Le Bois dont les rêves sont faits : Critique presse
Le Bois dont les rêves sont faits
Note moyenne
3,8
15 titres de presse
Cahiers du Cinéma
Bande à part
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
Ouest France
Positif
Studio Ciné Live
Transfuge
Télérama
La Croix
Première
Critikat.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
Au-delà de la grande émotion provoquée par le film, par la générosité manifeste de son auteur, c’est cette possibilité de rencontres qu’il faut retenir du Bois, cette réelle diversité qui dépasse les cases dures de la réalité – le riche, le pauvre, le Blanc, l’Arabe, l’hétéro, l’homo.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Un art subtil de l’échange comme entrée dans chacun de leurs territoires. Comme si Alice nous donnait la main pour pénétrer son univers.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
À deux pas de la ville, les normes sociales perdent leur côté apprêté et leur carcan moral. Et Claire Simon, fouillant (longuement) la profondeur des sous-bois, y fait surgir la profondeur de l’être.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Bien rythmé, semé de visions impressionnistes et de rencontres avec des "usagers" très différents, ce documentaire captive au fil d’images et d’entretiens remarquables. De quoi délivrer une salutaire méditation sur la condition urbaine et ses paradis perdus.
Le Monde
par Thomas Sotinel
(Un) film étonnant, où l'étrangeté et la familiarité cohabitent si harmonieusement (...).
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Avec cette plongée spatiale et temporelle dans le bois de Vincennes, Claire Simon nous dévoile tout un monde bruissant et secret, concret et rêveur, à portée de pass Navigo. Aller dans le bois et peut-être à l’aventure, c’est aussi simple qu’un, deux, trois.
Libération
par Anne Diatkine
Un documentaire structuré par la matière même de l’espace, ses creux et ses pleins, sa lumière et ses jeux d’ombre, les saisons et surtout l’ensemble des bruits de la forêt.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un documentaire poétique, émouvant et passionné.
Positif
par Vincent Thabourey
Si proche des lumières de la ville, l'obscurité du Bois de Vincennes reste une formidable réserve d'imaginaire, une terre d'asiles pour les rêveurs du monde entier.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un fascinant moment de cinéma.
Transfuge
par Ilan Malka
Si sa durée est considérable (2 h 24), ce documentaire, avec sa douceur mystique et parfois sa crudité, laisse au spectateur la liberté de vagabonder, partir dans ses pensées et revenir à la conversation, la laisser raisonner dans sa tête, puis la reprendre en chemin.
Télérama
par Frédéric Strauss
Filmer cette symbiose est un exercice délicat. Claire Simon y excelle.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Il résulte de cette longue déambulation aux mille facettes un sentiment persistant de solitude, derrière la foule et les sourires. (...) La cinéaste, hélas, n’évite pas toujours l’écueil de la complaisance. Et c’est dommage.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Première
par Bernard Achour
C’est parfois cocasse et émouvant, mais la durée déraisonnable du traitement et la dimension aléatoire du procédé ne mobilisent qu’un intérêt ponctuel, parfois proche de l’ennui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
(...) la légèreté du dispositif prend ici parfois des airs d’équivalence d’une histoire à une autre, voire parfois d’échantillonnage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Au-delà de la grande émotion provoquée par le film, par la générosité manifeste de son auteur, c’est cette possibilité de rencontres qu’il faut retenir du Bois, cette réelle diversité qui dépasse les cases dures de la réalité – le riche, le pauvre, le Blanc, l’Arabe, l’hétéro, l’homo.
Bande à part
Un art subtil de l’échange comme entrée dans chacun de leurs territoires. Comme si Alice nous donnait la main pour pénétrer son univers.
Le Dauphiné Libéré
À deux pas de la ville, les normes sociales perdent leur côté apprêté et leur carcan moral. Et Claire Simon, fouillant (longuement) la profondeur des sous-bois, y fait surgir la profondeur de l’être.
Le Journal du Dimanche
Bien rythmé, semé de visions impressionnistes et de rencontres avec des "usagers" très différents, ce documentaire captive au fil d’images et d’entretiens remarquables. De quoi délivrer une salutaire méditation sur la condition urbaine et ses paradis perdus.
Le Monde
(Un) film étonnant, où l'étrangeté et la familiarité cohabitent si harmonieusement (...).
Les Inrockuptibles
Avec cette plongée spatiale et temporelle dans le bois de Vincennes, Claire Simon nous dévoile tout un monde bruissant et secret, concret et rêveur, à portée de pass Navigo. Aller dans le bois et peut-être à l’aventure, c’est aussi simple qu’un, deux, trois.
Libération
Un documentaire structuré par la matière même de l’espace, ses creux et ses pleins, sa lumière et ses jeux d’ombre, les saisons et surtout l’ensemble des bruits de la forêt.
Ouest France
Un documentaire poétique, émouvant et passionné.
Positif
Si proche des lumières de la ville, l'obscurité du Bois de Vincennes reste une formidable réserve d'imaginaire, une terre d'asiles pour les rêveurs du monde entier.
Studio Ciné Live
Un fascinant moment de cinéma.
Transfuge
Si sa durée est considérable (2 h 24), ce documentaire, avec sa douceur mystique et parfois sa crudité, laisse au spectateur la liberté de vagabonder, partir dans ses pensées et revenir à la conversation, la laisser raisonner dans sa tête, puis la reprendre en chemin.
Télérama
Filmer cette symbiose est un exercice délicat. Claire Simon y excelle.
La Croix
Il résulte de cette longue déambulation aux mille facettes un sentiment persistant de solitude, derrière la foule et les sourires. (...) La cinéaste, hélas, n’évite pas toujours l’écueil de la complaisance. Et c’est dommage.
Première
C’est parfois cocasse et émouvant, mais la durée déraisonnable du traitement et la dimension aléatoire du procédé ne mobilisent qu’un intérêt ponctuel, parfois proche de l’ennui.
Critikat.com
(...) la légèreté du dispositif prend ici parfois des airs d’équivalence d’une histoire à une autre, voire parfois d’échantillonnage.