Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Belle initiative que de convoquer non pas seulement comme d'habitude les auteurs de la Nouvelle Vague, ou les classiques naturalistes, mais d'instaurer un dialogue avec les véritables poètes de l'image.
Conte d’été, "Un jeune poète" l’est assurément, mais c’est aussi une comédie existentialiste, posant la double question de l’authenticité et de la liberté.
Une série décousue de rencontres ponctue ces libres déambulations, dont la candeur et le naturel rohmérien font le charme aussi discret qu’ironique. En complément un court métrage plus décapant, la "Dame au chien", avec Rémi Taffanel, en plus jeune, et une inquiétante mama black.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La mise en scène de Damien Manivel, aussi méticuleuse que malicieuse, souligne la maladresse du héros. (..) On n'est qu'à demi surpris de découvrir que le réalisateur fut par le passé danseur. Il filme ses personnages avec recherche et abandon, pour de vrais moments de poésie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Un jeune poète a donc les qualités de ses défauts. Le film prend quelques longueurs (...) Il n’y a cependant que dans cette longueur que se déploie l’originalité de Damien Manivel.
Escapade improvisée, tournée en douze jours, ce premier long métrage de Damien Manivel, qui vient de la danse, s'apparente plutôt à un ballet exotique, avec son héros en décalage perpétuel, partagé entre la béatitude et le rien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L’amusant décalage entre l’épuisement burlesque du comédien et la maîtrise des cadrages recrée l’étrangeté des courts de Damien Manivel. Mais l’exercice tient difficilement la distance du long.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le garçon picole, marche, écrit quelques phrases, cause avec un copain, va se baigner avec celui-ci, et... Et rien. L'ennui, c'est qu'un film sur l'ennui, c'est toujours ennuyeux.
Rémi veut devenir poète. Il erre dans Sète à la recherche d'inspiration. Quand le cinéaste derrière ce film faussement rohmérien aura trouvé la sienne, qu'il nous appelle. Merci.
Libération
Ars poetica ambulatoire dans la ville de Sète d’un superbe traîne-savates, en la personne de Rémi Taffanel.
Transfuge
Belle initiative que de convoquer non pas seulement comme d'habitude les auteurs de la Nouvelle Vague, ou les classiques naturalistes, mais d'instaurer un dialogue avec les véritables poètes de l'image.
Cahiers du Cinéma
Conte d’été, "Un jeune poète" l’est assurément, mais c’est aussi une comédie existentialiste, posant la double question de l’authenticité et de la liberté.
Critikat.com
On retrouve une innocence qui n’est pas sans rappeler la joie des films muets qui se permettaient toutes les audaces (...).
L'Humanité
Une série décousue de rencontres ponctue ces libres déambulations, dont la candeur et le naturel rohmérien font le charme aussi discret qu’ironique. En complément un court métrage plus décapant, la "Dame au chien", avec Rémi Taffanel, en plus jeune, et une inquiétante mama black.
La Croix
La mise en scène de Damien Manivel, aussi méticuleuse que malicieuse, souligne la maladresse du héros. (..) On n'est qu'à demi surpris de découvrir que le réalisateur fut par le passé danseur. Il filme ses personnages avec recherche et abandon, pour de vrais moments de poésie.
Les Inrockuptibles
Un jeune poète a donc les qualités de ses défauts. Le film prend quelques longueurs (...) Il n’y a cependant que dans cette longueur que se déploie l’originalité de Damien Manivel.
Télérama
Escapade improvisée, tournée en douze jours, ce premier long métrage de Damien Manivel, qui vient de la danse, s'apparente plutôt à un ballet exotique, avec son héros en décalage perpétuel, partagé entre la béatitude et le rien.
Le Monde
La poésie est-elle encore possible aujourd'hui, ou immédiatement vouée au ridicule par la "bêtise" d'un réel comme posé là ?
Première
L’amusant décalage entre l’épuisement burlesque du comédien et la maîtrise des cadrages recrée l’étrangeté des courts de Damien Manivel. Mais l’exercice tient difficilement la distance du long.
L'Obs
Le garçon picole, marche, écrit quelques phrases, cause avec un copain, va se baigner avec celui-ci, et... Et rien. L'ennui, c'est qu'un film sur l'ennui, c'est toujours ennuyeux.
Studio Ciné Live
Rémi veut devenir poète. Il erre dans Sète à la recherche d'inspiration. Quand le cinéaste derrière ce film faussement rohmérien aura trouvé la sienne, qu'il nous appelle. Merci.