Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Gala
par Jean-Christian Hay
S’il ne se démarque pas vraiment du premier film, "Nos pires vosins 2" jouent à fond la carte des gags régressifs, graveleux, voire scatos. Cette comédie dont seuls les Américains ont le secret, ne va pas chercher loin, mais offre un bon divertissement, parfait pour l’été.
La critique complète est disponible sur le site Gala
Public
par Florence Roman
Des blagues pipi caca en veux-tu, en voilà, des défis débiles et Zack Efron plus bodybuildé que jamais : que demander de plus pour bien démarrer l'été ?
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Il y a du "Spring Breakers" dans ce film-là.
Ecran Large
par Simon Riaux
"Nos Pires Voisins 2" retrouve le charme amer de son prédécesseur, inclassable mélange de lourdeur et d’acidité.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Isabelle Regnier
Dommage qu’une écriture désinvolte empêche les personnages et les situations d’atteindre leur plein potentiel. Le film vaut toutefois pour quelques gags, à commencer par les gamelles que se prend Zac Efron, vieux beau avant l’âge qui se rêve jeune premier et paye sa présomption au prix fort.
Le Parisien
par Thierry Dague
Les fans du premier volet retrouveront les mêmes blagues potaches à base de vomi ou de tampons hygiéniques. Avec en bonus un discours progressiste sur le sexisme, le mariage gay et la difficulté de passer à l'âge adulte. Du rire gras mais pas creux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Télé 7 Jours
par Renan Cros
Du cinéma potache et politique.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Autre façon de surfer sur l'air du temps : une guerre des sexes réactualisée. Le personnage de loser joué par Zac Efron dit ainsi la déconfiture totale du playboy hétéro bas du front, mis au rancart par les moeurs d'aujourd'hui. Ce n'est pas une mauvaise nouvelle
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Jérôme Saunier
Derrière la potacherie, une satire pas si idiote du "vivre ensemble".
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un sequel à l’identique, comédie ado assumée, dans l’outrance et la vulgarité, mais à la bonhommie plutôt bienveillante. Pourquoi pas.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
En dépit d’une écriture paresseuse, Zac Efron joue la carte de l’autodérision et de l’irrévérence avec jubilation.
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Le féminisme 2.0 recèle moins de ressorts comiques que le conflit générationnel enlevé du premier opus.
Première
par Frédéric Foubert
Théoriquement, ça aurait pu être passionnant, dommage qu'il n'y ait pas ici le début de l'amorce d'un gag, au-delà de la redite des vannes (déjà pas terribles) du précédent film.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Suite d’une comédie de voisinage qui, dans le genre bien épais, en rajoute encore une couche. La débilité a produit quelques navets de haut vol : celui-ci vole au plus bas.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Sequel poussif d'une pochade déjà pas très drôle.
Ouest France
par La Rédaction
Vulgaire.
TF1 News
par Yves Grosjean
Une suite totalement indigeste et pauvre. Ceux qui n'adhéraient déjà pas à l'humour balourd du premier volet ne succomberont pas une seconde fois.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Gala
S’il ne se démarque pas vraiment du premier film, "Nos pires vosins 2" jouent à fond la carte des gags régressifs, graveleux, voire scatos. Cette comédie dont seuls les Américains ont le secret, ne va pas chercher loin, mais offre un bon divertissement, parfait pour l’été.
Public
Des blagues pipi caca en veux-tu, en voilà, des défis débiles et Zack Efron plus bodybuildé que jamais : que demander de plus pour bien démarrer l'été ?
Studio Ciné Live
Il y a du "Spring Breakers" dans ce film-là.
Ecran Large
"Nos Pires Voisins 2" retrouve le charme amer de son prédécesseur, inclassable mélange de lourdeur et d’acidité.
Le Monde
Dommage qu’une écriture désinvolte empêche les personnages et les situations d’atteindre leur plein potentiel. Le film vaut toutefois pour quelques gags, à commencer par les gamelles que se prend Zac Efron, vieux beau avant l’âge qui se rêve jeune premier et paye sa présomption au prix fort.
Le Parisien
Les fans du premier volet retrouveront les mêmes blagues potaches à base de vomi ou de tampons hygiéniques. Avec en bonus un discours progressiste sur le sexisme, le mariage gay et la difficulté de passer à l'âge adulte. Du rire gras mais pas creux.
Télé 7 Jours
Du cinéma potache et politique.
Télérama
Autre façon de surfer sur l'air du temps : une guerre des sexes réactualisée. Le personnage de loser joué par Zac Efron dit ainsi la déconfiture totale du playboy hétéro bas du front, mis au rancart par les moeurs d'aujourd'hui. Ce n'est pas une mauvaise nouvelle
Voici
Derrière la potacherie, une satire pas si idiote du "vivre ensemble".
aVoir-aLire.com
Un sequel à l’identique, comédie ado assumée, dans l’outrance et la vulgarité, mais à la bonhommie plutôt bienveillante. Pourquoi pas.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’une écriture paresseuse, Zac Efron joue la carte de l’autodérision et de l’irrévérence avec jubilation.
Les Fiches du Cinéma
Le féminisme 2.0 recèle moins de ressorts comiques que le conflit générationnel enlevé du premier opus.
Première
Théoriquement, ça aurait pu être passionnant, dommage qu'il n'y ait pas ici le début de l'amorce d'un gag, au-delà de la redite des vannes (déjà pas terribles) du précédent film.
Le Dauphiné Libéré
Suite d’une comédie de voisinage qui, dans le genre bien épais, en rajoute encore une couche. La débilité a produit quelques navets de haut vol : celui-ci vole au plus bas.
Les Inrockuptibles
Sequel poussif d'une pochade déjà pas très drôle.
Ouest France
Vulgaire.
TF1 News
Une suite totalement indigeste et pauvre. Ceux qui n'adhéraient déjà pas à l'humour balourd du premier volet ne succomberont pas une seconde fois.