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Votre avis sur Le Sanctuaire ?
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un film d horreur classique ou le scénario est des plus simplistes sans grande surprise. cependant les effets de maquillage sont plutôt bien réalisés.
videoman29
« Le sanctuaire » est un « petit » film d'horreur plutôt bien fichu et qui rempli allègrement ses objectifs en matière de divertissement et de frissons. En effet, dès les premières images, on est conquis par l'originalité du scénario et la fluidité de l'histoire qui nous emmène au plus profond de la forêt Irlandaise pour un habile mélange de fantastique et d'épouvante. Le réalisateur Corin Hardy joue avec nos nerfs et les légendes de son pays pour instiller une ambiance sombre et oppressante, parfaitement dosée et qui donne vite la chair de poule. Les inquiétants personnages qui vivent, tapis dans les bois, sortent peu à peu de leurs cachettes pour resserrer leur étau autour des personnages principaux, contraints de se retrancher dans leur pauvre maison isolée. Côté technique, le cinéaste privilégie la sobriété des effets spéciaux à l'ancienne mais l'ensemble reste homogène et réaliste ce qui prouve que les vieilles recettes ont encore de beaux jours devant elles. J'avais envie depuis longtemps de passer des vacances en Irlande... Je vais maintenant y réfléchir à deux fois héhé !
Impression mitigée... J'ai eu qq frissons mais pas suffisamment pour dire qu'il est efficace dans le genre. La démarche est pourtant bonne, les acteurs crédibles et la réalisation, bien qu'un peu trop saccadée à mon goût, en fait un film qui se laisse regarder. Bon visionnage !
L'intrigue se déroule dans une forêt irlandaise. Déjà, nous ressentons l'atmosphère envoûtante et chargée de mythes et légendes nous submerger. Très bonne idée de lieu pour un film d'épouvante ! L'ambiance est toute particulière, rappelant légèrement le style français, qu'il faut aimer. On nous parle de mystérieux "vénérables" que l'on ne voit apparaître, tout d'abord, que furtivement. De quoi faire monter la tension crescendo, jusqu'à ce que ces créatures étranges passent à l'attaque. Ces monstres qui veulent s'en prendre au bébé du couple de "héros" sont monstrueux et flippants ! Je les ai trouvé très réussi. Sur fond d'écologie, "le sanctuaire" est un très bon film, mélange de film de monstres, survival et fantastique. On pourrait même y déceler un côté poétique. A condition d'être dans de bonnes dispositions.
Vinz1
Sans être révolutionnaire, ce petit film d'horreur avec son fond écolo, nous change des sempiternels films de possession et autres "found footages" qui inondent nos écrans ces derniers temps. Ici, on a le droit à un mixe entre "The descent", "Evil dead" et "Rosemary's baby" pour les références. L'action prend lieu et place en Irlande avec ses légendes locales avec en plus une mère nature vengeresse... A voir !
J'aime bien les films d'horreurs et je pensais que je serais déçu par celui-ci, or ce ne fut pas le cas. Certes l'histoire de départ n'est pas extraordinaire et le scénario n'est pas le meilleur écrit. Mais tout de même tout le long du film une ambiance angoissante est maintenue par les silences, les bruits, les musique, les acteurs et le décor très sombre. Après, je ne le vous cache pas, qu'une ambiance avec un bon scénario est toujours mieux. Nous ferons avec. Il faut aussi aimer les films irréaliste, en effet, si vous aimez les films d'horreur probable, il est sera difficile de le regarder. Très vite ce film part dans une sorte de fantastiques. Bref, je n'ai pas mille infos à donner, ce film était appréciable pour son niveau.
Un film qui malheureusement s'embourbe dans le genre. Scénario banal et réalisation qui ne sort pas de l'ordinaire. Au final j'ai été assez déçue par ce film...
Je ne peux pas totalement détruire le sanctuaire car il m'a fichu les jetons à deux trois reprises et j'avoue que les costumes et maquillages sont hyper bien fait.. Les acteurs de game of thrones pourquoi pas... on tue encore le chien dans un film d'horreur, comme d'habitude... mais ce qui fait le réel défaut de ce film, c'est qu'entre deux évènements, il peut se produire un vide sidéral qui casse le rythme et qui nous ennuie. L'histoire des contes irlandais m'intéressait mais uniquement s'il s'agissait de votre conte existant, pas un truc inventé de toutes pièces pour un film d'horreur. Donc vraiment mitigé, faites donc votre avis.
Je note 2,5 / 5.
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L'histoire : l'histoire est bien faite et le scénario correct. Cependant, je n'ai pas accroché. Elle n'est pas nulle, mais disons que je m'attendais à quelque chose de nouveau.
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Réalisation : je la trouve très réussie. Les images sont belles, les effets spéciaux bons, la bande son suffisamment angoissante et des acteurs très convainquants.
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L'histoire : l'histoire est bien faite et le scénario correct. Cependant, je n'ai pas accroché. Elle n'est pas nulle, mais disons que je m'attendais à quelque chose de nouveau.
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Réalisation : je la trouve très réussie. Les images sont belles, les effets spéciaux bons, la bande son suffisamment angoissante et des acteurs très convainquants.
Adam, sa femme et leur bébé s'installent au milieu d'une forêt irlandaise complétement perdue.Voilà pour le pitch. Très peu attiré par les films épouvante-horreur, j'ai très vite décroché pendant la première demie-heure pour ensuite tomber dans un état de lethargie complète. Tout ce que je déteste dans le cinéma est réuni. Cependant, j'ai noté une étoile pour les efforts déployés par les deux acteurs et les effets spéciaux. On ne m'y reprendra plus...
AH ah je dois dire que je suis très surprise par ce film , au début il ne m'enchantais guère et au fur et à mesure qu'on avance dans le film on se plonge dans une atmosphère lugubre , mysterieuse , tout plein de suspense.
ON sursaute , et on aime ça !
Très bon scénario même si il manque l'origine diabolique de toutes ces créatures .
3,5/5 je le recommande .
ON sursaute , et on aime ça !
Très bon scénario même si il manque l'origine diabolique de toutes ces créatures .
3,5/5 je le recommande .
Sur le fond la mythologie et l'histoire dans son ensemble d'ailleurs ne sont pas vraiment approfondies . Ce film assez effrayant se distingue plutôt par son rythme soutenu et ses moments de tensions très efficaces.
et encore un de ses films d'horreur où ca cie ca hurle et on a pas peur. Une daube de plus dans ce genre refait et surfait. Les acteurs sont pathetiques sauf le bebe qui est le seul credible dans l'histoire. un navet !!!
Présenté lors du Festival Européen du Film Fantastique de Strasbourg (FEFFS), The Hallow ou Le Sanctuaire dans notre langue, nous plonge au cœur des légendes folkloriques celtiques irlandaises. Réalisé par Corin Hardy, ce dernier nous propose ici un synopsis de départ ne brillant pas par son originalité. En effet, on retrouve une famille vivant dans une forêt isolée, subissant les assauts des habitants des lieux : "les vénérables" et s'opposant à une population locale superstitieuse et inquiétante.
Pourtant "The Hallow" est à appréhender comme une véritable célébration au folklore Celtique, une œuvre passionnelle et assumée pour les légendes Irlandaises et leur bestiaire (les changelings) jusqu'à présent rarement mis en scène au cinéma, exception faite du plus célèbre des Leprechauns bien entendu. Corin Hardy nous livre une métrage organique et terrifiant, emplie de références mythologiques mais aussi de nombreux clins d’œil aux films du genre.
Ainsi, au niveau du casting, on retrouve un héros principal inquiétant et attachant, à mi chemin entre un Jack Nicholson de Shining, d'un Jeff Goldblum dans La Mouche ou encore d'un Bruce Campbell dans Evil Dead. D’ailleurs, impossible de visionner le métrage sans penser aux différentes œuvres, tant les références sont nombreuses.
Le film évoque l'aspect écologique avec une charge manifeste contre l'homme agressant la nature au travers de la déforestation. Mention spéciale concernant la qualité de la photographie des décors, avec des jeux de lumières de l'aube dorée à la nuit sombre de la foret inquiétante. Le tout aidé par un composition musicale maîtrisée.
En ce qui concerne les effets spéciaux, on reste dans une première partie essentiellement dans la suggestion pour enfin laisser apparaître progressivement des créatures inquiétantes et une forêt de plus en plus mystérieuse sans jamais céder aux attraits du numérique. Une impression de réalisme se dégage alors et l'angoisse se fait de plus en plus présente. Loin du numérique, le choix des effets spéciaux classiques offrent une bouffée d’air frais appréciable pour ce genre de production.
"The Hallow" permet ainsi au film de monstres de se renouveler. A la fois poétique et sombre, il reste toutefois un véritable paradoxe. En effet, d'un coté on vit un réel cauchemar éveillé suspendu au sort de cette famille, on découvre une pointe de fraîcheur avec une mythologie peu exploitée. Mais de l'autre coté, on partage une expérience classique due à une narration linéaire et un scénario convenu.
Au final, une fois le générique final passé (bien attendre la fin....), on a le sentiment que l'on vient d'assister à la naissance d'un réalisateur prometteur, respectueux de ses connaissances tant culturelles que cinématographiques. On comprends alors pour quelles raisons Corin Hardy a été pressenti pour revisiter très prochainement le monument "The Crow". Allez on y croit, car pour une première entrée en matière avec The Hallow, on peut avouer que c'est une véritable réussite.
Pourtant "The Hallow" est à appréhender comme une véritable célébration au folklore Celtique, une œuvre passionnelle et assumée pour les légendes Irlandaises et leur bestiaire (les changelings) jusqu'à présent rarement mis en scène au cinéma, exception faite du plus célèbre des Leprechauns bien entendu. Corin Hardy nous livre une métrage organique et terrifiant, emplie de références mythologiques mais aussi de nombreux clins d’œil aux films du genre.
Ainsi, au niveau du casting, on retrouve un héros principal inquiétant et attachant, à mi chemin entre un Jack Nicholson de Shining, d'un Jeff Goldblum dans La Mouche ou encore d'un Bruce Campbell dans Evil Dead. D’ailleurs, impossible de visionner le métrage sans penser aux différentes œuvres, tant les références sont nombreuses.
Le film évoque l'aspect écologique avec une charge manifeste contre l'homme agressant la nature au travers de la déforestation. Mention spéciale concernant la qualité de la photographie des décors, avec des jeux de lumières de l'aube dorée à la nuit sombre de la foret inquiétante. Le tout aidé par un composition musicale maîtrisée.
En ce qui concerne les effets spéciaux, on reste dans une première partie essentiellement dans la suggestion pour enfin laisser apparaître progressivement des créatures inquiétantes et une forêt de plus en plus mystérieuse sans jamais céder aux attraits du numérique. Une impression de réalisme se dégage alors et l'angoisse se fait de plus en plus présente. Loin du numérique, le choix des effets spéciaux classiques offrent une bouffée d’air frais appréciable pour ce genre de production.
"The Hallow" permet ainsi au film de monstres de se renouveler. A la fois poétique et sombre, il reste toutefois un véritable paradoxe. En effet, d'un coté on vit un réel cauchemar éveillé suspendu au sort de cette famille, on découvre une pointe de fraîcheur avec une mythologie peu exploitée. Mais de l'autre coté, on partage une expérience classique due à une narration linéaire et un scénario convenu.
Au final, une fois le générique final passé (bien attendre la fin....), on a le sentiment que l'on vient d'assister à la naissance d'un réalisateur prometteur, respectueux de ses connaissances tant culturelles que cinématographiques. On comprends alors pour quelles raisons Corin Hardy a été pressenti pour revisiter très prochainement le monument "The Crow". Allez on y croit, car pour une première entrée en matière avec The Hallow, on peut avouer que c'est une véritable réussite.
La première moitié du film est plutôt réussie, avec un scénario assez original, une belle photo, une atmosphère oppressante et une bande son bien choisie. La seconde moitié bascule dans le banal, avec des Gollums de piètre qualité, des incohérences, des invraisemblances, voire des choses franchement ridicules. C'est dommage. Quant à l'allégorie sur la revanche de la nature que certains voient dans le film, si elle existe, elle est alors franchement simpliste, peu fine et peu convaincante.
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