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Attention léger spoil
Debut elle fase sur un affiche de tableau de musée
Fin elle meurt devant
Le reste du film? Rien que du creux on aurait dit regarder les critiques avant de perdre du temps
Debut elle fase sur un affiche de tableau de musée
Fin elle meurt devant
Le reste du film? Rien que du creux on aurait dit regarder les critiques avant de perdre du temps
videoman29
« Io » est une production « Netfix », qui propose une histoire de SF nettement axée « philo 1ère année », dotée d'un budget sans doute limité... mais qui parvient pourtant à faire son petit bonhomme de chemin avec une étonnante facilité. D'abord, il s'agit d'un huis clos en plein air (c'est rare), qui aligne un casting, certes pauvre en quantité mais bien riche en qualité (ce qui est primordial pour la réussite de l'ensemble). Ensuite, l'idée originale nous touche tous puisqu'il s'agit de notre bonne vieille Terre et toutes les méchancetés qu'on lui fait subir depuis de très nombreuses années. Enfin, nous sommes en train de vivre une période hors du commun, où de nombreux pays sont touchés par des normes sanitaires jamais envisagées auparavant, ce qui me rend sans doute plus réceptif au scénario. Enfin, la réalisation est propre et fluide, ce qui nous permet de nous concentrer sur cette histoire moins légère qu'elle y paraît au premier coup d’œil. Du coup, même si ce n'est sans doute pas l'Oscar du film le plus épatant made in 2020, je me suis quand même bien amusé... et ça me suffit amplement !
Le pitch du film me plaisait bien mais alors qu'est-ce qu'il est mou et vide. C'est tout à l'honneur des scénaristes et du réalisateur de véhiculer un message écologique à travers ce long métrage mais IO est une oeuvre cinématographique est en tant que telle, on attend un peu plus qu'un simple concept. Ici, c'est le vide qui domine et face à 1h30 de vide, le spectateur le comble avec de l'ennui et de nombreux baillements. Où est l'intrigue? La mise en scène ? Où est le film?
Film un peu lent mais scénario intéressant pour qui s'intéresse à l'environnement et à l'avenir de notre civilisation. Il met en lumière les divergences entre les technofiles et les naturofiles et colle bien avec l'actualité.
Ingénieurs et scientifiques pointent du doigt les limites actuelles de notre civilisation, l'impossibilité d'offrir à l'ensemble du monde le confort des occidentaux, les dégâts déjà causés sur notre environnement et les risques que cela représente pour les générations présentes et futures.
En parallèle, startupers de la silicon valley et réalisateurs hollywoodiens font miroiter un monde de voitures volantes, de séjours dans l'espace à bas coût, de colonisation de planètes et d'humains améliorés.
Etant donné que sans la science et l'ingénierie nous n'aurions pas le confort actuel dont nous disposons, j'ai tendance à plutôt croire le premier camp.
Io nous pousse à réfléchir à ce que l'on veut préserver, des rêves utopiques de vie extraterrestre ou une terre non polluée riche en biodiversité et respirable pour l'homme...
Ingénieurs et scientifiques pointent du doigt les limites actuelles de notre civilisation, l'impossibilité d'offrir à l'ensemble du monde le confort des occidentaux, les dégâts déjà causés sur notre environnement et les risques que cela représente pour les générations présentes et futures.
En parallèle, startupers de la silicon valley et réalisateurs hollywoodiens font miroiter un monde de voitures volantes, de séjours dans l'espace à bas coût, de colonisation de planètes et d'humains améliorés.
Etant donné que sans la science et l'ingénierie nous n'aurions pas le confort actuel dont nous disposons, j'ai tendance à plutôt croire le premier camp.
Io nous pousse à réfléchir à ce que l'on veut préserver, des rêves utopiques de vie extraterrestre ou une terre non polluée riche en biodiversité et respirable pour l'homme...
IO nous raconte l'histoire d'une jeune scientifique étant l'une des dernière personne vivant sur notre Terre, une bactérie ayant anéanti la quasi totalité de ce qui y vivait, le reste (mais on ne sait combien) ayant réussi à fuir sur IO, l'une des lune de Jupiter.
Si l'on prend ce film du côté bien pensant/écologiste, ce film peut nous faire penser à notre futur proche si on continue à maltraiter la Terre comme on le fait aujourd'hui, dans ce cas vous pouvez trouver un réel intérêt pour le film
Pour ceux qui s'attendaient à voir des images de quête spatiale et de nouvelle planète, passez votre chemin.
Sinon belle performance des 2 acteurs (Margaret Qualley que je découvrais) et Anthony Mackie dans un registre différent de ce que je lui connaissais (Captain America...)
Si l'on prend ce film du côté bien pensant/écologiste, ce film peut nous faire penser à notre futur proche si on continue à maltraiter la Terre comme on le fait aujourd'hui, dans ce cas vous pouvez trouver un réel intérêt pour le film
Pour ceux qui s'attendaient à voir des images de quête spatiale et de nouvelle planète, passez votre chemin.
Sinon belle performance des 2 acteurs (Margaret Qualley que je découvrais) et Anthony Mackie dans un registre différent de ce que je lui connaissais (Captain America...)
Comme le film "les survivants" avec Margot Robbie, c'est mou, sans intérêt et franchement mauvais ! Echec sur toute la ligne !
film très voire trop lent et monotone qui ne réserve aucune surprise et on finit par s'ennuyer ferme. beaucoup d' incoherences aussi. le sujet mérite un bien meilleur traitement.
Ici, nous parlons d'un film de science fiction sans artifices ni lutte contre des aliens.
Ici, le film nous parle avec poésie et mélancolie de ce que nous avons fait subir à notre Terre; qui s'est protégé en rendant l'air irrespirable pour qu'elle puisse éjecter le poison qui l'a fait mourir petit à petit.
Cependant, quelques êtres humains sont restés, Sam, fille d'un grand scientifique qui avait la convection que la vie reviendrait sur notre planète et dont son amour inconditionnel pour la Terre, est restée en quête d'un dernier espoir et qui n'a qu'une seule relation, relation épistolaire avec un ingénieur qui lui est parti sur IO.
Nous faisons alors connaissance avec Micah, lui aussi resté sur Terre mais avec le désir de s'envoler vers les étoiles.
Leur rencontre qui n'est pas digne d'un roman à l'eau de rose hollywoodienne; nous prouve encore une fois que le film restera simple.
En fait, pas besoin de plus pour en faire un bon film.
Ici, le film nous parle avec poésie et mélancolie de ce que nous avons fait subir à notre Terre; qui s'est protégé en rendant l'air irrespirable pour qu'elle puisse éjecter le poison qui l'a fait mourir petit à petit.
Cependant, quelques êtres humains sont restés, Sam, fille d'un grand scientifique qui avait la convection que la vie reviendrait sur notre planète et dont son amour inconditionnel pour la Terre, est restée en quête d'un dernier espoir et qui n'a qu'une seule relation, relation épistolaire avec un ingénieur qui lui est parti sur IO.
Nous faisons alors connaissance avec Micah, lui aussi resté sur Terre mais avec le désir de s'envoler vers les étoiles.
Leur rencontre qui n'est pas digne d'un roman à l'eau de rose hollywoodienne; nous prouve encore une fois que le film restera simple.
En fait, pas besoin de plus pour en faire un bon film.
Très bon film pour ma part. Il faut se mettre à leurs places. Ceux qui cherchent de l’action, passez votre chemin! Un très bon thème d’actualité si l’on continue comme ça. Arrivera t’il à en convaincre certain? J’en doute malheureusement...
De nombreuses personnes attende de voir un film de "Science fiction" alors qu'il est plutôt à catégoriser dans les films d'Anticipation-SF et non de SF-Anticipation (Star treck, 2001, Passengers...) ou de SF-Fantastique (Star Wars, Jupiter, Les gardiens de la galaxie...), du coups plus proche ou ressemblant, par exemple à "La route", "Soleil Vert", "Bunker palace hotel", "Bienvenue à Gatacca" ... Beaucoup de narration, peu ou pas d'actions, pas d'effet spectaculaire ...
Un film qui se centre bien plus sur la condition humaine que sur le(s) protagoniste(s); qui se regarde pour faire une introspection et non pour passer le temps ou se divertir et si l'on aurait aimer parfois aller plus loin à certains moments, au final le film est plutôt bon et à réserver aux amateurs du genre.
Un film qui se centre bien plus sur la condition humaine que sur le(s) protagoniste(s); qui se regarde pour faire une introspection et non pour passer le temps ou se divertir et si l'on aurait aimer parfois aller plus loin à certains moments, au final le film est plutôt bon et à réserver aux amateurs du genre.
En dépit d'un scenario original, il ne se passe pas grand chose au final. Anthony Mackie et Margaret Qualley sont convaincants sur le plan du questionnement sur leurs choix différents pour survivre. La seul chose de bien du film. Mais malheureusement, ils ne sont pas beaucoup aidés car le film se contente de nous plonger dans une intrigue intimiste en orbite autour de l'ennui. Avec peu de matière à exploiter, et avec peu de moyens budgétaires, le sujet ne séduit pas assez pour qu'on s'y intéresse de plus. Passable.
Pas très simple de noter ce film. Il est bâti sur un rythme lent, ce qui en soit n'est pas grave, mais le film ressemble beaucoup à une coquille vide. Il n'y a vraiment pas grand chose à se mettre sous la dent : grosso modo, 2 personnages et un lieu principal. C'est vraiment un film avec économie de moyens. Mais là, ça ne marche pas vraiment. La réalisation est plutôt intéressante, j'ai bien aimé les 2 personnages. Mais le film est uniquement centré sur la question : partira, partira pas ? Le pire dans tout ça, c'est qu'on n'a même pas une fin claire ! Il ne se passe presque rien dans le film et la fin est ambigüe...
spoiler:
Personnellement, je pense que la jeune femme est morte, et ce que l'on voit d'elle à la fin n'est qu'un de ses rêves, car cette séquence est filmée de la même manière que les 2 autres évocations de ses rêves durant le film.
Vous l'aurez compris, un film très dispensable. Ca vaudrait presque le coup de le refaire ce film tant il passe à côté de lui-même.
Vous l'aurez compris, un film très dispensable. Ca vaudrait presque le coup de le refaire ce film tant il passe à côté de lui-même.
Encore un autre film post apocalypse by Netflix mais cette fois ci, la fin du monde est un prétexte pour aller fouiller au plus profond de l'humanité. Tout d'abord le titre du film : Io, en référence au satellite de Jupiter autour de laquelle gravite la station spatiale où vit une grande partie de la population. Mais Io peut aussi faire référence à la divinité Grec, prêtresse du temple d'Héra, gardienne de la fécondité... On peut donc voir dans ce film la figure de Io dans le personnage de Sam Walden, qui tente de garder en vie la fécondité de la flore terrestre. Ensuite, toujours dans cet esprit, le long métrage se plonge dans les méandres de la vie en couple mais avec des raccourcis assez ternes dans la relation entre Sam et Elon, puis entre Sam et Micah. En gros, ce film a voulu être plus qu'un film post apocalypse mais un film voulant fouiller dans les comportements de couple dans la métaphore de IO. Tout cela semble prometteur et donne un film profond et passionant mais que nenni... Le film est extrêmement lent et mou et il en devient donc ennuyeux. Le duo Margaret Qualley / Anthony Mackie ne fonctionne pas. Il n'y a pas d'accroche entre eux. En conclusion, ce film donne de belles promesses mais le manque d’animation dans le film endort le spectateur.
C'est pas évident d'écrire un avis sur ce film... Le sujet est on ne peut plus d'actualité avec l'effondrement des écosystèmes etc... mais certaines choses me chiffonnent dans cet énième opus post-apocalyptique. Un femme dépressive (car oui elle a tout de la personne en dépression) croit plus que tout à la vie et à la continuité de l'humanité sur Terre. C'est un peu paradoxal et vu son comportement elle aurait déjà dû se laisser mourir. Cela mis à part, le film est en effet un peu lent, et certains points auraient été intéressants à développer (dans les recherches qu'elle et son père ont effectué par exemple, comment elle est précisément arrivée sur sa colline, et des contacts avec d'autres rescapés autres que Micah qui sort de nulle part avec sa montgolfière auraient été appréciés). Alors oui c'est poétique, oui les lenteurs sont un beau pied de nez à tous ces blockbusters où l'écran nous explose à la figure toutes les 10 secondes, mais cela aurait pu être plus travaillé. Et d'ailleurs c'est tellement peu travaillé qu'ils ne vérifient même pas leurs sources scientifiques.... Non Jupiter n'est pas à 4.6 années lumières de la terre... (entre 32 et 48 minutes lumières seulement selon la situation des deux planètes autour du soleil).
Je n'ai pas passé un super moment, je n'ai pas non plus passé un mauvais moment. Je suis juste un peu resté sur ma faim à imaginer un scénario sur les mêmes bases qui aurait pu être super.
Je n'ai pas passé un super moment, je n'ai pas non plus passé un mauvais moment. Je suis juste un peu resté sur ma faim à imaginer un scénario sur les mêmes bases qui aurait pu être super.
Il suffit de bien poser le registre et ne pas s'attendre à de l'Alien ou de l'Interstellar. La trame est intéressante, les acteurs sont justes, et la situation, ma foi, très crédible. L'isolement est palpable et même sur cette planète abîmée, massacrée, il y a en permanence un espoir. Ce film et ces deux acteurs ne méritent certainement pas ce flot de critiques infondées, il y a de la matière pour ceux qui se posent ces questions.
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