Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Poesía sin fin est une œuvre vibrante, dotée d’une énergie communicative. Un beau chant d’amour à l’art et à la vie.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Nicola Brarda
On avait salué Alejandro Jodorowsky il y a trois ans avec "La Danza de la Realidad", alors qu’il s’éloignait sur une barque aux côtés d’un mime déguisé en squelette. On croyait lire dans cette scène touchante un adieu définitif. Et l’on avait tort, comme en témoigne "Poesía Sin Fin", bijou d’un artiste de quatre-vingt sept ans qui n’a rien perdu de sa vitalité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Chris Huby
Jodorowsky signe encore une fois un chef-d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Ecran Large
par Chris Huby
Jodorowsky signe encore une fois un chef d’œuvre marquant, qui sera à revoir de nombreuses fois pour en saisir toute la finesse et la magie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Passionnant et épuisant. Voilà le monde de Jodorowsky. Aussi bien dans ce qu'il en montre que dans ce qu'il en dit, chaque séquence est paroxystique, outrancière, comme passée par le filtre de rêves sous acide.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Réalisé avec les moyens du bord et un financement participatif venu du Web, "Poesia sin fin" est un film qui ne fait rien comme les autres. Baigné d'onirisme et de violence, il charme avec ses propres armes. Une séduction monstrueuse dont personne ne sort intact.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Riche d’une idée par plan, sa chronique enchevêtre autodérision, nostalgie, érotisme et divination dans une ambiance très originale, forte d’artifices poétiques enchanteurs. Un bonheur.
Paris Match
par Alain Spira
Ce biopic nous restitue avec un onirisme baroque l’apprentissage sexuel et textuel du jeune Jodo. « Poesia sin fin » est le plus vivant des testaments artistiques, signé par un vieux fou, sain de corps et... d’esprit.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Fabio Martins
Alejandro Jodorowsky offre au monde, à l’âge de 87 ans, un film d’une force émotionnelle prodigieuse.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
par Christophe Carrière
Le cinéaste déborde d'inventivité. Pas une séquence sans idée !
L'Humanité
par Dominique Widemann
La fresque autobiographique assigne la narration à la chronologie. Sinon tout sort à un rythme effréné du chapeau d’un prestidigitateur envoûté. Des bacchanales de l’atelier au café Iris, des nains aux poétesses, d’Adonis à André Breton, métamorphoses et transformations font du réel ce qui ne peut tenir en place.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film à la Jodorowsky, à la fois récit autobiographique, poème visuel, voyage initiatique, épopée imaginaire : le cinéma en liberté.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Un film tempêtueux, inspiré, poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Mad Movies
par Gilles Esposito
L'ensemble regorge d'idées visuelles démentes et visionnaires.
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Le réalisateur livre une nouvelle merveille de cinéma, aussi fiévreuse qu'émouvante. Indispensable.
Première
par Sylvestre Picard
C'est le film d'un vrai jeune homme.
Télérama
par Pierre Murat
Le cinéaste poursuit, avec "Poesia sin fin", le récit burlesque, coloré, extravagant de sa vie. Il l'invente, la réinvente en une suite de trouvailles esthétiques, de scènes époustouflantes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Xanaé Bove
Audace et croyance en la poésie, qu’on pourra trouver génial ou candide, c’est selon.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C’est d’une beauté renversante, un peu longuet par instants. Et maintenant on attend la suite : Jodorowsky à Paris, sa rencontre avec André Breton et le reste.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Film-testament mêlant réalité et allégorie, “Poesía sin fin” retrace avec poésie le parcours initiatique d’Alejandro Jodorowsky.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Poursuivant sur la lancée du premier volet, Jodorowsky reprend ses délires filmiques sur le même mode baroco-excessif, ou "psycho-magique" (...) un grand saltimbanque féru de grotesque, pour le meilleur et pour le pire. Le pire : une tendance décorative parfois envahissante. Le meilleur : un mixte de fellinisme et de comédie musicale hollywoodienne.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le cinéaste multiplie les idées mais se cantonne pour les manifester à une manière de défilé qui lasse vite, dans un mélange de lourdeur et d’appétit.
Libération
par Olivier Lamm
Outre une vision très vieillotte de la poésie comme choix de vie alternatif à tout et n’importe quoi, il y a quelque chose de très violent dans cette manière de signifier sa revanche sur sa famille (...), et de scinder l’humanité en deux castes - les poètes qui valent tout, donc, et les autres, qui ne valent pas grand-chose.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Bande à part
Poesía sin fin est une œuvre vibrante, dotée d’une énergie communicative. Un beau chant d’amour à l’art et à la vie.
Critikat.com
On avait salué Alejandro Jodorowsky il y a trois ans avec "La Danza de la Realidad", alors qu’il s’éloignait sur une barque aux côtés d’un mime déguisé en squelette. On croyait lire dans cette scène touchante un adieu définitif. Et l’on avait tort, comme en témoigne "Poesía Sin Fin", bijou d’un artiste de quatre-vingt sept ans qui n’a rien perdu de sa vitalité.
Ecran Large
Jodorowsky signe encore une fois un chef-d’œuvre.
Ecran Large
Jodorowsky signe encore une fois un chef d’œuvre marquant, qui sera à revoir de nombreuses fois pour en saisir toute la finesse et la magie.
Franceinfo Culture
Passionnant et épuisant. Voilà le monde de Jodorowsky. Aussi bien dans ce qu'il en montre que dans ce qu'il en dit, chaque séquence est paroxystique, outrancière, comme passée par le filtre de rêves sous acide.
Le Figaro
Réalisé avec les moyens du bord et un financement participatif venu du Web, "Poesia sin fin" est un film qui ne fait rien comme les autres. Baigné d'onirisme et de violence, il charme avec ses propres armes. Une séduction monstrueuse dont personne ne sort intact.
Le Journal du Dimanche
Riche d’une idée par plan, sa chronique enchevêtre autodérision, nostalgie, érotisme et divination dans une ambiance très originale, forte d’artifices poétiques enchanteurs. Un bonheur.
Paris Match
Ce biopic nous restitue avec un onirisme baroque l’apprentissage sexuel et textuel du jeune Jodo. « Poesia sin fin » est le plus vivant des testaments artistiques, signé par un vieux fou, sain de corps et... d’esprit.
aVoir-aLire.com
Alejandro Jodorowsky offre au monde, à l’âge de 87 ans, un film d’une force émotionnelle prodigieuse.
L'Express
Le cinéaste déborde d'inventivité. Pas une séquence sans idée !
L'Humanité
La fresque autobiographique assigne la narration à la chronologie. Sinon tout sort à un rythme effréné du chapeau d’un prestidigitateur envoûté. Des bacchanales de l’atelier au café Iris, des nains aux poétesses, d’Adonis à André Breton, métamorphoses et transformations font du réel ce qui ne peut tenir en place.
Le Dauphiné Libéré
Un film à la Jodorowsky, à la fois récit autobiographique, poème visuel, voyage initiatique, épopée imaginaire : le cinéma en liberté.
Le Monde
Un film tempêtueux, inspiré, poétique.
Mad Movies
L'ensemble regorge d'idées visuelles démentes et visionnaires.
Ouest France
Le réalisateur livre une nouvelle merveille de cinéma, aussi fiévreuse qu'émouvante. Indispensable.
Première
C'est le film d'un vrai jeune homme.
Télérama
Le cinéaste poursuit, avec "Poesia sin fin", le récit burlesque, coloré, extravagant de sa vie. Il l'invente, la réinvente en une suite de trouvailles esthétiques, de scènes époustouflantes.
Culturopoing.com
Audace et croyance en la poésie, qu’on pourra trouver génial ou candide, c’est selon.
L'Obs
C’est d’une beauté renversante, un peu longuet par instants. Et maintenant on attend la suite : Jodorowsky à Paris, sa rencontre avec André Breton et le reste.
Les Fiches du Cinéma
Film-testament mêlant réalité et allégorie, “Poesía sin fin” retrace avec poésie le parcours initiatique d’Alejandro Jodorowsky.
Les Inrockuptibles
Poursuivant sur la lancée du premier volet, Jodorowsky reprend ses délires filmiques sur le même mode baroco-excessif, ou "psycho-magique" (...) un grand saltimbanque féru de grotesque, pour le meilleur et pour le pire. Le pire : une tendance décorative parfois envahissante. Le meilleur : un mixte de fellinisme et de comédie musicale hollywoodienne.
Cahiers du Cinéma
Le cinéaste multiplie les idées mais se cantonne pour les manifester à une manière de défilé qui lasse vite, dans un mélange de lourdeur et d’appétit.
Libération
Outre une vision très vieillotte de la poésie comme choix de vie alternatif à tout et n’importe quoi, il y a quelque chose de très violent dans cette manière de signifier sa revanche sur sa famille (...), et de scinder l’humanité en deux castes - les poètes qui valent tout, donc, et les autres, qui ne valent pas grand-chose.