Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Quentin Le Goff
Dans sa cartographie des révoltes dispersées, Teguia tisse des ponts et fait l’hypothèse exaltée de liens entre les contestations arabes et européennes dans un nouvel espace méditerranéen.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Régnier
(...) Ce film palimpseste, sorte d’"A Bout de souffle" des années 2010, saisit à la volée les signes de notre présent, protéiforme et mondialisé, qu’il réinjecte dans un splendide collage de matières hétérogènes hanté par les fantômes de l’histoire, et du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
"Révolution Zendj" est un film poétique, sensoriel, d'une esthétique toujours inspirée et stimulante, toujours en mouvement, jamais figée, un film sur la permanence de l'idée révolutionnaire hier et aujourd'hui, ici et ailleurs.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Dilater les lieux , redéployer l'espace: telle est, grâce au concours d'un découpage tendu, d'un chromatisme satué et d'un texte bruissant, l'opération d'un cinéma de Teguia. Telle est sa beauté: utopique, magique, incantatoire.
Chronic'art.com
par Jérôme Momcilovic
Tenu par un sens plastique parfois éblouissant, le film impressionne vraiment par sa capacité à traverser d'un seul mouvement le paysage sans pays où déambule son récit.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
On pense à Godard (cité clairement dans le film) pour le jeu entre les divers registres, sonores, visuels, et politiques. Un essai vivant nourri par un patchwork inspiré d’images, de sons, de climats et de paysages.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Libération
par Didier Péron
Aussi bien l’image - multipliant les décadrages, les contre-jours et les reflets - que le son - superposant lambeaux de phrases, musiques et bruits d’ambiance - composent le style entrechoqué propre à Teguia, cette manière d’ajouter des éléments par notations instantanées.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
"Révolution Zendj" est moins le grand film politique espéré qu’une errance hébétée, accusant en silence les coups de l’histoire qui pleuvent hors champ tout en continuant d’avancer vers une zone de moins en moins définie, en quête d’une flamme fantôme.
Première
par Damien Leblanc
S’appuyant sur des dialogues répétitifs (il est beaucoup question de fantômes) qui surlignent le sens à donner aux images, "Révolution Zendj" sait pourtant regarder l’avenir avec rage et détermination.
Télérama
par Pierre Murat
Tariq Teguia filme en plans extrêmement travaillés, lents et beaux, qui provoquent à la fois la réflexion et l'émotion. Si Jean-Luc Godard n'est pas loin, mais pas le meilleur Godard, hélas, c'est dans les pas de Michelangelo Antonioni que marche le cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
Dans sa cartographie des révoltes dispersées, Teguia tisse des ponts et fait l’hypothèse exaltée de liens entre les contestations arabes et européennes dans un nouvel espace méditerranéen.
Le Monde
(...) Ce film palimpseste, sorte d’"A Bout de souffle" des années 2010, saisit à la volée les signes de notre présent, protéiforme et mondialisé, qu’il réinjecte dans un splendide collage de matières hétérogènes hanté par les fantômes de l’histoire, et du cinéma.
Les Inrockuptibles
"Révolution Zendj" est un film poétique, sensoriel, d'une esthétique toujours inspirée et stimulante, toujours en mouvement, jamais figée, un film sur la permanence de l'idée révolutionnaire hier et aujourd'hui, ici et ailleurs.
Positif
Dilater les lieux , redéployer l'espace: telle est, grâce au concours d'un découpage tendu, d'un chromatisme satué et d'un texte bruissant, l'opération d'un cinéma de Teguia. Telle est sa beauté: utopique, magique, incantatoire.
Chronic'art.com
Tenu par un sens plastique parfois éblouissant, le film impressionne vraiment par sa capacité à traverser d'un seul mouvement le paysage sans pays où déambule son récit.
L'Humanité
On pense à Godard (cité clairement dans le film) pour le jeu entre les divers registres, sonores, visuels, et politiques. Un essai vivant nourri par un patchwork inspiré d’images, de sons, de climats et de paysages.
Libération
Aussi bien l’image - multipliant les décadrages, les contre-jours et les reflets - que le son - superposant lambeaux de phrases, musiques et bruits d’ambiance - composent le style entrechoqué propre à Teguia, cette manière d’ajouter des éléments par notations instantanées.
Cahiers du Cinéma
"Révolution Zendj" est moins le grand film politique espéré qu’une errance hébétée, accusant en silence les coups de l’histoire qui pleuvent hors champ tout en continuant d’avancer vers une zone de moins en moins définie, en quête d’une flamme fantôme.
Première
S’appuyant sur des dialogues répétitifs (il est beaucoup question de fantômes) qui surlignent le sens à donner aux images, "Révolution Zendj" sait pourtant regarder l’avenir avec rage et détermination.
Télérama
Tariq Teguia filme en plans extrêmement travaillés, lents et beaux, qui provoquent à la fois la réflexion et l'émotion. Si Jean-Luc Godard n'est pas loin, mais pas le meilleur Godard, hélas, c'est dans les pas de Michelangelo Antonioni que marche le cinéaste.