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Votre avis sur The Boy ?
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gabdias
Loin du déluge numérique et jump scares actuels, The Boy est un petit film intrigant avec quelques classiques old school revisités comme le grand manoir, la poupée...La dernière partie est plus imprévue et n'est pas sans rappeler le Sous-Sol de la Peur de W.Craven mais sans dérive grand guignolesque. Plutôt une belle surprise.
The Boy a au moins le mérite de mélanger deux genres de films d'horreur : le paranormal et le slasher, mais son principal défaut réside aussi dans ce mélange de genres car durant environ 1H15 il ne se passe vraiment pas grand chose, pas même un sursaut de frayeur ou une tension grimpante, on assiste paisiblement au quotidien de cette pauvre 'nounou' obligée de s'occuper d'une poupée en porcelaine sensée représenter un enfant disparu tragiquement. Donc on enchaine les clichés du genre (les objets qui disparaissent, la poupée qui change de place, etc) sans grand rebondissement, avec même une petite love story inutile. Et quand enfin arrive le fameux twist (à 1H20 précisément) - plutôt bien trouvé et inattendu il faut l'avouer - c'est quasi déjà la fin du film. Quant à la toute fin du film, elle laisse clairement la porte ouverte à un The Boy 2 - Le Retour de la Vengeance de la Poupée, classique...
Eh oui, encore un film de poupée maléfique, me direz-vous ? Oui, sauf que... Contrairement au très décevant "Annabelle", ce film-ci , à défaut de faire peur, met véritablement mal à l'aise...
La liste des points positifs commence tout d'abord par les décors. Ou plutôt LE décor. Une immense demeure gothique franchement grandiose et sinistre... Même en plein jour, quelque chose de malsain s'en dégage.. Le jardin avec ses immenses statues d'anges déchus.. Les couloirs sans fin.. les boiseries sombres et inquiétantes.. Une fois la nuit tombée, un malaise sans nom se fait sentir . Durant tout le film, nous ne quitterons que rarement la maison, ce qui renforce le sentiment de huit-clos paranoïaque. :O
Les comédiens se défendent également très bien. Mention spéciale à Lauren Cohan qui interprète l’héroïne, Greta. Tantôt effrayée, tantôt amusée ou subjuguée par la demeure et les situations qui s'imposent à elle, ses réactions n'en sont que plus réalistes et vraisemblables.. En effet, comment réagiriez vous si vous deviez traiter une poupée de porcelaine comme un véritable petit garçon ?
Les deux rôles masculins partagés entre Rupert Evans et Ben Robson remplissent bien leurs contrats. Le premier en "bon copain" qui en fait peut-être trop est juste attachant et énigmatique comme il faut. Et le second est détestable et dérangeant à souhait.. ;
La musique également, certes classique est véritablement là pour souligner le récit, ma magnificence ou la menace émanant de la maison. Envoûtante et bien dosée, elle fait des merveilles. <3
Quand au scénario, il est difficile d'en parler sans dévoiler la nature même de l'intrigue.. Sachez simplement que les situations sont tout à fait convenable et intrigantes compte tenu de la nature même du film. Le temps passe assez vite et même si l'action ne démarre pas vraiment avant la première demie-heure, l'exploration tant des décors que des personnages est assez prenante pour que le temps file comme un éclair. :
Seul et léger bémol, le twist final qui vient en quelques sortes "casser" le rythme jusque là maintenu par l'aura de malaise et de mystère émanant de Braham, la fameuse poupée... Le film prend alors une tournure plus classique mais tout aussi efficace. ;
A mi chemin entre le thriller surnaturel et le film d'horreur gothique, le très bon "The Boy" est à voir pour se dire que tout compte fait, "Annabelle" n'était vraiment pas terrible...
P.S. à noter ; les règles énumérées sur l'affiche du film, et qui donneront bien des émotions fortes à notre héroïne.. <3
La liste des points positifs commence tout d'abord par les décors. Ou plutôt LE décor. Une immense demeure gothique franchement grandiose et sinistre... Même en plein jour, quelque chose de malsain s'en dégage.. Le jardin avec ses immenses statues d'anges déchus.. Les couloirs sans fin.. les boiseries sombres et inquiétantes.. Une fois la nuit tombée, un malaise sans nom se fait sentir . Durant tout le film, nous ne quitterons que rarement la maison, ce qui renforce le sentiment de huit-clos paranoïaque. :O
Les comédiens se défendent également très bien. Mention spéciale à Lauren Cohan qui interprète l’héroïne, Greta. Tantôt effrayée, tantôt amusée ou subjuguée par la demeure et les situations qui s'imposent à elle, ses réactions n'en sont que plus réalistes et vraisemblables.. En effet, comment réagiriez vous si vous deviez traiter une poupée de porcelaine comme un véritable petit garçon ?
Les deux rôles masculins partagés entre Rupert Evans et Ben Robson remplissent bien leurs contrats. Le premier en "bon copain" qui en fait peut-être trop est juste attachant et énigmatique comme il faut. Et le second est détestable et dérangeant à souhait.. ;
La musique également, certes classique est véritablement là pour souligner le récit, ma magnificence ou la menace émanant de la maison. Envoûtante et bien dosée, elle fait des merveilles. <3
Quand au scénario, il est difficile d'en parler sans dévoiler la nature même de l'intrigue.. Sachez simplement que les situations sont tout à fait convenable et intrigantes compte tenu de la nature même du film. Le temps passe assez vite et même si l'action ne démarre pas vraiment avant la première demie-heure, l'exploration tant des décors que des personnages est assez prenante pour que le temps file comme un éclair. :
Seul et léger bémol, le twist final qui vient en quelques sortes "casser" le rythme jusque là maintenu par l'aura de malaise et de mystère émanant de Braham, la fameuse poupée... Le film prend alors une tournure plus classique mais tout aussi efficace. ;
A mi chemin entre le thriller surnaturel et le film d'horreur gothique, le très bon "The Boy" est à voir pour se dire que tout compte fait, "Annabelle" n'était vraiment pas terrible...
P.S. à noter ; les règles énumérées sur l'affiche du film, et qui donneront bien des émotions fortes à notre héroïne.. <3
Film d'épouvante mature assez sympa. J'ai bien aimé la fin !!! Film d'ambiance très lent...
spoiler: Ca m'a fait penser un peu à The visit par sa structure, que j'ai préféré, même si les 2 histoires n'ont strictement rien en commun. On assiste peut etre à la naissance d'un nouveau serial killer à la Jason Voorhees et Michel Myers
spoiler: Ca m'a fait penser un peu à The visit par sa structure, que j'ai préféré, même si les 2 histoires n'ont strictement rien en commun. On assiste peut etre à la naissance d'un nouveau serial killer à la Jason Voorhees et Michel Myers
1h30 de perdu. Scénario sans quête ni tête. La catégorie "Epouvante-horreur" laisse clairement à désiré. Extrêmement déçu.
3.5/5 Je me suis senti très rapidement intéressé puis conquis par la trame de cette histoire sans que rien ne puisse me guider ou m'éclairer quant à l'issue impensable et inimaginable ! Franchement la résolution est puissante et efficace, incroyable et pourtant si logique... Un tour de force qui m'épate encore... Alors autant franchir le pas et tendre la main à cette poupée de porcelaine mais pas trop longtemps évidemment !
"Raaaaaa" enfin un film d'horreur qui se démarque un peu! Maintes fois déçue par le genre depuis quelques années mais n'ayant pas perdu tout espoir, je me suis laissé tenter par "The boy" et je ne regrette pas. L'histoire est plutôt originale, le film n'est pas ponctué d'incessants jumpscare, et certains passages même font froid dans le dos. Malgré une fin surprenante mais peu réaliste, c'est un bon film du genre, frissonant, et ça fait plaisir !
Film d'épouvante simple mais particulièrement prenant, The Boy nous emmène dans un manoir perdu au fin fond d'une forêt où vit un vieux couple avec son enfant. Greta, une jeune Américaine jouée par Lauren Cohan (Maggie de Walking Dead) débarque en Angleterre pour échapper à son passé et est engagée pour s'occuper du petit de huit ans, qui s'avère être une poupée en porcelaine grandeur nature. Particulièrement glauque, elle ne montre pourtant aucun signe de vie malgré certaines tromperies
spoiler:
comme l'eau tombant du plafond lui faisant des larmes, ou encore ces rêves ou le garçon du tableau attrape la main de Greta, et où elle voit la poupée bouger de ses propres yeux.
Les plans sont simples mais toujours efficacement suggestifs, le réalisateur joue sur nos acquis en montant le ton et avec certains plans fixes, notamment ceux où la poupée regarde l'écran sans qu'il ne se passe rien.
La tension monte à plusieurs reprises et le film reste prenant tout du long, notamment lorsque les parents partent, avec des scènes flippantes comme celle du grenier. La présence régulière du livreur Malcolm sème le doute et le passé de Greta avec son ex qui lui a fait du mal a de quoi faire poser des questions sur les événements étranges qui se déroulent. Les lieux rappellent grandement le jeu vidéo Resident Evil entre le manoir, la forêt, les pièces sombres avec des miroirs et des bougies, les éclairs et spoiler: la créature qui siège entre les murs alors que l’on comprend tout
. Greta est un bon personnage grâce aux émotions très marquées de Lauren Cohan et son lien avec l’enfant à protéger (bien que factice) est d’autant plus fort spoiler: qu’on apprend qu’elle en a perdu un par le passé, ce qui peut expliquer son attitude protectrice bien qu’elle sache pertinemment que la poupée n’est pas vivante.
Si on peut craindre que le film vire dans du bête paranormal, il reste réaliste jusqu’au bout et surprend le spectateur avec des horreurs non sans rappeler des œuvres comme Ring (pour la main sortant du mur) ou encore La poupée de cire (pour le masque, l’incendie et la créature). Le système de règles à respecter est également intéressant dans le concept de l’obéissance et du manque d’affection suite à un traumatisme spoiler: (le meurtre de la petite fille par le passé), et son utilisation est particulièrement bienvenue sur la fin, tout comme la violence qui s’ensuit pour ne pas rendre la manœuvre trop facile et exploiter toute la violence du personnage, qui semble toujours être vivant étant donné la scène finale.
Un très bon film d’horreur !
Les plans sont simples mais toujours efficacement suggestifs, le réalisateur joue sur nos acquis en montant le ton et avec certains plans fixes, notamment ceux où la poupée regarde l'écran sans qu'il ne se passe rien.
La tension monte à plusieurs reprises et le film reste prenant tout du long, notamment lorsque les parents partent, avec des scènes flippantes comme celle du grenier. La présence régulière du livreur Malcolm sème le doute et le passé de Greta avec son ex qui lui a fait du mal a de quoi faire poser des questions sur les événements étranges qui se déroulent. Les lieux rappellent grandement le jeu vidéo Resident Evil entre le manoir, la forêt, les pièces sombres avec des miroirs et des bougies, les éclairs et spoiler: la créature qui siège entre les murs alors que l’on comprend tout
. Greta est un bon personnage grâce aux émotions très marquées de Lauren Cohan et son lien avec l’enfant à protéger (bien que factice) est d’autant plus fort spoiler: qu’on apprend qu’elle en a perdu un par le passé, ce qui peut expliquer son attitude protectrice bien qu’elle sache pertinemment que la poupée n’est pas vivante.
Si on peut craindre que le film vire dans du bête paranormal, il reste réaliste jusqu’au bout et surprend le spectateur avec des horreurs non sans rappeler des œuvres comme Ring (pour la main sortant du mur) ou encore La poupée de cire (pour le masque, l’incendie et la créature). Le système de règles à respecter est également intéressant dans le concept de l’obéissance et du manque d’affection suite à un traumatisme spoiler: (le meurtre de la petite fille par le passé), et son utilisation est particulièrement bienvenue sur la fin, tout comme la violence qui s’ensuit pour ne pas rendre la manœuvre trop facile et exploiter toute la violence du personnage, qui semble toujours être vivant étant donné la scène finale.
Un très bon film d’horreur !
Un petit film d'épouvante sans prétention mais bien troussé. Pas de quoi crier au génie, mais pas de quoi bouder son plaisir, surtout vu ce qu'on se tape dans le genre depuis un moment (coucou Paranormal Activity et Insidious).
Un film vraiment surprenant. Même si la fin n'est pas à la hauteur du reste du film, le scénario reste super intéressant. Et si on aime les surprises, pas d'inquiétude on est quand même servi. J'ai adoré.
Une fin scénaristiquement décevante qui fait passer le film, relativement intéressant au demeurant, d'un bon thriller a un slasher presque banal.
Dommage, il y avait certainement mieux à faire....
Dommage, il y avait certainement mieux à faire....
du suspense, une excellente mise en scène, que demander de mieux ? passez une tres bonne soirée devant ce film bien conduit avec une chute inattendue 😊
Une ambiance très soignée, une réalisation classique mais efficace et une histoire de poupée beaucoup plus réussie que le récent Annabelle. Même si le switch final est prévisible et pas très réussi, le film brille cependant grâce à son univers et ses moments angoissants qui n'ont rien à envier aux grands films d'horreur espagnols!
The boy est un très bon film d'horreur. Le scenario est original, intéressant et intrigant. On se place facilement dans la peau de Greta, partagée entre l'envie de fuir et le désir d'en savoir plus, la peur et la curiosité.
videoman29
J'ai visionné « The boy » sans grande conviction tant j'étais convaincu que tout avait été dit en matière de poupées tueuses. Le décevant « Annabelle » m'a d'ailleurs largement conforté dans cette impression négative. Cependant, dès les premières minutes, le réalisateur William Brent Bell (« Devil inside ») parvient à installer un climat de tension qui fonctionne parfaitement et on se met à espérer... L'intrigue, efficace et originale, se déroule dans une vieille maison Victorienne plutôt flippante et met en scène une jeune baby-sitter, employée par un couple de personnes âgées pour s'occuper de leur enfant qui se révèle être... une poupée. Le film commence donc assez légèrement mais rapidement l'ambiance devient subtilement menaçante et continue de s'alourdir de minute en minute. La poupée de porcelaine, froide mais très réaliste, se révèle vite effrayante et on se dit qu'à l'instar de l'actrice principale, on aurait du mal à rester dans la même pièce qu'elle. D'ailleurs le film fonctionne en grande partie grâce à cette relation bizarre et ambiguë qui se noue entre la jeune femme et son « enfant ». Petit à petit, le mécanisme de la peur se met en place et on se prend à sursauter à quelques reprises jusqu'à l'habile retournement de situation qui termine le film de bien belle manière. Au bout du compte, je dois reconnaître que « The boy » m'a fait changer d'avis. Il est efficace, bien interprété et j'aime tout particulièrement son atmosphère angoissante qui m'a donné la chair de poule. Une très belle découverte !
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