Note moyenne
1,8
18 titres de presse

Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

18 critiques presse

Transfuge

par Damien Aubel

Werner Herzog, écolo ? Oui, mais à sa manière, géniale et poétique. La preuve avec ce fantastique "Salt and Fire".

Critikat.com

par Axel Scoffier

Une proposition monstrueuse et absurde, mécanique et morte-vivante, à l’image de ce dernier plan d’un fauteuil roulant motorisé avançant seul dans le désert.

La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

Culturopoing.com

par Benjamin Cocquene

Une nouvelle fois explorateur de contrées oubliées, Werner Herzog signe une fable étrange et conceptuelle. Salt & fire est une œuvre remplie de belles idées qui oublie trop vite ses enjeux narratifs et abandonne ses personnages. Dommage.

La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

Le Dauphiné Libéré

par Jean Serroy

Le retour de Werner Herzog, dans l’adaptation d’une nouvelle de Tom Bissell, transformée en western écolo et en parcours initiatique un peu grandiloquents. Mais le désert de sel est superbe, et superbement filmé…

CinemaTeaser

par Rose Piccini

Le récit, complaisant et insensé, se perd entre images fortes et moments ridicules.

La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

La Croix

par Corinne Renou-Nativel

La belle présence de Michael Shannon ne suffit pas à sauver de l’ennui que cause la logorrhée de Riley. Le ridicule frappe souvent Laura Sommerfeld incarnée par Veronica Ferres.

La critique complète est disponible sur le site La Croix

La Voix du Nord

par Philippe Lagouche

Si bâclés soient le scénario et la mise en scène, quelques plans rappellent que le réalisateur d’"Aguirre" a toujours la foi et la niaque.

Les Fiches du Cinéma

par Thomas Fouet

Ratage presque complet, “Salt and Fire” voit le grand Werner Herzog s’empêtrer dans une fable verbeuse.

Libération

par Olivier Lamm

Ce qui déroute et, immanquablement, déçoit, est le stratagème narratif un peu laborieux par lequel Herzog nous emmène à ce moment de stase et sa vertigineuse conclusion.

La critique complète est disponible sur le site Libération

Cahiers du Cinéma

par Florent Guézengar

"Salt and Fire" montre les limites du « cinéma pirate » revendiqué par Werner Herzog.

L'Humanité

par Vincent Ostria

Des scientifiques débarquent en Bolivie pour mesurer les ravages de la pollution autour d’un désert de sel, mais ils sont pris en otage par un industriel nord-américain. Vue de l’esprit risible, étayée par des dialogues ampoulés et des situations improbables, voire grotesques.

La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

L'Obs

par Jérôme Garcin

Comme le film est lui-même une catastrophe, on inflige au spectateur une double peine. Tourné dans le désert de sel d’Uyuni, ce thriller avec enlèvement mais sans suspense réussit la prouesse de statufier ses acteurs et de provoquer, chez le spectateur, malgré des dialogues risibles, un colossal ennui.

La critique complète est disponible sur le site L'Obs

Le Journal du Dimanche

par Stéphanie Belpêche

Un thriller environnemental outrancier et démonstratif dans lequel, hélas, il n’y a rien à sauver.

Le Monde

par Isabelle Regnier

Sans doute est-on, comme le martèlent moult détails bizarres, dans l’univers du rêve. Mais c’est un rêve aux semelles de plomb.

Les Inrockuptibles

par Vincent Ostria

Ce qui pèche n’est pas tant le scénario inepte que la lourdeur des dialogues (“La vérité est l’unique fille du temps”) et le ridicule des situations, dignes d’une série Z années 1980.

Positif

par Fabien Baumann

Bavard, nunuche, factice.

Studio Ciné Live

par Thomas Baurez

Le scénario est édifiant, l'interprétation, grossière, et le fin mot de ce faux suspense, risible. Un Herzog ras des pâquerettes, en somme.

Télérama

par Samuel Douhaire

Sur le papier, "Salt and Fire" a tout pour séduire les fans du cinéma aventurier de Werner Herzog. Mais à l'écran, pas grand-chose ne fonctionne. Après un premier quart d'heure plutôt accrocheur, le film s'abîme dans des dialogues maladroits, des symboles lourdauds et une direction d'acteurs incompréhensible.

La critique complète est disponible sur le site Télérama
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