Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
L'Express
par Sandra Benedetti
Terreur et beauté mêlées, cette fable glaçante a l'angoisse chevillée aux tripes.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un immense western.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
CinemaTeaser
par La rédaction
Brillant et politique.
Ecran Large
par Simon Riaux
Impitoyable et viscérale descente aux enfers.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ecran Large
par Simon Riaux
À l’image de son climax où se mêlent flammes infernales et purgatoire immaculé, "Brimstone" brusque le spectateur, bascule de lieux, d’époques, de tonalités, pour narrer un mythe en forme d’épitaphe, puissant et cinégénique en diable.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Et si ce film entre western, survival, thriller et horreur fonctionne si bien, e est évidemment parce que ses personnages complexes sont interprètes par d'excellents acteurs (...).
L'Obs
par François Forestier
Après le western spaghetti, voici la nouvelle version du Far West : le western gouda ? C’est réussi.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une Soif du Mal revisitée à partir du point de vue de la femme victime, et dont le subtil découpage en 4 chapitres maintient une tension qui donne à la lenteur narrative toute sa force dramatique.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
On en garde une impression de beauté et de malaise, de sadisme et de feu sacré, dans un bruit de navire qui craque dans la tempête. C'est brutal, pervers, sanglant. C'est beaucoup.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Olivier Delcroix
Un western viscéral puissant et dur.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Brimstone en impose d’abord par ses ambitions esthétiques avant de pousser à réfléchir sur le radicalisme religieux.
Télé 2 semaines
par Claire Picard
Il faut avoir le cœur bien accroché pour suivre ce thriller d'une violence inouïe. Le récit à rebours crée une tension fascinante, et Guy Pearce campe un fou de Dieu glaçant.
VSD
par Bernard Achour
Ce western est l'un des plus somptueusement choquants qu'on ait vus depuis des lustres.
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
D’une violence emphatique, le film de Martin Koolhoven devrait diviser les spectateurs entre admirateurs fervents et détracteurs zélés.
Mad Movies
par Gilles Esposito
Un western zébré de striures tout à tour insolites, réalistes et sadiques : c’est cool, mais on ne peut pas dire que la mayonnaise prenne complètement.
La critique complète est disponible sur le site Mad Movies
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Un véritable chemin de croix découpé en quatre chapitres – révélation, exode, genèse, châtiment – et échelonné sur une vingtaine d’années. Le tout lié à la sauce batave par un réalisateur d’évidence obsédé par Quentin Tarantino et Sergio Leone.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce plaisir malsain a du mal à passer dans un récit qui se prend trop au sérieux.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Cette tentative de réaliser un western gothique particulièrement sombre est parfois alourdie par une certaine emphase.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Si "Brimstone" a de bonnes épaules, soutenu par une mise en scène agile et des interprètes de caractère [...], il souffre en revanche d'un penchant pas toujours justifié pour le gore et surtout d'une franche lourdeur thématique.
Paris Match
par Yannick Vely
Le propos du film n’est pas en cause. Il résonne avec le sort encore réservé aux femmes qui doivent encore , dans certains pays, se battre pour exister et survivre. Mais on ne peut se résigner à une vision aussi nihiliste de l’humanité, ni accepter d’être mis dans la position du voyeur qui assiste impuissant aux atrocités subies par les faibles.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Seule Dakota Fanning, dans le rôle de cette héroïne devenue muette après qu'on lui a coupé la langue, tire son épingle du jeu.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Voilà comment, sous prétexte de filmer un western féministe et de dénoncer la violence faite aux femmes, le réalisateur hollandais Martin Koolhoven montre la souffrance sous toutes ses coutures et non sans fascination pour les détails sordides.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Voici
par La Rédaction
Très loin de "La Nuit du chasseur", ce long calvaire ultraviolent, limite gore, est "sauvé" par Dakota Fanning.
Libération
par Julien Gester
On prescrirait bien une revoyure du film in extenso, mais personne, vraiment, ne mérite une chose pareille.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jacques Morice
Le scénario réserve des péripéties surprenantes, mais le regard sur la violence et la perversion est souvent complaisant. Esthétisant, boursouflé, beaucoup trop long, le film semble n'obéir qu'à une logique de surenchère.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Ce western crépusculaire sans âme s’en remet à La Nuit du Chasseur et à une violence incompréhensible pour justifier ses lacunes.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
Terreur et beauté mêlées, cette fable glaçante a l'angoisse chevillée aux tripes.
Le Parisien
Un immense western.
CinemaTeaser
Brillant et politique.
Ecran Large
Impitoyable et viscérale descente aux enfers.
Ecran Large
À l’image de son climax où se mêlent flammes infernales et purgatoire immaculé, "Brimstone" brusque le spectateur, bascule de lieux, d’époques, de tonalités, pour narrer un mythe en forme d’épitaphe, puissant et cinégénique en diable.
L'Ecran Fantastique
Et si ce film entre western, survival, thriller et horreur fonctionne si bien, e est évidemment parce que ses personnages complexes sont interprètes par d'excellents acteurs (...).
L'Obs
Après le western spaghetti, voici la nouvelle version du Far West : le western gouda ? C’est réussi.
Le Dauphiné Libéré
Une Soif du Mal revisitée à partir du point de vue de la femme victime, et dont le subtil découpage en 4 chapitres maintient une tension qui donne à la lenteur narrative toute sa force dramatique.
Le Figaro
On en garde une impression de beauté et de malaise, de sadisme et de feu sacré, dans un bruit de navire qui craque dans la tempête. C'est brutal, pervers, sanglant. C'est beaucoup.
Le Figaroscope
Un western viscéral puissant et dur.
Rolling Stone
Brimstone en impose d’abord par ses ambitions esthétiques avant de pousser à réfléchir sur le radicalisme religieux.
Télé 2 semaines
Il faut avoir le cœur bien accroché pour suivre ce thriller d'une violence inouïe. Le récit à rebours crée une tension fascinante, et Guy Pearce campe un fou de Dieu glaçant.
VSD
Ce western est l'un des plus somptueusement choquants qu'on ait vus depuis des lustres.
Les Fiches du Cinéma
D’une violence emphatique, le film de Martin Koolhoven devrait diviser les spectateurs entre admirateurs fervents et détracteurs zélés.
Mad Movies
Un western zébré de striures tout à tour insolites, réalistes et sadiques : c’est cool, mais on ne peut pas dire que la mayonnaise prenne complètement.
La Voix du Nord
Un véritable chemin de croix découpé en quatre chapitres – révélation, exode, genèse, châtiment – et échelonné sur une vingtaine d’années. Le tout lié à la sauce batave par un réalisateur d’évidence obsédé par Quentin Tarantino et Sergio Leone.
Le Journal du Dimanche
Ce plaisir malsain a du mal à passer dans un récit qui se prend trop au sérieux.
Le Monde
Cette tentative de réaliser un western gothique particulièrement sombre est parfois alourdie par une certaine emphase.
Les Inrockuptibles
Si "Brimstone" a de bonnes épaules, soutenu par une mise en scène agile et des interprètes de caractère [...], il souffre en revanche d'un penchant pas toujours justifié pour le gore et surtout d'une franche lourdeur thématique.
Paris Match
Le propos du film n’est pas en cause. Il résonne avec le sort encore réservé aux femmes qui doivent encore , dans certains pays, se battre pour exister et survivre. Mais on ne peut se résigner à une vision aussi nihiliste de l’humanité, ni accepter d’être mis dans la position du voyeur qui assiste impuissant aux atrocités subies par les faibles.
Studio Ciné Live
Seule Dakota Fanning, dans le rôle de cette héroïne devenue muette après qu'on lui a coupé la langue, tire son épingle du jeu.
Sud Ouest
Voilà comment, sous prétexte de filmer un western féministe et de dénoncer la violence faite aux femmes, le réalisateur hollandais Martin Koolhoven montre la souffrance sous toutes ses coutures et non sans fascination pour les détails sordides.
Voici
Très loin de "La Nuit du chasseur", ce long calvaire ultraviolent, limite gore, est "sauvé" par Dakota Fanning.
Libération
On prescrirait bien une revoyure du film in extenso, mais personne, vraiment, ne mérite une chose pareille.
Télérama
Le scénario réserve des péripéties surprenantes, mais le regard sur la violence et la perversion est souvent complaisant. Esthétisant, boursouflé, beaucoup trop long, le film semble n'obéir qu'à une logique de surenchère.
aVoir-aLire.com
Ce western crépusculaire sans âme s’en remet à La Nuit du Chasseur et à une violence incompréhensible pour justifier ses lacunes.