Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Filmé au Texas où les grossesses adolescentes sont extrêment fréquentes, "Layla in the Sky" n’a rien d’un pensum ou d’un film démoralisant. Il s’agit du portrait d’une très jeune femme apprenant à faire face dans l’adversité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Isabelle Danel
On a vu mille films sur ce sujet, et ce qui fait la différence ici, bien sûr, c’est la mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par Jérôme Garcin
L’intrigue décline, sur fond de folk, toutes les étapes, certaines cruelles, du chemin de traverse où Layla s’érafle, s’abîme, souffre et résiste. Elle est incarnée par une stupéfiante et bouleversante inconnue, Devon Keller, sans laquelle ce film très bien photographié n’eût été qu’une chronique triste et banale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Micah Magee livre le portrait plein d’empathie et de délicatesse d’une adolescente tombant enceinte à la fin du lycée dans son Texas natal.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Sur un sujet grave et d'actualité, un film écrit comme une balade et porté par une actrice épatante.
Libération
par Julien Gester
(...) Layla se laisse porter par toutes ces choses graves et légères sans se laisser atteindre. Et le film de l’accompagner amoureusement sur un même mode, appliqué dans son indolente flânerie au fil de l’eau, quitte, dès lors, à ne jamais dévier du milieu de la route toute tracée.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Ariane Allard
C'est dire si ce petit film fragile et lacunaire brille, finalement, de mille promesses.
Transfuge
par Sidy Sakho
C'est le sobre portrait d'une femme en devenir qui nous est offert dans ce film fluide et incarné, assez proche dans l'atmosphère des tout premiers Kelly Reichardt.
aVoir-aLire.com
par François Bonini
Un premier film entêtant et fort, portrait réussi d’une héroïne fascinante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un sujet pas spécialement nouveau, un film qui échappe à la convention du cliché par le charme un peu mélancolique qu’il distille.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Tant sur le fond que sur la forme, rien de surprenant dans ce premier film à la fois réaliste et contemplatif (...). En revanche, s’en dégagent pudeur et délicatesse, la réalisatrice maintenant une juste distance compassionnelle avec son sujet. Devon Keller confère à l’ensemble un supplément d’âme.
Le Monde
par Noémie Luciani
Ce portrait d’une adolescente enceinte, très juste mais un peu trop enclin à esquiver le drame, vaut autant sinon plus pour la performance de la délicate Devon Keller et pour le tableau social texan subtil.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
L'Express
par Christophe Carrière
Un premier long métrage qui ne vaut que pour son actrice principale. Le reste n’a aucun intérêt.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Assez plat, le film révèle néanmoins l'épatante Devon Keller.
Télérama
par Nicolas Didier
À force de survoler son sujet, ce premier long métrage tient plus de l'anthologie de clichés (misère sociale, puritanisme et familles dysfonctionnelles) que de la « ballade » voulue par la réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Filmé au Texas où les grossesses adolescentes sont extrêment fréquentes, "Layla in the Sky" n’a rien d’un pensum ou d’un film démoralisant. Il s’agit du portrait d’une très jeune femme apprenant à faire face dans l’adversité.
Bande à part
On a vu mille films sur ce sujet, et ce qui fait la différence ici, bien sûr, c’est la mise en scène.
L'Obs
L’intrigue décline, sur fond de folk, toutes les étapes, certaines cruelles, du chemin de traverse où Layla s’érafle, s’abîme, souffre et résiste. Elle est incarnée par une stupéfiante et bouleversante inconnue, Devon Keller, sans laquelle ce film très bien photographié n’eût été qu’une chronique triste et banale.
La Croix
Micah Magee livre le portrait plein d’empathie et de délicatesse d’une adolescente tombant enceinte à la fin du lycée dans son Texas natal.
Les Fiches du Cinéma
Sur un sujet grave et d'actualité, un film écrit comme une balade et porté par une actrice épatante.
Libération
(...) Layla se laisse porter par toutes ces choses graves et légères sans se laisser atteindre. Et le film de l’accompagner amoureusement sur un même mode, appliqué dans son indolente flânerie au fil de l’eau, quitte, dès lors, à ne jamais dévier du milieu de la route toute tracée.
Positif
C'est dire si ce petit film fragile et lacunaire brille, finalement, de mille promesses.
Transfuge
C'est le sobre portrait d'une femme en devenir qui nous est offert dans ce film fluide et incarné, assez proche dans l'atmosphère des tout premiers Kelly Reichardt.
aVoir-aLire.com
Un premier film entêtant et fort, portrait réussi d’une héroïne fascinante.
Le Dauphiné Libéré
Sur un sujet pas spécialement nouveau, un film qui échappe à la convention du cliché par le charme un peu mélancolique qu’il distille.
Le Journal du Dimanche
Tant sur le fond que sur la forme, rien de surprenant dans ce premier film à la fois réaliste et contemplatif (...). En revanche, s’en dégagent pudeur et délicatesse, la réalisatrice maintenant une juste distance compassionnelle avec son sujet. Devon Keller confère à l’ensemble un supplément d’âme.
Le Monde
Ce portrait d’une adolescente enceinte, très juste mais un peu trop enclin à esquiver le drame, vaut autant sinon plus pour la performance de la délicate Devon Keller et pour le tableau social texan subtil.
L'Express
Un premier long métrage qui ne vaut que pour son actrice principale. Le reste n’a aucun intérêt.
Studio Ciné Live
Assez plat, le film révèle néanmoins l'épatante Devon Keller.
Télérama
À force de survoler son sujet, ce premier long métrage tient plus de l'anthologie de clichés (misère sociale, puritanisme et familles dysfonctionnelles) que de la « ballade » voulue par la réalisatrice.