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    Brimstone
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    3,8
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    277 critiques spectateurs

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    Louise D.
    Louise D.

    4 abonnés 45 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 avril 2020
    Dès les premières images on a envie d'aimer ce film, très soigné sur la forme, tant dans la structure que la mise en scène ou la photographie. Et pour sûr, il ravira les gogos sans instruction qui le qualifieront de 'crépusculaire' : c'est le nouveau terme à la mode. Quant à ceux qui ont "un peu de lettres et d'esprit", ils sauront distinguer la supercherie. Car rarement une œuvre a-t-elle si bien démontré qu'arts et propagande font mauvais ménage. Quand on aime l'Histoire, on est navré de la nature abracadabrante du récit. Il en résulte qu'on décroche au bout de 45 minutes (ce qui est tôt pour un film de 150 min), et qu'on ne parvient à s'attacher à aucun personnage. Car tout est grotesque : il existait des lois aux Amériques au 19è siècle. Si les congrégations étaient multiples dès le 16è siècle (Quakers, Anabaptistes, Puritains, Antinomistes...) chacun ne faisait pas exactement ce qu'il voulait sans avoir de comptes à rendre dans son No Man's Land peuplé de mâles lubriques TOUS sortis de 'La colline a des yeux' ou 'Psychose', de façon parfaitement isolée et entouré d'illuminés... Même en 1560. En outre les femmes n'étaient pas tenues en laisse et exhibées au vu et su de tout un chacun. Rendez-vous service et lisez entre autres exemples Puritans At Play de Bruce Daniels.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 mai 2017
    Le film nous plonge au cœur des premières villes américaines. Il nous fait le récit de la vie d'une femme, traquée par un prêcheur particulièrement cruel. C'est une véritable plongée aux enfers. Les violences physiques et morales sont omniprésentes. Certaines scènes sont des portraits réalistes d'une société émergente, alors empreinte d'affrontements, de meurtres, où la loi du plus fort régnait. Cependant je regrette que l'accumulation de ces violences nous emmène jusqu'au malaise.
    demee
    demee

    8 abonnés 5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 août 2017
    Abominable, quel est l'intérêt de raconter une telle histoire, de mettre en scène de telles perversions et cruautés? Je suis écoeurée. On n'a vraiment pas besoin de ce genre de films.
    ffunivers
    ffunivers

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 1 avril 2017
    D'autres critiques le soulève, le film est excessif sur de nombreux points : très violent, excessif sur tout. Était-ce vraiment nécessaire ? Non.

    Il aurait été parfaitement possible de faire ressentir les mêmes émotions au spectateur sans toute cette violence explicite. La période où se place le film n'était certes pas rose.

    Il y a une histoire certes mais celle-ci apparait déconnecté de ce que l'on voit à l'écran. Trop de religion, de violence, d'excès.

    Reste les paysages superbes. Dommage.
    Vanessa L
    Vanessa L

    280 abonnés 821 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mars 2017
    Je tiens tout d’abord à remercier le Club300 pour l’invitation à cette projection en plus nous avons eu le droit à la présente de Martin Koolhoven qui nous a dit quelques mots sur son film. Je dois dire que c’est le casting et l’univers Western qui m’a plu au premier abord. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre et j’avoue ne pas avoir été déçu car c’est un très bon film. Âmes sensibles s’abstenir parce que certains passages sont vraiment durs … Même si généralement seulement sous entendu, on a mal pour les personnes et on a peur de voir réellement la scène, et puis il y a celles qui sont montrées et ce n’est pas mieux … Je n’aurais pas aimé être une femme à cette époque. Quelle vie atroce a eu Liz dans cette histoire entre fille de joie dans un saloon ou encore vendue et surtout maltraitée sans compter les personnes qu’elle a perdue au cours de sa vie.

    J’aime beaucoup comment est découpé le film, plusieurs chapitres qui retrace la vie de Liz. On commence au présent pour sauter dans son passé moyennement jeune puis lorsqu’elle est plus jeune et enfin on rattrape le présent pour clôturer le film en beauté. C’est ainsi qu’au fur et à mesure on comprend ce qui lui est arrivé et pourquoi elle en est arrivé là. On apprend qui est ce révérend qui la pourchasse et le pourquoi de ses intentions. Ce prêtre diabolique qui ne l’a pas épargné durant le cours de sa vie et qui s’en prend encore à elle plusieurs années plus tard. Les scènes avec lui sont dures et assez trash par moment … Le casting est parfait (même si plus de Kit aurait été plaisant) j’ai trouvé Dakota Fanning excellente dans son rôle, ce n’est pas facile de jouer un rôle où elle n’est pas censée parler. Guy Pearce est diabolique et fait peur tellement il joue très bien le rôle de méchant. Et puis j’a adoré l’actrice jouant Liz jeune, elle est vraiment excellente dans son rôle qui n’est pourtant pas facile. Franchement, je n’aurais pas aimé avoir sa vie, elle est tout simplement horrible et les choses qu’elle doit faire de peur de subir le retour du révérend sont affreuses … Le pire reste le retournement de bâton pour elle qui arrive quand on ne l’attend pas …

    En résumé, Brimstone est un très bon film que je vous conseille d’aller voir si vous en avez l’occasion. Il est assez long mais il est vraiment bien joué et la photo du film est surtout magnifique grâce à de somptueux paysages. Les aventures de Liz sont dures mais en véritable force de la nature elle y fera face.
    Aoris
    Aoris

    22 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 août 2020
    Le film serait moins insupportable s'il n'était pas aussi excessif. Tout ici n'est que surenchère et manichéisme.
    Guy Pearce surjoue comme jamais. Le montage qui se veut "pesant" est tellement lent qu'il en devient soporifique (avec un montage classique, le film durerait 1h30 max au lieu de 2h30 tellement il raconte finalement peu de choses).
    Au lieu de montrer la fuite d'une jeune femme poursuivie par son sociopathe de père, l'héroïne est maltraitée, voir torturée, par la terre entière (seul un personnage se montrera tout juste humain envers elle).
    Mais surtout, le personnage du père devient tellement méchant au fil du film qu'il en perd toute crédibilité et sombre dans le grotesque tant ses actions sont plus gratuites que cohérentes avec sa méchanceté et sans lien avec son objectif, il fait juste "des trucs méchants" pour montrer qu'il est méchant, point.
    Les autres personnages ne sont pas plus crédibles et font office de décor comme ces ouailles qui observent les agissements les plus inhumains et les moins chrétiens du monde sans lever un sourcil.
    Soyons clairs, le film n'a pas d'histoire à raconter, il cherche juste à choquer à travers les souffrances d'une pauvre fille victime d'un univers ultra manichéen.
    traversay1
    traversay1

    3 602 abonnés 4 870 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mars 2017
    Un western, Brimstone, vraiment ? Pour les décors, l'importance de la religion et une ambiance générale, sans doute. Mais la sombre histoire qui nous est conté, en quatre chapitres "bibliques" et dans un certain désordre, est celle d'une lutte contre le mal absolu, dans un cheminement qui fait plus penser à un film d'horreur. Un film féministe, Brimstone, vraiment ? C'est certainement la volonté de Martin Koolhoven de montrer comment en un lieu et une époque donnés la gent masculine s'arrogeait tous les droits, celui d'une autorité qui déniait toute liberté aux femmes. C'était dans l'ouest américain, c'est encore vrai, hélas dans nombre de sociétés contemporaines. Ces belles intentions volent cependant en éclat au fur et à mesure que le film progresse multipliant les violences, les souffrances et humiliations faites aux femmes, montrés d'une manière réaliste, dans l'insistance et la surenchère permanentes, au point de se demander s'il n'y a pas une intention malsaine derrière cette accumulation de sévices. Un ratage, Brimstone, vraiment ? Non, malgré ce sadisme éhonté, il y a un scénario, certes inutilement complexifié par sa non linéarité volontaire et qui aurait pu être épuré, mais dont l'écriture est ambitieuse et a des allures de fresque narrative. Et la mise en scène, quand elle évite certaines coquetteries (plans en plongée), ne manque pas d'ampleur, avec une photographie remarquable. Côté interprétation, il y a de quoi être également mitigé : Guy Pearce a un rôle monstrueux, quasi indéfendable, dont il renforce l'aspect outré. En revanche, on est heureux de revoir Carice van Houten, 10 ans après Black Book de Verhoeven, où elle était prodigieuse. Enfin, il faut bien avouer que Dakota Fanning, pas toujours convaincante dans le passé, n'en finit pas de densifier son jeu. Elle réussit en tous cas ici à ne jamais surjouer alors que tout dans sa partition l'invitait à le faire. Un film à voir ou ne pas voir, Brimstone, finalement ? Comme d'habitude, chacun se fera s propre religion. Et Martin Koolhoven, qui est loin d'être un débutant, aura d'une certaine façon réussi son coup avec une audience largement plus étendue que celle à laquelle il était habitué.
    Flaw 70
    Flaw 70

    260 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mars 2017
    Même si il se fait de moins en moins prolifique, le western reste un genre qui se refuse à mourir et il revient de manière récurrentes sur nos écrans. Quentin Tarantino à prouvé ses dernières années qu'on pouvait encore en tirer quelque chose de rafraîchissant, preuve que le western avait encore son mot à dire mais ses films font souvent offices d'exceptions. Entre les insipides remakes comme The Magnificent Seven de Antoine Fuqua ou le très mou Jane Got a Gun de Gavin O'Connor, le western montre qu'il n'a plus la force d'antan. Faute principalement à un savoir-faire qui s'est quelque peu perdu. Dorénavant, on se tourne vers les westerns européens pour essayer de retrouver ce frisson d'époque que l'on éprouvait devant les Peckinpah, Leone, etc. Dernièrement, le western danois The Salvation avait su être sympathique même si il avait des ambitions restreintes et que le rendu était parfois proche du DTV (la où fini plus de la moitié de la production du genre), il possédait néanmoins des moments très efficaces. Ce Brimstone vient s'inscrire dans cette lignée, western hollandais dirigé par Martin Koolhoven, qui s'est fait connaitre en 2008 avec son Winter in Wartime, et il dispose d'ambitions beaucoup plus nobles et importantes mais peine à leurs donner corps.

    Récit gargantuesque de presque deux heures et demi, découpé en quatre chapitres qui défile dans un ordre non chronologique, le film s'impose comme une vaste fresque dont le spectateur devra faire le travail de la reconstituer. La manière de mettre en forme le film se révèle donc audacieuse et permet vraiment de maintenir le spectateur éveillé même lorsque l'intrigue se perd un peu en digressions. On ne peut quasiment rien reprocher sur le travail effectué par Martin Koolhoven sur le visuel de Brimstone. Accompagné d'une sublime photographie, la mise en scène brute se montre sans concessions notamment dans sa manière d'aborder frontalement la violence, qu'elle soit physique ou psychologique. En ça, le film pourra facilement choquer mais jamais elle n'est utilisé de manière pleinement gratuite. Le tout se voit donc englobé par une atmosphère oppressante qui donne à l'oeuvre des contours gothiques même si malheureusement Koolhoven n'embrasse jamais vraiment cet aspect. A trop vouloir s'ancrer dans une mise en image très âpre, il passe un peu à côté de l'aspect mystique de son histoire et embrasser une forme plus onirique aurait peut être pu lui éviter le ridicule de certaines situations trop terre à terre malgré une écriture parfois grandiloquente. Surtout que c'est dans sa manière très posée de faire bouger son récit que le réalisateur impressionne, pas lorsqu'il essaye de s'approprié les séquences classiques qui font un western. Néanmoins il arrive à détourner avec ironie et malice certaines situations attendues, comme les passages avec Kit Harington en bandit au grand cœur.

    Pourtant malgré la forme maîtrisée et qui offre de très beaux moments, l'écriture peine à suivre. Le tout démarre assez bien, le premier chapitre est énigmatique et tendu mais plus le récit avance et plus celui-ci tombe petit à petit dans le ridicule. Le prêcheur, incarné par un Guy Pearce habité, est tout d'abord inquiétant à souhait mais il devient de plus en plus caricatural et grotesque au fur et à mesure de l'histoire. Ces derniers instants dans le film, se révèlent gênants dans le mauvais sens du terme, où même le talent de l'acteur ne parvient plus à limiter les lacunes d'écritures. Car pour faire passer son message féministe, Koolhoven est prêt à aller très loin et il y va le plus souvent sans la moindre once de subtilité. Faisant subir les pires atrocités à son héroïne, superbe Dakota Fanning, pour symboliser la place difficile de la femme dans la société, où celle-ci doit constamment se battre pour survivre, il loupe pour autant le coche de se qu'il veut dénoncer. A être trop dans la mécanique de l'hyper-violence, il en délaisse l'émotion et peine à nous attacher à ce parcours chaotique mais qui n'atteint jamais les sphères tragiques. Pourtant on sent véritablement la condition opprimé des femmes que ce soit par la loi ou par la religion. Jamais celles-ci n'ont le bon rôle dans une société qui les voit comme au mieux des biens à posséder ou au pire comme des êtres impurs à châtier. La réflexion autour du radicalisme religieux n'est d'ailleurs pas dénué d'intérêt, et montre la dangerosité et la pensée arriérée de ceux qui dévouent leurs vies à une entité supérieure. La croyance d'être mieux qu'un autre est un des croyances les plus dangereuses au monde. Mais malheureusement, Koolhoven préfère évoquer cela sans la moindre finesse et fait perdre toute vraisemblance à son film qui devient petit à petit un assemblement de situations plus atroces les unes que les autres.

    Brimstone est un western décevant. Malgré un début vraiment engageant, celui-ci se désagrège au fur et à mesure de son avancé. La réalisation à beau être impeccable, on à du mal à se laisser prendre par l'ensemble qui loupe le coche du divertissement westernien et qui passe à côté de son aura mystique. Malgré le talent des deux acteurs principaux qui se donne complètement dans l'entreprise, le ridicule de certains passages ne s'atténue pas. Le manque de subtilité de l'écriture fait souvent tomber l'histoire dans le grotesque et à défaut d'être la fresque féministe épique que Brimstone aurait pu être, on est face à un B movie qui tire vers le Z et qui brille par son ironie décomplexée. De belles séquences de cinéma font quand même leurs apparitions ici et là et la première heure de film est suffisamment aboutie pour rendre l'ensemble relativement convenable.
    x-worley
    x-worley

    147 abonnés 351 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2017
    Un bon western violent a l'atmosphère particulière. Avec un bon casting, même si c'est surtout Guy Pearce qui fait forte impression ici. Et c'est vraiment une bonne idée d'avoir inversé la chronologie de l'histoire car ça ajoute toujours un petit plus. Cela dit, n'est pas Tarantino qui veut.
    tifdel13
    tifdel13

    88 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 avril 2017
    Sorti dans très peu de cinémas, Brimstone aurait mérité une meilleure distribution en salle. Réalisé par le danois Martin Koolhoven, ce film qui lorgne du côté de The Witch et The Revenant fait du bien au cinéphile qui sommeille au sein de chaque spectateur. Héritier de Tarantino et Verhoeven, Koolhoven signe un scénario original à la violence gore et perverse et dont l’interdiction au moins de 16 ans est clairement justifiée. Certains en sont ressortis choqués… bienvenue dans le grand Ouest américain du XIXème siècle.
    Western féministe, Brimstone s’attache à nous rapporter le traitement réservée aux femmes d’alors. À l’époque, elles n’avaient le choix qu’entre deux voies : se marier ou...

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    brunocinoche
    brunocinoche

    94 abonnés 1 104 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 août 2017
    Si l'on est séduit dès les premières images par la mise en scène plutôt solide, par une superbe prise de vue digne des meilleurs westerns modernes et par une solide interprétation de Guy Pearce, vraiment inquiétant et de Dakota Fanning, toute en intériorité et en retenue, on étouffe au fil des séquences de plus en plus oppressantes et surtout gratuitement violentes. Même le processus de montage au premier abord original se révèle assez vain au bout du moment.
    Jean-Claude L
    Jean-Claude L

    47 abonnés 289 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 mars 2017
    Un très bon film autour d'une famille sans histoire et qui au cours de la messe va rencontrer un très méchant prêcheur et la les ennuis commencent.
    ce film destabilise car il est impensable d être aussi monstrueux dans sa façon de se comporter envers les femmes à voir
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    38 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juin 2017
    Ce film est une claque monumentale, j'avais plus été pris aux tripes comme ça depuis longtemps.
    En général, je ne suis pas du tout attiré par les western mais ce film fait partie des exceptions avec Django Unchained et True Grit.
    Foncez le voir, ne soyez pas rebuté par son côté western, c'est avant tout un thriller dur et haletant.
    C'est très bien réalisé avec un scénario bien ficelé, des acteurs et des dialogues en or... Une atmosphère de fou, ayez le coeur bien accroché si vous comptez le visionner!
    Min S
    Min S

    59 abonnés 460 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 décembre 2017
    Tres bon film, qui nous montre bien une partie de la histoire américaine, la loi du plus fort, qui est encore d’actualité, un film très beau et réaliste, fort violent.
    A voir absolument !🧡
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 813 abonnés 12 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    Il est difficile de rester insensible devant ce cauchemar absolu qui dècrit avec une violence extrême le rècit d'une jeune femme muette dont l'arrivèe d'un nouveau pasteur va rompre d'un seul coup sa tranquillitè! Gardez vous des faux prophètes terrifiants dans l'ouest amèricain de la fin du XIXe siècle, vous avez dû grincer des dents si vous avez osè aller voir "Brimstone" en 2016, ce film intense et puissant rèalisè par un Martin Koolhoven en pleine possession de ses moyens! Pour sûr, le rèalisateur hollandais ne vous a pas loupès : perversion, ultra-violence, viol, immolation par le feu, mutilations en tout genre [...] Une chose est certaine, le titre n'est pas en deçà du programme avec une ambiance sombre et effrayante qui fait que par moment on se croirait presque dans un film d'èpouvante! C'est une oeuvre dure à supporter, parfois très dure à regarder dont on ne sort pas indemne! L'interdiction aux moins de seize ans est pour le coup parfaitement justifiè! De plus, ce n'est pas tous les jours qu'on a la chance de voir un western nèerlandais, tournè en Europe, avec un casting royal! Guy Pearce, en tête, très impressionnant en malèfique prêcheur qui se nourrit de la vie de Dakota Fanning / Emilia Jones! Deux actrices saisissantes qu'il faut saluer pour leur immense courage...
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