Les plus utilesLes plus récentesMembres avec le plus de critiquesMembres avec le plus d'abonnés
Filtrer par :
Toutes les notes
Un visiteur
4,0
Publiée le 1 février 2016
On tient là quelque chose de différent dans le monde horrifique des ptits poupons... et c'est plutôt cool. Pourquoi pas ??... Ça fonctionne assez bien. Ce s'rait dommage de passer à côté en fait. Bien entendu, on a quelques légères longueurs, mais le rythme sait tout d'même nous tenir suffisamment en alerte pour maintenir notre attention sur ce visage angélique de porcelaine... L'ambiance diffusée dans cette maison tient beaucoup d'la mise en place des plans qui savent fichtrement bien filer cette envie d'en voir toujours plus... sur ce point, ça roule, ça se tient bien. Maintenant, il est aussi vrai qu'j'aurais aimé saisir plus d'actions visibles et glaçantes de la part de notre petit boy... mais ça... et c'est là qu'c'est enfin "plus ou moins" excusable de la part de notre réalisateur William Brent Bell... sans avoir pour autant joué la carte de la facilité... ça fait partie intégrante du pack "Ambiance, Émotions véhiculées par l'actrice... et Dénouement". Le dénouement, ok, j'm'y retrouve donc un peu plus à c'moment là... Ceci expliquant cela. Entrez donc dans c'joli manoir sans trop vous fier à ces quelques déceptions que nous pouvons lire ici et là... mettez juste un peu d'côté ces attentes en c'qui concerne des actions "gores ou déjantées du poupon"... et vous comprendrez (j'le souhaite mais peut être que pour certains... même... ce sera non !!)... pourquoi ça vaut l'coup d’œil. De mon côté en tous cas... Bonne ambiance, rythme correct, maison on n'peut plus adéquat, petits moments de tension bien posés... et surtout... On n'ressent pas tout ça pour rien !! ; ) 4/5.
C'est une déception les screamer sont déjà dans la B.A et franchement c'est du réchauffer on ne retiendra que le jeu de l'actrice principale qui est assez convaincante
« The Boy » ne vous fera pas frémir et sursauter de votre siège, mais il n'empêche qu'il possède un scénario original où l'anxiété montera petit à petit. L'histoire est emmené par Lauren Cohan, notre petite star de Walking Dead, et il faut dire qu'elle se débrouille pas mal ! Elle doit donc s'occuper d'une poupée de porcelaine qui fout la frousse comme d'habitude, poupée avec qui il se passera des choses bizarres. S'en suit un fond de triangle amoureux, mais non gênant. Le twist final est surprenant et original, changeant des films où l'on sait d'avance comment cela va se finir. Donc pas de grosse frousse en perspective, mais un scénario de meilleure qualité.
Je m attendais a avoir peur, enfin un minimum, j ai sursauté a 2/3 reprises et encore c est plutôt la salle bondé qui la fait avant de rigoler. On est embarqué dans l histoire, on se dit ça commence d entrée de jeu, hop plus de chaussures, présentation de l enfant qui est une poupée, et finalement...on sort et on se dit plouf y avait rien. Juste un peu de suspens, rien d effrayant, juste distrayant. La fin est vraiment peu effrayante, le personnage qui y sort est ridicule! On nous ne explique pas le pourquoi du comment, scénario mal ficelé, on sort déçu, a ce demander si ils ont pas voulu tout faire pour pas qu on est peur. On se dit au final mais pourquoi le film n a pas tirer les ficelles qu il avait en main (comme cette lettre qui aurait pu être lu par exemple mais non!) donc déçu en un mot
Les poupées à tête de porcelaine ont toujours quelque chose d'un peu inquiétant. Il n'est donc pas si difficile d'en faire le sujet d'un film d'horreur. Et même si Brahms, la poupée de ce nouveau long métrage ressemble à un inoffensif jeune garçon, son réalisme donne toujours l'impression qu'il nous observe. au point, qu'à l'image de l'héroïne de The Boy, on aurait tous bien du mal à rester dans la même pièce.
Il serait vraiment facile de comparer The Boy à Annabelle ou bien encore Chucky mais la scénariste Stacey Menear avait en réalité d'autres influences pour son histoire qui se démarque très rapidement de ces modèles. Les parents de Brahms semblent eux aussi cacher d'étranges secrets qui laissent la porte ouverte au début du film à toutes les cogitations possibles. On pense à House Of The Devil où même au récent The Visit de M. Night Shyamalan mais là encore ce ne sont que de fausses pistes. Sans être vraiment original, le scénario de The Boy nous surprendra régulièrement.
Pour son quatrième film d'horreur, le réalisateur William Brent Bell continue de remplir son nouveau long métrage de toutes les influences possibles. The Boy se déroule en effet dans une grande demeure gothique qui rappellera les décors des grands classiques de la Hammer. Le film bénéficie aussi du travail de Daniel Pearl, directeur de la photographie du premier Massacre A La Tronçonneuse dont on reconnait bien la patte dans la dernière partie du film qui prend aussi des allures du Halloween de Rob Zombie. Parfois le réalisateur pousse tellement dans l'esthétisme qu'il nous pond des scènes sorties de nul part comme cette seule nuit où la maison est éclairée par des dizaines de bougies (inutiles puisque le film se passe à notre époque) et où l'héroïne se promène en petite nuisette.
The Boy offre à Lauren Cohan son plus grand rôle au cinéma à ce jour. L'actrice, désormais célèbre pour son rôle majeur dans la série The Walking Dead, n'avait jusque là que servi principalement de faire valoir sexy dans des longs métrages pas franchement mémorable. Elle est ici l'héroïne du film Greta et porte le film sur ses épaules en étant de quasiment toutes les scènes. William Brent Bell profite tout de même de la plastique avantageuse de la jeune actrice pour la faire se promener régulièrement en petite tenue pour le plaisir des yeux des spectateurs masculins.
Diana Hardcastle et Jim Morton incarnent les inquiétants parents de Brahms. Pas très connus, on a pu voir l'actrice dans Indian Palace et sa suite tandis que le comédien est apparu dans de nombreux seconds rôles dont un dans Harry Potter & La Chambre Des Secrets. On aurait aimé voir le mystère autour d'eux être un peu plus développé mais ils ne sont clairement pas au cœur de l'intrigue. Jett Klyne, le petit garçon qui joue le vrai Brahms sur les photos de famille est à la fois trop mignon et carrément inquiétant façon Damien dans La Malédiction, quel dommage de ne pas nous avoir offert un flash-back avec lui ! Le réalisateur est allé chercher dans d'autres séries ses autres personnages principaux : Rupert Evans (The Man In The High Castle) joue l'épicier du coin, seul autorisé à rendre visite à Greta et Ben Robson (Vikings) est l'ex petit ami dangereux qu'elle cherche à fuir.
Nul! Je m'attendais a 1000x mieux pour un film que l'on compare a "annabelle" et "the conjuring". Le scénario est vu et revu. le suspense est parfois au rdv mais sans grande frayeurs, hormis une poupée au "visage" qui glace le sang, La beauté de la maison, et Le jeu d'acteur reste intéressant malgres tout. A voir en dernier recours. Equivalent d'un téléfilm de la tnt, nt1 and co!
Passable. Acceptable. The boy est loin d'être un grand film d'horreur mais il se laisse voir. L'enfant une fois adulte ressemble sacrément à Jason Voorhes ! Pas super original...
Ce film est vraiment bien. La fin est surprenante. On ne s'y attend pas, en tout cas je l'ai pas vu venir. A la fin du film on peut se poser quelque questions parce qu'on a pas eu toutes les réponses Pour moi la fin annonce une suite Ce film est à voir Pas du tout dans le genre d'annabelle, vraiment mieux
En plus de réussir l'exploit d'un dosage juste entre gimmick du genre horrifique, et divertissement pur, the Boy se distingue par son scénario qu'il convient de saluer pour son originalité, ou du moins, sa capacité à balayer, d'un grand revers de la main notre perception initiale du film, pour nous faire entrer dans un tout autre registre. Sans briller pour sa mise en scène, ses répliques, son jeu d'acteur, ou son intrigue principale, le film a une façon jouissive de briser tous les préjugés initiaux pour donner à l'histoire une vision et une interprétation radicalement différente. Pour finir, il parvient à insuffler quelques frissons sans usage abusif de jumpscare, de clichés ou de vieilles techniques usagées. Bref, un film quelque peu rafraichissant qui aurait eu davantage d'impact en se focalisant également sur la forme, le fond étant fort convenable.
J'ai trouvé au final ce film assez décevant malgré un début intriguant, attisant la curiosité et l'envie d'en savoir plus sur cette poupée ou ce garçon. Mais plus le temps passe et plus on se rend compte qu'il ne se passe pas grand chose meme lors du final avec certes une surprise mais celle ci semble être bâclée à mon sens
Rien d'effrayant, ni de surprenant dans ce film. Un seul surseaut dans la salle. On devine rapidement le fin mot de l'histoire et c'est dommage que cela soit révélé si tardivement. On aurait pu avoir affaire à un nouveau Jason !
De William Brent Bell, je n'avais vu que le navet The Devil Inside. A la recherche du nanar de l'année, je me suis dit que celui-ci devrait parfaitement faire l'affaire. Surtout qu'il est comparé, sur son affiche, au chef d'oeuvre Annabelle. Contre toute attente, c'est plutôt réussi et j'ai bien aimé. Tous les poncifs et clichés du genre sont là, mais bien exploités. Et deux ou trois rebondissements et coups de théâtre sont bien amenés et sortent le film des schémas habituels. Peu de jump-scare, juste deux si je ne m'abuse, mais une certaine ambiance, une atmosphère. Cela ne fait pas vraiment peur mais on est là devant un bon thriller horrifique avec un bon suspens. Autant en profiter car ce n'est pas tous les jours. La fin est bien sûr ouverte, une suite est donc très certainement à prévoir. Ça, ce n'est peut être pas une bonne idée...