Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
La mise en scène aussi somptueuse que malicieuse (de Whit Stillman) rend parfaitement justice à l’écrivain qu’il a découvert lorsqu’il avait 18 ans
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par François Forestier
Whit Stillman, réalisateur au style sec et quelquefois un peu raide ("Barcelona") a deux qualités. Il sait utiliser le dialogue du roman avec bonheur, sans tomber dans la caricature d’époque, et dirige ses acteurs avec légèreté (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
Comme souvent chez Jane Austen, on rit beaucoup, mais on rit jaune. Il faut également rendre grâce à Kate Beckinsale, toujours parfaite dans les rôles en costumes, qui campe cette peste de lady Susan à la perfection, avec juste ce qu'il faut d'esprit, de sarcasme et d'amertume : Jane Austen l'aurait adoubée.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Hors mode, le cinéma de Whit Stillman n’est pas contre son temps, mais c’est assurément un cinéma du contretemps (…). Bénis soient les contretemps, donc !
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Venant magistralement démentir, par la fringance générale du récit, l’image un peu guindée qu’on pourrait se faire d’une comédie cup of tea, "Love & Friendship" s’accorde si bien à la pétulance de son héroïne qu’il désavoue le faste des tableaux statiques au profit d’une constante agitation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Whit Stillman réussit avec Love and Friendship le pari impossible de proposer une adaptation cinématographique supérieure à l’œuvre originelle. Par sa théâtralité, son rythme, et sa truculence, le film rehausse l’éclat de ce récit de jeunesse que Jane Austen avait choisi de ne pas publier.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une peinture caustique et sans concession d’une société où règne l’hypocrisie, et le portrait, tout aussi acerbe, d’un beau monstre sous ses apparences policées.
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
La mise en scène est classique, théâtrale ; les échanges se déroulent la plupart du temps dans des lieux uniques et fermés. Pourtant, elle n’en est pas moins dynamique, portée par des sous-titres et un refrain musical pleins d’humour.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Grâce à une mise en scène enlevée, Whit Stillman revisite les films en costumes et donne une formidable modernité à cette satire audacieuse et élégante, portée par des dialogues aussi cinglants qu’amusants.
Le Monde
par Noémie Luciani
Souvent reléguée au rayon des lectures évaporées pour jeunes femmes sentimentales, Jane Austen, qui manie délicieusement l’ironie et croque avec malice ses personnages, n’a pas la réputation d’être une méchante plume. C’est pourtant la lecture étonnante et rafraîchissante qu’en fait Whit Stillman (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Il y a peu d'amour et d'amitié dans cette adaptation d'une nouvelle épistolaire de Jane Austen qu dément ici sa réputation de mièvrerie à travers les manœuvres d'une jolie veuve sans scrupules, mises en scène avec une suave perversité.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Une adaptation de Jane Austen très enlevée, par l'un des plus subtils et malicieux sismographes du sentiment amoureux.
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Il est réjouissant de constater que Stillman, passé maître dans l’observation de groupes sociaux dont l’étanchéité et la paralysie semblent de lointains rejetons de l’Empire britannique, a su, en déportant son théâtre social dans la mère patrie, lui insuffler une énergie et un sens de l’égalité tout américains.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Eithne O'Neill
Addition très honorable au corpus considérable des versions austeniennes pour l'écran, ce film en costume somptueux (...) fait progresser le drame, pimenté d'intrigues et de trahisons comme un menuet pimpant.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
La tonicité du jeu (de Kate Beckinsale) fait oublier les quelques longueurs de cette chronique de remariage ludique, mais mineure dans l'oeuvre d'Austen.
TF1 News
par Edwige Charluet
Une adaptation raide mais stimulante. Kate Beckinsale, impériale.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Sidy Sakho
On regrette juste que cette perfection de l'écriture recouvre les aspérités des personnages. Manque chez une part de vulnérabilité qui contribuait à la beauté du précédent film. Mince réserve pour une comédie de premier choix.
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Servie par des dialogues incisifs, cette confrontation des élans du coeur et de la raison est jubilatoire.
Télérama
par Mathilde Blottière
La mise en scène est élégante, les costumes font de doux froufrous, mais les répliques crépitent comme des balles et le verbe tue.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Une adaptation charmante d'un roman de Jane Austen.
aVoir-aLire.com
par Niels Euler
Par le refus des à-côtés, Stillman se met au service des acteurs et du texte, qu’il a lui-même adapté de la nouvelle de Jane Austen. Et rend ainsi hommage à la femme de lettre au-delà de l’image d’Epinal.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un bel exercice de cinématographie littéraire. Jane Austen ajoute à sa perspicacité une drôlerie convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Whit Stillman tombe ici dans le plan-plan. Bien fait, mais ennuyeux finalement.
La Croix
par Marie Soyeux
Whit Stillman adapte sans éclat un court roman épistolaire et humoristique de Jane Austen, Lady Susan.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
20 Minutes
La mise en scène aussi somptueuse que malicieuse (de Whit Stillman) rend parfaitement justice à l’écrivain qu’il a découvert lorsqu’il avait 18 ans
L'Obs
Whit Stillman, réalisateur au style sec et quelquefois un peu raide ("Barcelona") a deux qualités. Il sait utiliser le dialogue du roman avec bonheur, sans tomber dans la caricature d’époque, et dirige ses acteurs avec légèreté (...).
Le Parisien
Comme souvent chez Jane Austen, on rit beaucoup, mais on rit jaune. Il faut également rendre grâce à Kate Beckinsale, toujours parfaite dans les rôles en costumes, qui campe cette peste de lady Susan à la perfection, avec juste ce qu'il faut d'esprit, de sarcasme et d'amertume : Jane Austen l'aurait adoubée.
Cahiers du Cinéma
Hors mode, le cinéma de Whit Stillman n’est pas contre son temps, mais c’est assurément un cinéma du contretemps (…). Bénis soient les contretemps, donc !
Critikat.com
Venant magistralement démentir, par la fringance générale du récit, l’image un peu guindée qu’on pourrait se faire d’une comédie cup of tea, "Love & Friendship" s’accorde si bien à la pétulance de son héroïne qu’il désavoue le faste des tableaux statiques au profit d’une constante agitation.
Culturopoing.com
Whit Stillman réussit avec Love and Friendship le pari impossible de proposer une adaptation cinématographique supérieure à l’œuvre originelle. Par sa théâtralité, son rythme, et sa truculence, le film rehausse l’éclat de ce récit de jeunesse que Jane Austen avait choisi de ne pas publier.
Le Dauphiné Libéré
Une peinture caustique et sans concession d’une société où règne l’hypocrisie, et le portrait, tout aussi acerbe, d’un beau monstre sous ses apparences policées.
Le Figaroscope
La mise en scène est classique, théâtrale ; les échanges se déroulent la plupart du temps dans des lieux uniques et fermés. Pourtant, elle n’en est pas moins dynamique, portée par des sous-titres et un refrain musical pleins d’humour.
Le Journal du Dimanche
Grâce à une mise en scène enlevée, Whit Stillman revisite les films en costumes et donne une formidable modernité à cette satire audacieuse et élégante, portée par des dialogues aussi cinglants qu’amusants.
Le Monde
Souvent reléguée au rayon des lectures évaporées pour jeunes femmes sentimentales, Jane Austen, qui manie délicieusement l’ironie et croque avec malice ses personnages, n’a pas la réputation d’être une méchante plume. C’est pourtant la lecture étonnante et rafraîchissante qu’en fait Whit Stillman (...).
Les Fiches du Cinéma
Il y a peu d'amour et d'amitié dans cette adaptation d'une nouvelle épistolaire de Jane Austen qu dément ici sa réputation de mièvrerie à travers les manœuvres d'une jolie veuve sans scrupules, mises en scène avec une suave perversité.
Les Inrockuptibles
Une adaptation de Jane Austen très enlevée, par l'un des plus subtils et malicieux sismographes du sentiment amoureux.
Libération
Il est réjouissant de constater que Stillman, passé maître dans l’observation de groupes sociaux dont l’étanchéité et la paralysie semblent de lointains rejetons de l’Empire britannique, a su, en déportant son théâtre social dans la mère patrie, lui insuffler une énergie et un sens de l’égalité tout américains.
Positif
Addition très honorable au corpus considérable des versions austeniennes pour l'écran, ce film en costume somptueux (...) fait progresser le drame, pimenté d'intrigues et de trahisons comme un menuet pimpant.
Studio Ciné Live
La tonicité du jeu (de Kate Beckinsale) fait oublier les quelques longueurs de cette chronique de remariage ludique, mais mineure dans l'oeuvre d'Austen.
TF1 News
Une adaptation raide mais stimulante. Kate Beckinsale, impériale.
Transfuge
On regrette juste que cette perfection de l'écriture recouvre les aspérités des personnages. Manque chez une part de vulnérabilité qui contribuait à la beauté du précédent film. Mince réserve pour une comédie de premier choix.
Télé 7 Jours
Servie par des dialogues incisifs, cette confrontation des élans du coeur et de la raison est jubilatoire.
Télérama
La mise en scène est élégante, les costumes font de doux froufrous, mais les répliques crépitent comme des balles et le verbe tue.
Voici
Une adaptation charmante d'un roman de Jane Austen.
aVoir-aLire.com
Par le refus des à-côtés, Stillman se met au service des acteurs et du texte, qu’il a lui-même adapté de la nouvelle de Jane Austen. Et rend ainsi hommage à la femme de lettre au-delà de l’image d’Epinal.
Franceinfo Culture
Un bel exercice de cinématographie littéraire. Jane Austen ajoute à sa perspicacité une drôlerie convaincante.
L'Express
Whit Stillman tombe ici dans le plan-plan. Bien fait, mais ennuyeux finalement.
La Croix
Whit Stillman adapte sans éclat un court roman épistolaire et humoristique de Jane Austen, Lady Susan.