l'Ouest, offrant à coup sûr l'une des pires ordures que j'ai eu l'occasion de voir au cinéma (top 50 direct) : celui d'un spoiler: père, violent, incestueux, cruel, prêt à tout détruire sur son passage pour atteindre son but
(Pearce, donc, bon sans s'imposer comme une évidence pour le rôle). C'est clair (ou du moins le devient au fil des minutes), habile, cohérent, parfois vraiment original et incroyablement choquant (au bons sens du terme) dans la douleur, la terreur imposées à des innocentes, à l'image de cette belle héroïne incarnée avec sensibilité par Dakota Fanning. En revanche, bien qu'assez audacieuse, il ne me paraissait pas nécessaire d'en spoiler: rajouter une dernière couche à travers cette fin déprimante (ayant au moins l'intelligence de garder une petite lueur d'espoir) : je crois que cette chère Joanna avait encaissé assez de coups pour plusieurs vies entières sans la condamner à mort...
Maintenant, voilà une sacrée claque envoyée par une production franco-néerlandaise (!!), faisant fi de la bienséance pour imposer un amour du cinéma (sous forte influence « La Nuit du chasseur ») et un « malaise salvateur » : de quoi raviver la flamme du septième art dont les amateurs sont si souvent privés depuis de nombreuses années. Éprouvant, marquant.
Un film poignant !
spoiler:
En dehors de quelques scènes surréalistes, comme le méchant qui survit après avoir eu la gorge tranchée
l'expérience est très réussie tant au niveau de la réalisation, de l'histoire ou des acteurs. C'est cependant pour un public averti au cas où la classification n'est pas mentionnée avant le visionnage.
l'expérience est très réussie tant au niveau de la réalisation, de l'histoire ou des acteurs. C'est cependant pour un public averti au cas où la classification n'est pas mentionnée avant le visionnage.
De bons acteurs, hélas ce film est lourd et dans une surenchère de glauque (et c'est une amatrice de films tels que "Les crimes de Snowtown" qui dit ça). La déconstruction du récit ne suffit pas à rendre l'ensemble plus digeste. Si je n'ai pas passé un "mauvais" moment en soi, j'ai tout de même trouvé le calvaire de l'héroïne assez pénible.
C'était censé être un western, mystère, thriller qui semblait intéressant. Malheureusement, l'intrigue était le seul mystère de ce film. Un thriller alors ? Pas du tout à moins que vous trouviez que des quantités infinies de violence pour la plupart inutile sont un thriller. Je ne fais généralement pas attention à la violence lorsqu'elle sert un but à l'histoire. Mais dans Brimstone il y en a tellement et tellement que c'est choquant. Le film semble sans fin. L'histoire est simple et aurait pu facilement être racontée en une heure et demie. La variété de la violence était la seule chose surprenante dans ce film. Je trouve les personnages au-dessus de tous dans cette histoire ennuyeuse. Au moment où elle voit le pasteur vous savez que cela se terminera par son meurtre. Au fait, comment s'est-il retrouvé dans cette position et comment diable continue-t-il à la trouver ? Rien n'a de sens. Aucun sens de la vengeance promise ou un sentiment de paix bien mérité après une vie de misère. Ce film vous laissera abusé et ne le regarde pas. Si vous cherchez à vous sentir triste à la fin d'un drame captivant avec un message féministe et une distribution star, allez voir Million Dollar Baby. Si vous voulez de la violence, du sang pour du sang allez voir un Tarantino ce n'est pas génial et je n'aime pas du tout. Mais au moins il a des compétences que Martin Koolhoven n'a pas, il sait parfois raconter une histoire...
Western à la frontière du film d’horreur psychologique. Éprouvant mais réussi dans son ensemble. Attendez-vous à être secoué
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