Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
En dépit de quelques flottements dans la narration en milieu de film, et d'une issue on ne peut plus cousue de fil blanc, l'alchimie entre Jean Dujardin et Virginie Efira s'épanouit totalement à l'écran.
Si elle tombe parfois dans la guimauve, cette romcom, comme disent les Américains, sait rester charmante jusqu'au bout. Et prouve définitivement que ce n'est pas la taille qui compte (O.K., celle-là était facile).
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Malgré des seconds rôles sacrifiés et une dramaturgie convenue, le charme de cette histoire d'amour atypique finit par opérer grâce à la complexité et à l'abattage du duo Jean Dujardin/Virginie Efira, tous deux étincelants.
"Un homme à la hauteur" est une délicieuse comédie qui aborde les préjugés sociaux envers les personnes de petite taille par le biais de l'humour sans éluder les vraies questions, comme celles sur la sexualité par exemple, et surtout, sans céder à la facilité ou la vulgarité.
On regrettera tout juste que Laurent Tirard et son coscénariste Grégoire Vigneron aient suivi d'un peu trop près le canevas de la comédie romantique. En tout cas, "Un homme à la hauteur" est un film qui fait du bien. De ceux qui contribuent à abolir les préjugés. Tant mieux !
Barricadé derrière son modèle et sa mise en scène étriquée, le réalisateur du "Petit Nicolas" mise tout sur son couple d’acteurs, à raison : l’alchimie entre Efira et Dujardin est telle que l’on passe outre les seconds rôles moyennement inspirés et le manque de folie de cette comédie romantique et gentillette qui ne s’imagine pas plus grande qu’elle ne l’est.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le scénario développe un coup de foudre entre une belle blonde d’un mètre septante-cinq et un brun ténébreux d’un mètre trente-six. (...) Puis, comme s’il voulait exorciser certaines cuisantes blessures, le scénario vire au méli-mélo sentimental, genre film à thèse sur le handicap, la différence, la souffrance, le regard de l’autre. Hélas un tantinet démonstratif.
On imagine ce que les frères Farelly auraient fait avec un sujet pareil. Tirard, lui, ne prend aucun risque et préfère jouer la carte de la comédie romantique (l’amour plus fort que le regard des autres). Du coup, on voit les faiblesses du scénario, les facilités, qui sont celles de la plupart des comédies françaises.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Pourtant si on parle ici de différence, d’acceptation de l’autre, de refus des préjugés, pas facile d’avaler cette improbable, love-story. Tout comme Jean Dujardin miniaturisé.
Après une première scène réussie, où le charme de Virginie Efira joue à plein, cette variation sur La Belle et la Bête en comédie romantique s’effondre dès qu’intervient le personnage de Jean Dujardin, prisonnier d’un effet spécial qui le transforme en nabot à ressorts.
Running gag abrutissant sur son héros piétiné par un chien, caractérisation ultra problématique de son personnage (qui est petit certes, mais heureusement riche, très riche, et incarné par Jean Dujardin), mise en scène bling-bling à l’avenant : pas sûr que cet Homme à la hauteur fasse avancer la cause des personnes de petite taille. Ni celle du cinéma.
CNews
En dépit de quelques flottements dans la narration en milieu de film, et d'une issue on ne peut plus cousue de fil blanc, l'alchimie entre Jean Dujardin et Virginie Efira s'épanouit totalement à l'écran.
Closer
Une comédie romantique rafraîchissante.
Le Point
Si elle tombe parfois dans la guimauve, cette romcom, comme disent les Américains, sait rester charmante jusqu'au bout. Et prouve définitivement que ce n'est pas la taille qui compte (O.K., celle-là était facile).
Ouest France
Malgré des seconds rôles sacrifiés et une dramaturgie convenue, le charme de cette histoire d'amour atypique finit par opérer grâce à la complexité et à l'abattage du duo Jean Dujardin/Virginie Efira, tous deux étincelants.
Public
"Un homme à la hauteur" est une délicieuse comédie qui aborde les préjugés sociaux envers les personnes de petite taille par le biais de l'humour sans éluder les vraies questions, comme celles sur la sexualité par exemple, et surtout, sans céder à la facilité ou la vulgarité.
Studio Ciné Live
On regrettera tout juste que Laurent Tirard et son coscénariste Grégoire Vigneron aient suivi d'un peu trop près le canevas de la comédie romantique. En tout cas, "Un homme à la hauteur" est un film qui fait du bien. De ceux qui contribuent à abolir les préjugés. Tant mieux !
Télé 2 semaines
Une romance ravissante qui ne se prend pas au sérieux.
L'Obs
Barricadé derrière son modèle et sa mise en scène étriquée, le réalisateur du "Petit Nicolas" mise tout sur son couple d’acteurs, à raison : l’alchimie entre Efira et Dujardin est telle que l’on passe outre les seconds rôles moyennement inspirés et le manque de folie de cette comédie romantique et gentillette qui ne s’imagine pas plus grande qu’elle ne l’est.
La Voix du Nord
Le scénario développe un coup de foudre entre une belle blonde d’un mètre septante-cinq et un brun ténébreux d’un mètre trente-six. (...) Puis, comme s’il voulait exorciser certaines cuisantes blessures, le scénario vire au méli-mélo sentimental, genre film à thèse sur le handicap, la différence, la souffrance, le regard de l’autre. Hélas un tantinet démonstratif.
Le Dauphiné Libéré
Une situation gentiment cocasse, qui renouvelle agréablement la comédie sentimentale.
Sud Ouest
Oscillant entre fable réaliste et divertissement à thèse, "Un homme à la hauteur" s’en tient à un cahier des charges sans cruauté ni grandeur.
Télé 7 Jours
Avec ses deux atouts maîtres, Virginie Efira et Jean Dujardin (le charme en partage), on a envie d'y croire.
Télérama
Quand il est farcesque, le film est drôle. Quand il est romantique, il est plus convenu.
Le Figaroscope
On imagine ce que les frères Farelly auraient fait avec un sujet pareil. Tirard, lui, ne prend aucun risque et préfère jouer la carte de la comédie romantique (l’amour plus fort que le regard des autres). Du coup, on voit les faiblesses du scénario, les facilités, qui sont celles de la plupart des comédies françaises.
Le Journal du Dimanche
Pourtant si on parle ici de différence, d’acceptation de l’autre, de refus des préjugés, pas facile d’avaler cette improbable, love-story. Tout comme Jean Dujardin miniaturisé.
Le Parisien
Des trucages trop visibles.
VSD
Une comédie romantique qui ne fait pas toujours mouche.
L'Express
Enervant. Décevant, également. Surtout décevant, d'ailleurs. Ce qui est très énervant.
Le Monde
Après une première scène réussie, où le charme de Virginie Efira joue à plein, cette variation sur La Belle et la Bête en comédie romantique s’effondre dès qu’intervient le personnage de Jean Dujardin, prisonnier d’un effet spécial qui le transforme en nabot à ressorts.
Les Inrockuptibles
Running gag abrutissant sur son héros piétiné par un chien, caractérisation ultra problématique de son personnage (qui est petit certes, mais heureusement riche, très riche, et incarné par Jean Dujardin), mise en scène bling-bling à l’avenant : pas sûr que cet Homme à la hauteur fasse avancer la cause des personnes de petite taille. Ni celle du cinéma.
Metro
Le moins que l’on puisse dire, c’est que le scénario ne fait pas dans la dentelle. (...) Embarrassant, à l’image de ce ratage complet.