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Votre avis sur Carrie au bal du diable ?
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Carrie Potter à l’école des moldus.
La plupart des films peuvent se résumer à une scène précisément. Ici, l’ouverture est géniale et l’exposition est pas super intéressante. De même, le reste du film enchaîne les scènes supers et les scènes pas très interessantes.
J’ai du mal à savoir si le film va trop vite ou si le film passe trop vite. En tout cas, on s’ennuie pas.
C’est globalement bien réalisé, avec plein d’idées dans le style De Palma.
Le sujet est toujours d’actualité et bien traité, notamment dans un cadre fantastique.
La plupart des films peuvent se résumer à une scène précisément. Ici, l’ouverture est géniale et l’exposition est pas super intéressante. De même, le reste du film enchaîne les scènes supers et les scènes pas très interessantes.
J’ai du mal à savoir si le film va trop vite ou si le film passe trop vite. En tout cas, on s’ennuie pas.
C’est globalement bien réalisé, avec plein d’idées dans le style De Palma.
Le sujet est toujours d’actualité et bien traité, notamment dans un cadre fantastique.
B. de Palma & S. King, un duo forcément gagnant lorsqu'il s'agit de tension et le genre dans lequel ils excellent : le thriller horrifique. un film marquant de son époque où l'angoisse grandie peu à peu, jusqu'au final en apothéose, superbement réalisé. en outre, le personnage de Carrie est également une dénonciation de la différence et du harcèlement et révèlera alors S. Spacek au grand public.
Brian de Palma signe l'un des grands classiques du cinéma d'horreur des années 70 avec cette brillante adaptation du premier roman de Stephen King. Une véritable réussite du genre.
Le seul film "d' horreur " qui m' ait presque ému aux larmes ; acteurs, scénario, mise en scène, musique...un film envoutant et sublime !
Carrie est un film endiablé.
La mise en scène est virtuose. De Palma sert une histoire absolument déchirante en usant d'effets de style tout à fait géniaux. La longue séquence du bal de promo est à couper le souffle.
Rarement je me suis trouvé aussi remué émotionnellement. D'une cruauté inouïe.
Il faut dire que tout tombe juste et ce n'est jamais misérabiliste ; mais alors pas du tout. C'est ce qu'on appelle de la maîtrise.
La forme sert on ne peut mieux le fond : pensons évidemment au fabuleux spleet-screen, aux merveilleux ralentis ainsi qu'au sensationnel travail sur le son (le moment du seau est une gifle monumentale).
Le séquence d'ouverture est elle aussi bien sentie. On voit Carrie se toucher le corps dans la vapeur, enveloppée par l'eau qui s'écoule le long de ses formes. Magnifique.
La réflexion sur la sexualité est hyper bien menée. Le traitement de la transformation forcée qu'est l'adolescence est également brillante. Importante aussi la thématique du déterminisme avec le rôle que joue notre condition sociale initiale dans notre rapport à l'autre, particulièrement difficile.
On retiendra un plan qui montre en l'espace de deux secondes le génie démoniaque de Brian de Palma : on voit la persécutrice de Carrie se lécher les lèvres en très gros plan (charge sexuelle) avant de passer à l'acte.
Immense.
Dommage que ça ne s'arrête pas sur le massacre, ce qui fermerait alors le film sur la métamorphose de Carrie.
La rage se serait ainsi exprimée, et rien d'autre après (comme une sorte de déflagration).
Au final ça perd en force. Je trouve que c'est un défaut notable, surtout que ce qui est raconté par la suite n'est pas bien pertinent (on voit encore combien la mère est dérangée, la mort de Carrie n'a aucun intérêt et finir sur une persécutrice de Carrie hantée par son esprit malgré le fait qu'elle se soit rachetée est un choix discutable... ne serait-ce pas la goutte de trop ? Il me semble en tout cas qu'on pouvait très bien s'en dispenser). Bref, la fin trahit la puissance du film pourtant loin d'être dissimulée.
Sinon ça reste du grand cinéma et du grand De Palma.
La mise en scène est virtuose. De Palma sert une histoire absolument déchirante en usant d'effets de style tout à fait géniaux. La longue séquence du bal de promo est à couper le souffle.
Rarement je me suis trouvé aussi remué émotionnellement. D'une cruauté inouïe.
Il faut dire que tout tombe juste et ce n'est jamais misérabiliste ; mais alors pas du tout. C'est ce qu'on appelle de la maîtrise.
La forme sert on ne peut mieux le fond : pensons évidemment au fabuleux spleet-screen, aux merveilleux ralentis ainsi qu'au sensationnel travail sur le son (le moment du seau est une gifle monumentale).
Le séquence d'ouverture est elle aussi bien sentie. On voit Carrie se toucher le corps dans la vapeur, enveloppée par l'eau qui s'écoule le long de ses formes. Magnifique.
La réflexion sur la sexualité est hyper bien menée. Le traitement de la transformation forcée qu'est l'adolescence est également brillante. Importante aussi la thématique du déterminisme avec le rôle que joue notre condition sociale initiale dans notre rapport à l'autre, particulièrement difficile.
On retiendra un plan qui montre en l'espace de deux secondes le génie démoniaque de Brian de Palma : on voit la persécutrice de Carrie se lécher les lèvres en très gros plan (charge sexuelle) avant de passer à l'acte.
Immense.
Dommage que ça ne s'arrête pas sur le massacre, ce qui fermerait alors le film sur la métamorphose de Carrie.
La rage se serait ainsi exprimée, et rien d'autre après (comme une sorte de déflagration).
Au final ça perd en force. Je trouve que c'est un défaut notable, surtout que ce qui est raconté par la suite n'est pas bien pertinent (on voit encore combien la mère est dérangée, la mort de Carrie n'a aucun intérêt et finir sur une persécutrice de Carrie hantée par son esprit malgré le fait qu'elle se soit rachetée est un choix discutable... ne serait-ce pas la goutte de trop ? Il me semble en tout cas qu'on pouvait très bien s'en dispenser). Bref, la fin trahit la puissance du film pourtant loin d'être dissimulée.
Sinon ça reste du grand cinéma et du grand De Palma.
Brian De Palma qui adapte du Stephen King : le résultat ne pouvait être que bluffant. Et il l'est, ce film est une réussite totale.
Tout d'abord, De Palma nous montre ici toute l'étendue de son talent avec une mise en scène somptueuse et divine : ralentis, traveling, split-screen, gros plans, etc... Le cinéaste donne vie à son univers, s'ajoute à cela des lumières vives, presque psychadéliques et du sang dégoulinant qui nous plongent dans une ambiance angoissante et surnaturelle. La musique est excellente et aide beaucoup à l'ambiance, de même que la pluie et l'orage.
Sisi Spacek est extrêmement touchante : son personnage ; véritable figure tragique et meurtris par le monde qui l'entoure ; est un parfait mélange de pitié, de froideur, de sensibilité et de violence. Piper Laurie est effrayante dans son rôle de mère autoritaire et puritaine guidée par la folie, et c'est toujours un plaisir de voir John Travolta au volant d'une voiture.
Tout au long du film, on assiste à une bombe à retardement, qui s'accélère au fur et à mesure de l'histoire. Que ça soit la montée en puissance des pouvoirs de Carrie, la méchanceté de ses camarades, la sénilité de sa mère, tout parvient à son paroxysme dans le final de l'œuvre. J'ai adoré la scène du bal, on y retrouve tout l'art et la maîtrise du suspens de De Palma. Le résultat est haletant, prenant et l'issu plus que tragique et mortelle. Un vrai déchaînement de puissance, de sang, de cris et de lumière. Le film est aussi une allégorie du changement du corps de la femme à l'adolescence : cette idée est encore plus mis en avant avec la fascination qu'éprouve la caméra à filmer le corps de Carrie. Enfin, il nous dresse un portrait glaçant du comportement que peux avoir la société face à ceux qui ne sont pas comme les autres.
Tout d'abord, De Palma nous montre ici toute l'étendue de son talent avec une mise en scène somptueuse et divine : ralentis, traveling, split-screen, gros plans, etc... Le cinéaste donne vie à son univers, s'ajoute à cela des lumières vives, presque psychadéliques et du sang dégoulinant qui nous plongent dans une ambiance angoissante et surnaturelle. La musique est excellente et aide beaucoup à l'ambiance, de même que la pluie et l'orage.
Sisi Spacek est extrêmement touchante : son personnage ; véritable figure tragique et meurtris par le monde qui l'entoure ; est un parfait mélange de pitié, de froideur, de sensibilité et de violence. Piper Laurie est effrayante dans son rôle de mère autoritaire et puritaine guidée par la folie, et c'est toujours un plaisir de voir John Travolta au volant d'une voiture.
Tout au long du film, on assiste à une bombe à retardement, qui s'accélère au fur et à mesure de l'histoire. Que ça soit la montée en puissance des pouvoirs de Carrie, la méchanceté de ses camarades, la sénilité de sa mère, tout parvient à son paroxysme dans le final de l'œuvre. J'ai adoré la scène du bal, on y retrouve tout l'art et la maîtrise du suspens de De Palma. Le résultat est haletant, prenant et l'issu plus que tragique et mortelle. Un vrai déchaînement de puissance, de sang, de cris et de lumière. Le film est aussi une allégorie du changement du corps de la femme à l'adolescence : cette idée est encore plus mis en avant avec la fascination qu'éprouve la caméra à filmer le corps de Carrie. Enfin, il nous dresse un portrait glaçant du comportement que peux avoir la société face à ceux qui ne sont pas comme les autres.
Le personnage principal est un des seul humain présent dans ce film, une mère cinglé, des camarades de classe sadique,
ce qui lui arrive est terrible, elle ne le mérite pas mais heureusement les monstres le payent et deux trois innocents. on ne fait pas d'omelette sans casser d'œuf.
ce qui lui arrive est terrible, elle ne le mérite pas mais heureusement les monstres le payent et deux trois innocents. on ne fait pas d'omelette sans casser d'œuf.
Un classique que je connaissais sans l'avoir vu. Brian de Palma adapte Stephen King en film "camp" mâtiné de romcom et de giallo. Évidemment le film a vieilli, et prête parfois à sourire mais il le fait sciemment sciemment, d'où le génie du réalisateur.
La pauvre Carrie est le bouc émissaire de sa classe, et malgré les bonnes intentions de certains, sa colère sera terrible dans un climax dantesque.
La pauvre Carrie est le bouc émissaire de sa classe, et malgré les bonnes intentions de certains, sa colère sera terrible dans un climax dantesque.
Après un deuxième visionnage, le film est toujours aussi beau. A mi chemin du fantastique et de l'horreur, cette adaptation est un véritable chef d'oeuvre. La performance de Sissy Spacek dans le rôle-titre est absolument incroyable.
Carrie au bal du diable est l'un des meilleurs films de Brian DePalma en fait il est probablement le meilleur film de sa carrière et c'est un classique du genre. Je pense également qu'il s'agit d'un exemple où le film est meilleur que le matériau source le livre écrit par Stephen King. Il comporte de véritables moments chocs et effrayants et d'autres moments troublants comme la crucifixion qui est palpitante et inoubliable et la fin qui me choque encore. Mais il a aussi du cœur car il y a des scènes poignantes notamment parce que la performance de Sissy Spacek est tellement bonne qu'elle brise le cœur. Piper Laurie est également brillante et j'ai apprécié de revoir John Travolta dans un excellent rôle. La mise en scène de DePalma est tendue le scénario l'est tous autant et l'histoire ne perd jamais de son impact ou de son intérêt. D'un point de vue stylistique et visuel Carrie au bal du diable est également un triomphe j'ai adoré la réalisation les décors et les éclairages qui ajoutent à l'atmosphère qui est constamment étonnante. Dans l'ensemble c'est un film vraiment excellent et bien qu'il soit effrayant et choquant il parvient également à être poignant et humain...
Parfait ça monte crescendo avec une fin en apothéose ! Je recommande. Je 'e l'avais jamais vu mais c'est un bon moment surtout quel plaisir de voir le grand Brian de palma en action !
Un film d'horreur qui ne fait pas réellement frissonner. Carrie n'a rien d'horrifiant, bien au contraire, l'on éprouve une certaine sympathie pour ce personnage torturé depuis sa naissance, et une haine envers ceux qui lui font du mal. La situation, et c'est ce qui est génial dans ce film, est inversée par rapport aux films d'horreur classiques. Au lieu d'avoir pitié des victimes du "monstre", ici l'on a pitié du "monstre" et l'on est horrifiée par les actes des victimes.
Ce film est bien mais il manque ce "petit quelque chose". Tout est construit trop simplement, la fin je trouve est décevante. Comment cela peut-il se finir ainsi? Les personnages selon moi ne sont pas assez bien dessinés. C'est comme si l'on ne les voyait qu'en surface. spoiler: L'on comprend vaguement ce qui a pu se passer dans le passé de la mère, certainement un viol qui a dû la rendre folle. Le personnage de la professeur de sport aussi est flou. Peut-être aurait-elle pu s'impliquer d'avantage, faire des recherches, se rendre chez Carrie, la questionner etc... Le joli garçon avec lequel elle se rend au bal et sa petite amie, c'est pareil. Bref beaucoup de personnages mais aucun que l'on arrive à s'approprier, à connaitre, mis à part Carrie même si elle est difficile à saisir par moments.
Sinon à part cela c'est un bon film pour les âmes sensibles qui veulent regarder un film d'horreur sans pour autant avoir peur.
Ce film est bien mais il manque ce "petit quelque chose". Tout est construit trop simplement, la fin je trouve est décevante. Comment cela peut-il se finir ainsi? Les personnages selon moi ne sont pas assez bien dessinés. C'est comme si l'on ne les voyait qu'en surface. spoiler: L'on comprend vaguement ce qui a pu se passer dans le passé de la mère, certainement un viol qui a dû la rendre folle. Le personnage de la professeur de sport aussi est flou. Peut-être aurait-elle pu s'impliquer d'avantage, faire des recherches, se rendre chez Carrie, la questionner etc... Le joli garçon avec lequel elle se rend au bal et sa petite amie, c'est pareil. Bref beaucoup de personnages mais aucun que l'on arrive à s'approprier, à connaitre, mis à part Carrie même si elle est difficile à saisir par moments.
Sinon à part cela c'est un bon film pour les âmes sensibles qui veulent regarder un film d'horreur sans pour autant avoir peur.
Un très bon film. Je suis passé par des émotions fortes : empathie, révolte, colère... Le film n'est pas vraiment effrayant
spoiler:
du coup je me suis laissé piéger par la scène finale et j'ai fait le plus grand bond de ma vie devant un film
! L'ambiance musicale est vraiment réussi, j'ai adoré.
! L'ambiance musicale est vraiment réussi, j'ai adoré.
effet spéciaux qui ont vieillit très très mal au point d'être ridicule aujourd'hui. seulement voilà, les effet spéciaux pourrit ne suffisent pas a mètre un film dans la catégorie pire film. la preuve est là. Le scénario est un tel réussite que son remaster a fini par voir le jour. entre la mère croyante a l'extrême et le harcèlement, il arrive qu'une fille craque et ce n'est pas beau a voir. Ce film a tout d'un grand classique.
Carrie est un incroyable film, il n'est pas similaire aux autres films d'horreur car il n'y a pas de scènes effrayantes. Cependant, io y a cette tension qui plane tout le long du film, une inquiétude, quelque chose de malsain, de mal-aisant ! Ce film est une pépite d'interprétation, une sorte de film hors de toute catégories !
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