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    Les Cowboys
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    3,6
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    selenie
    selenie

    6 408 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 novembre 2015
    Premier long métrage en tant que réalisateur pour Thomas Bidegain, à l'origine scénariste qui s'est fait un nom surtout en travaillant pour Jacques Audiard. Malheureusement le scénario prend des chemins de traverse casse-gueule et plusieurs choix narratifs créent des incohérences trop nombreuses. Les dernières 20 minutes frôlent simplement la bêtise, complètement invraisemblables pour des questions de géo-politiques et administratives d'abord, et en contradiction avec les lois patriarcales en radicalistes ensuite. Au vu du potentiel et de la présence de Thomas Bidegain aux commandes ce film reste une réelle déception.
    vincentasc
    vincentasc

    34 abonnés 148 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 novembre 2015
    Je suis le 1er à critiquer le manque d'ambition du cinéma français actuel plus prompt à se contempler le nombril qu'à aborder des sujets important. Je suis d'autant plus heureux d'écrire tout le bien que je pense des ces Cowboys. C'est un film maitrisé de bout en bout. Le scénario est plus riche que tous les scénarios mis bout à bout depuis la rentrée de septembre. On y voit une histoire qui n'est pas sans ressembler à "La prisonnière du désert" de John Ford. Même figurée paternelle. Même volonté d'aller à l'essentiel sans sacrifier les personnages. La mise en scène toute en retenue fait la part belle aux sentiments et a l'extraordinaire justesse des comédiens. Un film à ne pas manquer.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 novembre 2015
    Un François Damiens époustouflant. A VOIR ABSOLUMENT. Un film sur la tolérance qui ne fais pas de mal en ce moment .
    ffred
    ffred

    1 745 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 novembre 2015
    Les Cowboys est le premier film de Thomas Bidegain (scénariste, entre autres, de Jacques Audiard), très remarqué à Cannes cette année. Il faut dire que le sujet est en plein dans l'actualité (une jeune fille de seize ans se radicalise et coupe les ponts avec sa famille). A partir des années 90, par ellipses successives, on assiste à l'agonie et à la survie de cette famille, ponctuées par les grands attentats terroristes depuis le 11 septembre. C'est fait avec beaucoup de justesse et d'humanité. La mise en scène est brillante, parfaitement maitrisée, mêlant habillement thriller et drame familial. Elle est alliée à un scénario parfaitement écrit, qui privilégie l'émotion sans être jamais ni pathos, ni moralisateur. Le tout traversé par un bel élan et une tension qui jamais ne retombe. D'entrée, on s'attache aux personnages et à leur quête même si on sait qu'elle sera un peu vaine. Ils y laisseront forcement des plumes mais cela nous amènent aussi vers un dénouement absolument magnifique. L'interprétation est la cerise sur le gâteau. François Damiens n'a jamais été aussi convaincant. Il trouve là son meilleur rôle. Il est parfaitement secondé par Finnegan Oldfield (Ni la terre ni le ciel), présélectionné pour le César 2016 de la révélation masculine pour son rôle. On notera aussi l'étonnante présence de l'excellent John C.Reilly. Ajouté à tout cela une superbe photo et la musique de Raphaël et l'on obtient un film poignant et bouleversant, l'un des tous meilleurs qui marquera cette année cinéma. Un coup de cœur pour cette très belle réussite.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    112 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2015
    Avec sensibilité et un sens aigu de la dramaturgie – sans tomber dans le « film de scénariste », Thomas Bidegain offre un premier film d’une beauté confondante, toujours surprenant, jusque dans sa délicate séquence finale. La photo somptueuse d’Arnaud Potier et la musique de Raphaël enveloppent Les cowboys d’une douceur inattendue. Une belle surprise et un des meilleurs premiers films français de l’année.

    LA SUITE :
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Ne vous y trompez pas, Les Cowboys n’est pas un western à l’ancienne. Sauf à considèrer que le grand François Damiens ressemble (de dos) à John Wayne. Mais pas de Smith & Wesson, ni de canasson à l’horizon.
    Après Dheepan, Un prophète et autres perles coscénarisées avec Jacques Audiard, Thomas Bidegain passe donc enfin à la réalisation avec un premier film sobre mais rempli de richesses entre drame familial, docufiction et thriller.
    Des scènes de rodéo dans une ambiance bonne enfant contry folk aux paysages grandioses du Pakistan, Thomas Bidegain fait grimper le suspense avec une photographie digne des meilleurs westerns. Les Cowboys traite ainsi en douceur d’un sujet explosif : la montée de l’islamisme radical sur le territoire hexagonal. Malgré la musique (trop) mélodramatique de Raphaël, on s’incline devant la pudeur de la mise en scène, loin d’être anxiogène. Et on s’attache d’autant plus au combat personnel des ces deux cowboys mutiques des temps modernes.
    A la lumière des derniers évènements survenus en France et à l’étranger, ce film d’aventure original et terriblement réaliste risque de résonner longtemps dans nos esprits.
    ninilechat
    ninilechat

    76 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Youpee, décidemment, le cinoche français se porte bien en ce moment! Je n'en ai jamais vu autant, parole!

    Thomas Bidegain a transposé le sublime film de John Ford dans notre monde moderne? Oui et non. C'est, d'une certaine façon, le négatif exact de La prisonnière du désert; Kelly choisit de fuir sa famille pour suivre librement son "indien". Quant à la fin des Cowboys, elle peut paraître surprenante mais, en fait, c'est la seule possible.

    Le petit monde des amateurs de country. Ils se déguisent en cow boys et dansent au son d'un orchestre folk sur Tennessee waltz.... On y va en famille. C'est joyeux et bon enfant. Et personne ne remarque que Kelly a l'air un peu ailleurs, un peu absent. A la fin de la fête: elle a disparu. Ses parents apprennent le lendemain, en vrac, que depuis quelque temps elle tournait le dos à ses copines, qu'elle avait un petit ami nommé Ahmed -et, en se rendant chez les parents de celui ci ils apprennent qu'Ahmed a également disparu.

    A partir de là, c'est la quête folle d'un père, de France en Belgique dans les quartiers les plus glauques et jusqu'au Yémen, donnant de l'argent à des indicateurs véreux, brisant son mariage, se ruinant, c'est l'histoire d'une idée fixe, c'est la saga de tous ceux qui poursuivent un but sans même plus savoir lequel et pourquoi, c'est Moby Dick. François Damiens est formidable. Cet homme blessé mais aussi impulsif, brutal, colérique, incapable de coopérer avec la police n'est pas vraiment sympathique -mais il est grandiose!

    Plus grave, il a contaminé son jeune fils, Kid, (Finnegan Oldfield), qu'il emmène souvent avec lui dans ses virées, en en faisant un jeune homme solitaire, peu sociable -et qui à la mort du père va reprendre cette traque insensée, qui le conduira avec une ONG jusqu'au Pakistan dans les zones tribales. Ou il fera équipe avec un vieil affairiste et aventurier américain (John C. Reilly). Tout cela compose la deuxième partie -et la plus longue- du film. Un poil abracadabrantesques, là encore, ces tribulations? Certes. Mais on les suit comme un western....

    Sacré beau sujet, non? Je vous le dit, le cinéma français revit. Alleluia!!

    Vous me direz: mais, y a les Larrieu qui viennent aussi de sortir leur dernier film? On oublie, on oublie!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Un film poignant, intense emotionnellement qui retrace bien ce que vit une famille suite au choix de vie de l'un de ses membres.
    Jorik V
    Jorik V

    1 285 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Le film de Thomas Bidegain trouve un écho particulièrement fort avec l’actualité récente faite d’attentats et d’État islamique. « Les Cowboys » ne traite pas frontalement de ces sujets mais parle d’un de ses dérivés, tout aussi brûlant : la conversion de jeunes français(es) au djihad. Le film s’est tout de même frayé un chemin dans nos salles alors que le distributeur de « Made in France » (qui parlait clairement d’attentats à Paris) a préféré reporté la sortie de son film. Dans les deux cas c’est compréhensible : personne n’aurait eu envie de voir au cinéma ce que les infos rabâchent à longueur de journée pour « Made in France » tandis que la quête d’une famille pour retrouver l’une des leurs visiblement convertie à la cause islamique semblait plus nécessaire et moins malvenue.
    Le film est assez réussi et l’aurait été encore plus si un segment au Pakistan dans la seconde partie ne venait quelque peu noircir le tableau. En effet, cette partie semble un peu moins maîtrisée et trop opaque au point de décrocher quelque peu. On a du mal à en cerner véritablement les tenants et les aboutissants, notamment en ce qui concerne le personnage incarné par l’américain John C. Reilly. Heureusement le dernier quart du film, beau et porteur d’espoir, réhausse le niveau et parvient à effacer plus ou moins ce bémol. Mais il faut louer les interprétations de la révélation Finnegan Oldfield, nouveau venu impressionnant de retenue, et de François Damiens. Ce dernier prouve une nouvelle fois après « Suzanne » qu’il est capable d’autre chose que de faire rire, et qu’il sait être particulièrement bon dans le registre dramatique.
    Le fait de débuter l’action du film dans les années 90 et de la prolonger sur une période de dix ans est un bon point. Les ellipses sont parfaitement gérées et cela montre que ce genre de drame peut détruire une famille sur des années. Mais cela montre également que le problème de la conversion au djihad islamique n’est pas nouveau. Et les faits récents résonnent encore plus dans nos esprits en mettant en exergue un problème présent depuis des années qui n’a pas su être pris assez en considération. La quête de ce père de famille pour retrouver sa fille pourrait devenir celle de beaucoup de nos concitoyens. « Les Cowboys » stigmatise cet état de fait dans un thriller sombre et triste, aussi émouvant que crispant, où les Al-Qaïda d’hier sont les Daesh d’aujourd’hui. Un film nécessaire qui prend une tournure particulièrement amère avec le contexte actuel.
    traversay1
    traversay1

    3 686 abonnés 4 890 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Quand le scénariste des derniers Jacques Audiard passe pour la première fois derrière la caméra, il est évidemment attendu au tournant des comparaisons. De ce point de vue, Les cowboys surprend et plutôt agréablement avec un sujet horriblement casse gueule que Thomas Bidegain traite à sa manière sans rien devoir à maître Jacques. Un thème à connotations politiques et qui résonne d'autant plus avec l'actualité tragique de ce mois de novembre. Cependant, le film est avant tout la quête d'un père et d'un frère pour retrouver la trace d'une jeune fille disparue sans prévenir. La psychologie tient peu de place dans Les cowboys et l'histoire est bousculée par des ellipses vraiment gonflées mais qui fonctionnent. Ce western romanesque aux grandes ambitions, de l'ordre de l'intime plutôt que du géopolitique, même si on peut y voir une allégorie sur un occident complètement déboussolé, n'a pas le souffle ni la puissance des films d'Audiard, bien entendu, et le scénariste semble souvent prendre le pas sur le metteur en scène. Il n'empêche. Rien que la direction d'acteurs avec un François Damiens saisissant et un Finnegan Oldfield épatant montre les capacités de ce "débutant" à la réalisation même si les rôles féminins sont un peu sacrifiés. Une première oeuvre est rarement parfaite : Les cowboys, malgré quelques faiblesses, est en tous cas mieux qu'un simple coup d'essai.
    jaggg
    jaggg

    23 abonnés 197 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Pourquoi « cowboys » ? A cause de la trame western : danse et musique country, Stetson et santiags, chevaux comme mode de locomotion dans des paysages grandioses, calumet entre hommes. Ici aussi, il est question de traque, mais c’est une traque d’amour et d’espoir. Film magnifique, interprété par d’excellents acteurs, tout en sobriété, en finesse, en émotion, en silences, en regards et en non-dits. Pas de parti-pris, personne n’est pointé du doigt. Les attentats de New York, de Madrid et de Londres apparaissent à la télé pendant quelques secondes, pour nous donner des repères dans le temps, le temps passé à cette recherche obsessionnelle. Le sujet explosif nous touche particulièrement, totalement d’actualité dans notre contexte bouleversé et bouleversant. Bravo à Thomas Bidegain, à François Damien et à Finnegan Oldfield.
    totor22
    totor22

    8 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 novembre 2015
    Un pur chef-d'oeuvre. C'est d'une beauté et très bouleversant. J'étais ému tout le long du film. Les acteurs sont excellents plus particulièrement François Damiens qui est encore super dans un drame. Ce film est pour moi un des meilleurs films de cette fin d'année.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 26 novembre 2015
    Il est peut-être difficile d'apprécier le film après les événements qui viennent de meurtrir la France. Car avec lui, on a l'impression de remonter à la naissance d'un mouvement dont les protagonistes n'ont pas les moyens d'imaginer l'ampleur qu'il va prendre, au moment où se passe l'action. Ils sont donc enfermés dans les mailles d'une histoire, certes terrible pour une famille ( la jeune fille de la maison, Kelly, disparait subitement pour suivre son petit ami musulman en adoptant son mode de vie et sans explications pour ses parents), mais une histoire en quelque sorte déjà dépassée par l'intensité de l'horreur qui frappe aujourd'hui des parents qui découvrent avec stupeur le départ de leur enfant et leur engagement dans le terrorisme. Mais c'est peut-être aussi la force du film, de rester la tragédie personnelle d'un père brisé (magnifiquement joué par François Damien malgré la brièveté de sa prestation)) et d'un fils ( le jeune Oldfield, extraordinaire acteur) qui par amour du père, reprendra et achèvera sa quête. Deux mondes qui s'ignoraient se rencontrent donc, sans pouvoir faire un pas l'un vers l'autre, en ennemis déclarés comme les cow-boys et les indiens en leur temps, avec cette fille ressentie comme volée à son clan d'origine.D'où cette obsession mutique et butée du père qui veut bien tout perdre plutôt que s'avouer vaincu, qui va jusqu'à sacrifier la jeunesse et la liberté de son fils au nom d'un devoir sur lequel il ne s'explique même pas. Seule la mère semble admettre cette rencontre et accepter le choix de sa fille, si douloureux soit-il: elle montre au père du jeune musulman la photo de l'enfant que sa fille a eu de lui, elle recueille avec tendresse la jeune musulmane que son fils sauve et ramène du Pakistan où elle risque d'être exécutée par sa faute. La fin, que l'on attend bien sûr tout au long du film (retrouvera t'on finalement Kelly? qu'est-elle devenue pendant tout ce temps?), est énigmatique, pour signer peut-être cette incompréhension monumentale, cette fracture qui s'installe dans le monde à ce moment et va engendrer les misères et les désespoirs que l'on sait.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    194 abonnés 687 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 novembre 2015
    Après s'être fait une très belle réputation de scénariste grâce, entre autre, aux trois derniers films d'Audiard, Thomas Bidegain passe derrière la caméra. Et on peut dire que c'est un essai plus que transformé. Il nous embarque dans les péripéties de cette famille qui essaie de retrouver sa fille partie avec son petit-ami et convertie à l'Islam. Le scénario signé Noé Debré, déjà scénariste de "Deephan", est vraiment haletant, fort en rebondissements inattendus, avec des personnages bien écrits pour qui l’empathie née sans hésitation et riche en émotions. Pas une minute on s'ennuie. les repères historiques liés à l'histoire pourraient paraître clichés mais ils sont tellement bien amenés qu'ils deviennent évidents sans être attendus. On ne peut pas s’empêcher de faire référence à Audiard pour la réalisation mais Bidegain apporte sa touche. Empruntant les codes du western avec justesse, la réalisation est très soignée, maîtrisée et ne part pas dans le réalisme poétique comme peut le faire Audiard. On reste encré dans la réalité du début à la fin. François Damiens, pris à contre-emploi, est vraiment touchant et émouvant. Finnegan Oldfield est une véritable révélation. Que de chemin parcourus depuis sa participation au court-métrage "Ce n’est pas un film de cow-boys". Les seules petites fausses notes que l'ont peut trouver sont des petites erreurs de montage au début du film et la bande originale qui fait penser à celle de "Prométheus" sur les toutes premières notes. Mais là, c'est vraiment du chipotage car les film est excellent. Que cela fait du bien de voir un film français original et maîtrisé. Thomas et Noé, on attend le prochain avec impatience.
    framboise32
    framboise32

    158 abonnés 1 290 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2015
    Le réalisateur est un fan de western. Ici il fait un parallèle entre les cowboys et les indiens, Alain et ceux qu’il va rencontrer pour trouver sa fille. L’esthétisme du film, les figures masculines lors des discussions ou transactions, le « calumet » que l’on fume ensemble, les déplacements à cheval, les grandes plaines, et bien entendu les fans de country… Kelly est vue comme une prisonnière aux yeux de son père. Le sujet est explosif mais le scénariste/réalisateur n’en fait pas un film politique. D’ailleurs ce film a été écrit avant les attentats de 2015. Les décors sont magnifiques en France et à l’étranger.
    Côte casting, François Damiens, habitué aux rôles plus légers, est convaincant. L’acteur a perdu 10 kgs. Il a la tête rasée, le visage dur. Mais celui que l’on remarque est le jeune acteur Finnegan Oldfield. Finnegan Oldfield a un regard captivant.
    Les Cowboys est un premier film ambitieux, trop peut être. Plutôt convaincue malgré un côté « éparpillé » et un petit temps mort au milieu due à une cassure dans le film. De ce fait on lâche un peu.
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