Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
Chronic'art.com
par Murielle Joudet
Voilà donc l'Arcadie de Depleschin: des adolescents abandonnés à eux-mêmes, occupés à leurs histoires d'amour et d'amitié, faisant leurs humanités, bien loin des adultes décevants.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une plongée très proustienne dans le moi profond, dans un film brillamment construit comme un puzzle mémoriel et sentimental.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une plongée très proustienne dans le moi profond, dans un film brillamment construit comme un puzzle mémoriel et sentimental.
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
Les films de Desplechin ont l’art d’emporter dialogues et mise en scène, parler et voir, en un même mouvement qui les rend violemment synchrones, indémêlables et entrechoqués.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Clément Ghys
Le cinéaste n’est jamais aussi juste que dans son traitement de l’adolescence. Plutôt que de la décrire, façon documentariste, il la réinvente, offre à ses héros un romanesque que l’on aurait adoré vivre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Le charme de Mathieu Amalric agit toujours, sa complicité avec Arnaud Desplechin est à son zénith.
Positif
par Marc Cerisuelo
Paul Dédalus, exfiltré de "Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle)", n'est ni tout à fait le même ni tout à fait un autre. Enrichi au contact de personnages et de lieux en provenance de "Rois et Reine" ou "Un conte de Noël", l'alter ego du cinéaste offre à ce dernier la matière d'un film à tiroirs mélancolique et enjoué, tragique et solaire.
Transfuge
par François Bégaudeau
Loin de le circonscrire aux périmètres supposés étriqués du cinéma verbeux, la littérature fait de "Trois souvenirs" un voyage immobile qui le porte loin et le fait voler haut.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Desplechin aime les mots et les acteurs auxquels il offre des partitions ciselées. Portée par des comédiens lumineux, son évocation du temps perdu recèle des trésors de sincérité et d'émotions au goût de madeleine.
CNews
par La Rédaction
Brillant dans ses dialogues – bien souvent désopilants – ou lorsqu’il s’agit de composer des portraits de groupe, le réalisateur d’Un conte de Noël excelle à montrer une certaine jeunesse des années 1980 portée par une bande de jeunes acteurs étincelants.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
C’est ainsi que le conte fantastique et la mission initiatique s’insèrent parfaitement dans la mythologie du personnage, dont l’éducation intellectuelle que l’on redoutait, est heureusement balayée au profit de genres et d’intrigues sans impuretés.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Un film énervé et énervant, romanesque et romantique, plein de panache et cocardier, fier et sincère.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Express
par Christophe Carrière
N'étaient quelques afféteries de mise en scène et une emprise truffaldienne surlignée, ce serait parfait. Sauf que ça ne l'est pas. C'est juste très bien.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le cinéaste a éliminé certaines coquetteries pour livrer avec ces "Trois souvenirs..." son meilleur film, dont la profondeur touche par moments une forme de grandeur.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Narrés avec une certaine distance, un ton décalé, souvent beaucoup de drôlerie, mais aussi un certain sens du lyrique et du tragique, ces "Souvenirs"... sont portés avec brio par Quentin Dolmaire, répéré au Cours Simon, et Lou Roy-Lecollinet, tout droit venue - ou presque - de sa classe de terminale option théâtre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La mise en scène de Desplechin est au diapason. Le cinéaste est un virtuose discret (...) "Trois souvenirs de jeunesse" (lesquels précisément, d'ailleurs ?) à jamais perdu dans les méandres de la mémoire et, pourtant, fixé dans le temps du cinéma. Une merveille.
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Une composition du récit très ouvragée, mais son articulation est assez floue, et donne au film un déséquilibre certain, un caractère hésitant, à la recherche de son lieu.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Arnaud Desplechin réussit une plongée aussi maîtrisée que revigorante dans son propre univers. (...). Ici, sous forme de fiction très écrite, cet insaisissable récit fricote aussi bien avec l'espionnage qu'avec la chronique adolescente.
Première
par Gaël Golhen
Ce que dit Desplechin, c’est que son alter ego est "Personne" ; et qu’il doit entendre sa propre histoire de la bouche d’un autre pour reconquérir son identité, comme le cinéaste doit emprunter à des genres (...) pour créer son film. C’est ce doute existentiel, cette idée moderne de la reconquête qui, dans un geste d’amour-haine, lui fait réécrire l’histoire de sa famille et de la civilisation.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Présenté à Cannes à la Quinzaine des réalisateurs, ce prequel de "Comment je me suis disputé...(ma vie sexuelle)", sorti en 1996, a de l'ambition.
Voici
par La Rédaction
Le réalisateur de "Comment je me suis disputé (ma vie sexuelle)" retrouve son Antoine Doisnel à lui, Paul Dedalus, pour une épopée existentielle, intellectuelle et (un peu trop) foisonnante dans sa jeunesse.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Finalement, on aurait tendance à préférer l’aspect espionnite aiguë à la romance adolescente entre Paul et Esther qui envahit l’essentiel du film. En soi, elle est belle et lancinante, mais extrêmement littéraire. Le jeune héros se regarde aimer. On préfère le Desplechin feuilletoniste au Desplechin romancier. Question de goût.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Chronic'art.com
Voilà donc l'Arcadie de Depleschin: des adolescents abandonnés à eux-mêmes, occupés à leurs histoires d'amour et d'amitié, faisant leurs humanités, bien loin des adultes décevants.
Le Dauphiné Libéré
Une plongée très proustienne dans le moi profond, dans un film brillamment construit comme un puzzle mémoriel et sentimental.
Le Dauphiné Libéré
Une plongée très proustienne dans le moi profond, dans un film brillamment construit comme un puzzle mémoriel et sentimental.
Les Inrockuptibles
Les films de Desplechin ont l’art d’emporter dialogues et mise en scène, parler et voir, en un même mouvement qui les rend violemment synchrones, indémêlables et entrechoqués.
Libération
Le cinéaste n’est jamais aussi juste que dans son traitement de l’adolescence. Plutôt que de la décrire, façon documentariste, il la réinvente, offre à ses héros un romanesque que l’on aurait adoré vivre.
Marianne
Le charme de Mathieu Amalric agit toujours, sa complicité avec Arnaud Desplechin est à son zénith.
Positif
Paul Dédalus, exfiltré de "Comment je me suis disputé... (ma vie sexuelle)", n'est ni tout à fait le même ni tout à fait un autre. Enrichi au contact de personnages et de lieux en provenance de "Rois et Reine" ou "Un conte de Noël", l'alter ego du cinéaste offre à ce dernier la matière d'un film à tiroirs mélancolique et enjoué, tragique et solaire.
Transfuge
Loin de le circonscrire aux périmètres supposés étriqués du cinéma verbeux, la littérature fait de "Trois souvenirs" un voyage immobile qui le porte loin et le fait voler haut.
Télé 7 Jours
Desplechin aime les mots et les acteurs auxquels il offre des partitions ciselées. Portée par des comédiens lumineux, son évocation du temps perdu recèle des trésors de sincérité et d'émotions au goût de madeleine.
CNews
Brillant dans ses dialogues – bien souvent désopilants – ou lorsqu’il s’agit de composer des portraits de groupe, le réalisateur d’Un conte de Noël excelle à montrer une certaine jeunesse des années 1980 portée par une bande de jeunes acteurs étincelants.
Critikat.com
C’est ainsi que le conte fantastique et la mission initiatique s’insèrent parfaitement dans la mythologie du personnage, dont l’éducation intellectuelle que l’on redoutait, est heureusement balayée au profit de genres et d’intrigues sans impuretés.
Ecran Large
Un film énervé et énervant, romanesque et romantique, plein de panache et cocardier, fier et sincère.
L'Express
N'étaient quelques afféteries de mise en scène et une emprise truffaldienne surlignée, ce serait parfait. Sauf que ça ne l'est pas. C'est juste très bien.
L'Obs
Le cinéaste a éliminé certaines coquetteries pour livrer avec ces "Trois souvenirs..." son meilleur film, dont la profondeur touche par moments une forme de grandeur.
La Croix
Narrés avec une certaine distance, un ton décalé, souvent beaucoup de drôlerie, mais aussi un certain sens du lyrique et du tragique, ces "Souvenirs"... sont portés avec brio par Quentin Dolmaire, répéré au Cours Simon, et Lou Roy-Lecollinet, tout droit venue - ou presque - de sa classe de terminale option théâtre.
Studio Ciné Live
La mise en scène de Desplechin est au diapason. Le cinéaste est un virtuose discret (...) "Trois souvenirs de jeunesse" (lesquels précisément, d'ailleurs ?) à jamais perdu dans les méandres de la mémoire et, pourtant, fixé dans le temps du cinéma. Une merveille.
Cahiers du Cinéma
Une composition du récit très ouvragée, mais son articulation est assez floue, et donne au film un déséquilibre certain, un caractère hésitant, à la recherche de son lieu.
Le Journal du Dimanche
Arnaud Desplechin réussit une plongée aussi maîtrisée que revigorante dans son propre univers. (...). Ici, sous forme de fiction très écrite, cet insaisissable récit fricote aussi bien avec l'espionnage qu'avec la chronique adolescente.
Première
Ce que dit Desplechin, c’est que son alter ego est "Personne" ; et qu’il doit entendre sa propre histoire de la bouche d’un autre pour reconquérir son identité, comme le cinéaste doit emprunter à des genres (...) pour créer son film. C’est ce doute existentiel, cette idée moderne de la reconquête qui, dans un geste d’amour-haine, lui fait réécrire l’histoire de sa famille et de la civilisation.
Télé 2 semaines
Présenté à Cannes à la Quinzaine des réalisateurs, ce prequel de "Comment je me suis disputé...(ma vie sexuelle)", sorti en 1996, a de l'ambition.
Voici
Le réalisateur de "Comment je me suis disputé (ma vie sexuelle)" retrouve son Antoine Doisnel à lui, Paul Dedalus, pour une épopée existentielle, intellectuelle et (un peu trop) foisonnante dans sa jeunesse.
L'Humanité
Finalement, on aurait tendance à préférer l’aspect espionnite aiguë à la romance adolescente entre Paul et Esther qui envahit l’essentiel du film. En soi, elle est belle et lancinante, mais extrêmement littéraire. Le jeune héros se regarde aimer. On préfère le Desplechin feuilletoniste au Desplechin romancier. Question de goût.