Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
Sans jamais nous faire la leçon, "On est vivants" redonne donc aux mots compassion et solidarité tout leur sens.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Première
par Bernard Achour
Irrigué par l’héritage du philosophe Daniel Bensaïd, ce film, mobilisateur sans pour autant "séquestrer" la conscience de son public, est un poignant hommage à un ami disparu.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Une réflexion tout à la fois joyeuse et émouvante autour de la notion d'engagement.
L'Express
par Christophe Carrière
Témoignages édifiants mais justement trop éparpillés pour qu'on puisse en dégager une synthèse pertinente. Il fallait soit plus préciser le sujet, soit se lancer dans une série de plusieurs documentaires.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Loin du commentaire didactique lambda, Castillo imprime une dimension très habitée, personnelle et littéraire qui distingue ce film d’un banal docu militant.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Mathilde Blottière
Engagée contre la junte militaire au Chili, Carmen Castillo a toujours milité. Et si cette mosaïque frise le catalogue, la voix de Carmen Castillo continue de vibrer. Forte et poétique, elle transmet une vérité simple et, parfois, oubliée : l'engagement politique donne un sens à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Thomas Sotinel
La figure de Bensaïd reste enfouie sous cet effort d'auto-consolation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Positif
par Eric Derobert
A force d'éviter des analyses et enjeux plus globaux, et de prendre des poses de veilleur de nuit (nous serons toujours prêts pour le jour où...), "On est vivants" s'installe cependant dans le faux rythme de ses témoignages disparates, sans autre fil rouge que musical, en forme de réminiscences effacées des contest songs d'autrefois.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
L’engagement politique d’un film ne réside pas dans ses bonnes intentions ni dans ses bonnes paroles mais dans son faire. À quoi bon louer les révoltes des sans-terre au Brésil, des zapatistes au Mexique, des paysans en Bolivie, des associations pour le droit au logement en France si ce n’est pour, dans sa propre pratique, rester dans le carcan du formatage télévisé
Critikat.com
Sans jamais nous faire la leçon, "On est vivants" redonne donc aux mots compassion et solidarité tout leur sens.
Première
Irrigué par l’héritage du philosophe Daniel Bensaïd, ce film, mobilisateur sans pour autant "séquestrer" la conscience de son public, est un poignant hommage à un ami disparu.
Studio Ciné Live
Une réflexion tout à la fois joyeuse et émouvante autour de la notion d'engagement.
L'Express
Témoignages édifiants mais justement trop éparpillés pour qu'on puisse en dégager une synthèse pertinente. Il fallait soit plus préciser le sujet, soit se lancer dans une série de plusieurs documentaires.
Les Inrockuptibles
Loin du commentaire didactique lambda, Castillo imprime une dimension très habitée, personnelle et littéraire qui distingue ce film d’un banal docu militant.
Télérama
Engagée contre la junte militaire au Chili, Carmen Castillo a toujours milité. Et si cette mosaïque frise le catalogue, la voix de Carmen Castillo continue de vibrer. Forte et poétique, elle transmet une vérité simple et, parfois, oubliée : l'engagement politique donne un sens à la vie.
Le Monde
La figure de Bensaïd reste enfouie sous cet effort d'auto-consolation.
Positif
A force d'éviter des analyses et enjeux plus globaux, et de prendre des poses de veilleur de nuit (nous serons toujours prêts pour le jour où...), "On est vivants" s'installe cependant dans le faux rythme de ses témoignages disparates, sans autre fil rouge que musical, en forme de réminiscences effacées des contest songs d'autrefois.
Cahiers du Cinéma
L’engagement politique d’un film ne réside pas dans ses bonnes intentions ni dans ses bonnes paroles mais dans son faire. À quoi bon louer les révoltes des sans-terre au Brésil, des zapatistes au Mexique, des paysans en Bolivie, des associations pour le droit au logement en France si ce n’est pour, dans sa propre pratique, rester dans le carcan du formatage télévisé