Film qui se regarde mais sans plus... quelques moments sympa mais malgré sa faible durée j'ai trouvé certains passages assez longs... Ce fut moyen. 2,5/5
Lanvin et Dubosc jouent bien comme à leur habitude, c'est toujours un bon tandem..... non ce qui pèche ce sont les dialogues et le scénario.... à quel moment rit-on ? A part nous en mettre plein la vue avec un décor féerique et un luxe ostentatoire, quel est le projet ? bref, film alimentaire qui surfe sur l'engouement des français pour la cuisine....pension complète ? nan, je mangerais dehors.....
Décevant. Rien de bien nouveau là-dedans, une histoire mille fois vue et revue, bref, on s'ennuie. Bien entendu, on ne rit jamais, et on se demande ce qu'à bien voulu nous communiquer le réalisateur avec un tel spectacle. Les deux principaux rôles sont tenus avec professionnalisme, certes, mais avec un scénario mince comme du papier à cigarettes, on ne peut pas faire un cigare. Raté.
Film pas trop mal, qui ce regarde sans prise de tête, mais sans grande surprise non plus, quelques bonnes scènes d'humours. Un bon trois étoiles sur cinq pour moi.
C'est un petit film dans tous les sens du terme qui ressemble plutôt à un téléfilm de France télévision du samedi soir avec une ridicule intrigue familiale se déroulant dans un hôtel en Corse au bord de la mer. Dubosc fait son gugusse simple et prétentieux, et Lavin son caïd mal lèché habituel. Pour les fans des deux acteurs.
C'est mauvais, Pension complète est mauvais, déja la réa est nullissime les acteurs seul Dubosc s'en sort plus ou moins bien ça doit être parce que j'aime bien son humour mais sinon le reste pfiou, le film n'est pas drôle et en plus le scénario est vraiment laborieux, la lumière aussi est dégueulasse.
sans être un chef d oeuvre absolu du genre, on est en presence d une comédie sympathique et des plus agréables à suivre , avec finalement un peu plus de profondeur que ce qu'on pouvait attendre. Pas mal de sujet y sont abordes entre autre, les problèmes de couple, la difficulté de gestion des relations passées , sans oublier la relation de l'individu au travail et son impact sur la vie personnelle. J ai bien aimé cette réalisation qui offre aussi un intéressant contraste de personnages et d'acteurs et passé un moment agréable
On ne le dira jamais assez, vos prédispositions et les conditions de visualisation d'un film ont une incidence significative sur l'opinion que vous pourrez vous en faire. Ainsi une séance désagréable pour un motif quelconque (clim en panne en plein mois d'août, chauffage manquant en hiver, public bruyant ou sans-gène -ah les fameux genoux dans le dos !- ou même votre moral et votre intérêt pour le film) peut facilement transformer votre séance en un souvenir parfaitement périssable.
Il se trouve que je suis un grand fan de Lanvin et que Dubosc me fait fréquemment rire. Et que le duo me semble à priori tout à fait assorti. Ajouté à cela un besoin de rire un peu, et vous avez là un terreau favorable à cette comédie qui fût d'autant plus appréciée.
Lanvin est fidèle à lui-même, Dubosc se surpasse, les deux en font naturellement trop mais du coup ça passe merveilleusement bien !
La mayonnaise prend, les gags s’enchaînent et sont efficaces même s'ils sont vraiment classiques et prévisibles. Au final un bon moment tant qu'on évite la comparaison avec "la cuisine au beurre" qu'il ne faut voir que comme une source d'inspiration d'un scénario déroulé d'une manière radicalement différente, voire totalement méconnaissable.
Une daube, une vraie, et sans jeu de mots encore ! D'abord, Franck Dubosc n'a jamais été aussi inintéressant, (finalement je le préférais même carrément vulgaire, je m'étais habitué) En ce qui concerne Gérard Lanvin, (là encore à voir sa filmographie, il n'a jamais été capable de choisir ses rôles ! Toute une carrière construite à 90 % sur de très mauvais films ou navets). Avec Pension complète, (même le titre est nul), il reste fidèle à son habitude : un scénario bidon du cinéma domestique franchouillard, à la limite du téléfilm. Même s'il continue à tourner régulièrement, il est évident que cet acteur ne passera pas à la postérité. Heureusement d'ailleurs, ce n'est que justice…
Pitoyable ! Florent Siri nous avait épaté avec un Cloclo éblouissant mais voilà qu'il se lance dans une comédie (alimentaire probablement) à côté de laquelle, les films de Jean Girault (les Gendarmes et autres) deviennent des chefs d'oeuvres absolus. Scénar cucul et des personnages grotesques, bref ça ne tient pas la route un instant. Aucune direction d'acteurs... Dubosc en fait des tonnes et Arbillot est encore plus fade qu'à l'ordinaire, c'est dire si on touche le fond ! Rassurez-moi, c'est bien une comédie ? Plutôt voir et revoir "Le Grand Restaurant"
Sans originalité et doté d’acteurs à la médiocrité absolue, « Pension complète » se transforme en un cahier des charges de tout ce que nous ne devrions plus voir au cinéma.
Florent Siri avait fait 2/3 films d'action qui n'étaient pas forcément originaux, mais qui avaient le mérite d'être divertissants, il aurait peut-être dû rester dans ce registre-là puisque ce "Pension Complète" n'est ni divertissant ni original. Ce n'est pas un film honteux, mais ce n'est franchement pas terrible. C'est comme si on avait vu ça des centaines de fois, il y a toujours les mêmes gags, toujours le même traitement, on devine toujours ce qu'il va arriver et passer la première demi-heure, il n'y a déjà plus rien à se mettre sous la dent. En plus de ça, ce n'est jamais drôle et les acteurs surjouent un maximum ce qui est par moment assez énervant. Le seul point positif, c'est qu'il est très court donc ça limite la casse. Bref, aussitôt vu, aussitôt oublié.
"La Cuisine au beurre" (par Gilles Grangier, en 1963) fut l'unique occasion pour Bourvil et Fernandel de tourner ensemble ! Vu à la télévision (plusieurs fois !), ce film m'a laissé l'impression d'un spectacle bon enfant, valant essentiellement pour la confrontation de deux monstres sacrés, le Marseillais Contandin (alias "Fernandel"), 60 ans, et le Normand Raimbourg (alias "Bourvil"), 46 ans. Après un premier "remake", télévisuel, en 2005 (non vu, mais avec Patrick Bosso...), voilà donc une nouvelle mouture : un produit de (pauvre) "Siri(e)" (si vous me permettez cet à-peu-près...). Où s'"illustrent" Lanvin", la grosse soixantaine, et Dubosc, le début de la cinquantaine (amusant à noter : il naît l'année de sortie de "La Cuisine au Beurre"). Les âges sont donc repris, du film de Grangier. Et le reste (l'argument) est de l'ordre du "copié/collé/transposé/modernisé" (le tsunami de 2004 succédant aux suites de la Seconde guerre mondiale du modèle comme départ). Une fois la situation installée, elle progresse façon festival de stupidités et grossièretés diverses ("péripéties", notamment "amicales"), plus passages "romantiques" façon pubs niaises. Quant aux charisme et talent des "nouveaux"...... On est très loin des devanciers. Très loin.