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Une proposition monstrueuse et absurde, mécanique et morte-vivante, à l’image de ce dernier plan d’un fauteuil roulant motorisé avançant seul dans le désert.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Une nouvelle fois explorateur de contrées oubliées, Werner Herzog signe une fable étrange et conceptuelle. Salt & fire est une œuvre remplie de belles idées qui oublie trop vite ses enjeux narratifs et abandonne ses personnages. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le retour de Werner Herzog, dans l’adaptation d’une nouvelle de Tom Bissell, transformée en western écolo et en parcours initiatique un peu grandiloquents. Mais le désert de sel est superbe, et superbement filmé…
La belle présence de Michael Shannon ne suffit pas à sauver de l’ennui que cause la logorrhée de Riley. Le ridicule frappe souvent Laura Sommerfeld incarnée par Veronica Ferres.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ce qui déroute et, immanquablement, déçoit, est le stratagème narratif un peu laborieux par lequel Herzog nous emmène à ce moment de stase et sa vertigineuse conclusion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Des scientifiques débarquent en Bolivie pour mesurer les ravages de la pollution autour d’un désert de sel, mais ils sont pris en otage par un industriel nord-américain. Vue de l’esprit risible, étayée par des dialogues ampoulés et des situations improbables, voire grotesques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Comme le film est lui-même une catastrophe, on inflige au spectateur une double peine. Tourné dans le désert de sel d’Uyuni, ce thriller avec enlèvement mais sans suspense réussit la prouesse de statufier ses acteurs et de provoquer, chez le spectateur, malgré des dialogues risibles, un colossal ennui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ce qui pèche n’est pas tant le scénario inepte que la lourdeur des dialogues (“La vérité est l’unique fille du temps”) et le ridicule des situations, dignes d’une série Z années 1980.
Sur le papier, "Salt and Fire" a tout pour séduire les fans du cinéma aventurier de Werner Herzog. Mais à l'écran, pas grand-chose ne fonctionne. Après un premier quart d'heure plutôt accrocheur, le film s'abîme dans des dialogues maladroits, des symboles lourdauds et une direction d'acteurs incompréhensible.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Transfuge
Werner Herzog, écolo ? Oui, mais à sa manière, géniale et poétique. La preuve avec ce fantastique "Salt and Fire".
Critikat.com
Une proposition monstrueuse et absurde, mécanique et morte-vivante, à l’image de ce dernier plan d’un fauteuil roulant motorisé avançant seul dans le désert.
Culturopoing.com
Une nouvelle fois explorateur de contrées oubliées, Werner Herzog signe une fable étrange et conceptuelle. Salt & fire est une œuvre remplie de belles idées qui oublie trop vite ses enjeux narratifs et abandonne ses personnages. Dommage.
Le Dauphiné Libéré
Le retour de Werner Herzog, dans l’adaptation d’une nouvelle de Tom Bissell, transformée en western écolo et en parcours initiatique un peu grandiloquents. Mais le désert de sel est superbe, et superbement filmé…
CinemaTeaser
Le récit, complaisant et insensé, se perd entre images fortes et moments ridicules.
La Croix
La belle présence de Michael Shannon ne suffit pas à sauver de l’ennui que cause la logorrhée de Riley. Le ridicule frappe souvent Laura Sommerfeld incarnée par Veronica Ferres.
La Voix du Nord
Si bâclés soient le scénario et la mise en scène, quelques plans rappellent que le réalisateur d’"Aguirre" a toujours la foi et la niaque.
Les Fiches du Cinéma
Ratage presque complet, “Salt and Fire” voit le grand Werner Herzog s’empêtrer dans une fable verbeuse.
Libération
Ce qui déroute et, immanquablement, déçoit, est le stratagème narratif un peu laborieux par lequel Herzog nous emmène à ce moment de stase et sa vertigineuse conclusion.
Cahiers du Cinéma
"Salt and Fire" montre les limites du « cinéma pirate » revendiqué par Werner Herzog.
L'Humanité
Des scientifiques débarquent en Bolivie pour mesurer les ravages de la pollution autour d’un désert de sel, mais ils sont pris en otage par un industriel nord-américain. Vue de l’esprit risible, étayée par des dialogues ampoulés et des situations improbables, voire grotesques.
L'Obs
Comme le film est lui-même une catastrophe, on inflige au spectateur une double peine. Tourné dans le désert de sel d’Uyuni, ce thriller avec enlèvement mais sans suspense réussit la prouesse de statufier ses acteurs et de provoquer, chez le spectateur, malgré des dialogues risibles, un colossal ennui.
Le Journal du Dimanche
Un thriller environnemental outrancier et démonstratif dans lequel, hélas, il n’y a rien à sauver.
Le Monde
Sans doute est-on, comme le martèlent moult détails bizarres, dans l’univers du rêve. Mais c’est un rêve aux semelles de plomb.
Les Inrockuptibles
Ce qui pèche n’est pas tant le scénario inepte que la lourdeur des dialogues (“La vérité est l’unique fille du temps”) et le ridicule des situations, dignes d’une série Z années 1980.
Positif
Bavard, nunuche, factice.
Studio Ciné Live
Le scénario est édifiant, l'interprétation, grossière, et le fin mot de ce faux suspense, risible. Un Herzog ras des pâquerettes, en somme.
Télérama
Sur le papier, "Salt and Fire" a tout pour séduire les fans du cinéma aventurier de Werner Herzog. Mais à l'écran, pas grand-chose ne fonctionne. Après un premier quart d'heure plutôt accrocheur, le film s'abîme dans des dialogues maladroits, des symboles lourdauds et une direction d'acteurs incompréhensible.