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ollavatelli
57 abonnés
547 critiques
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3,0
Publiée le 3 février 2016
The Boy est un film d’horreur plus que correct mais mise tout sur son dénouement final.
En effet, l’histoire sur une poupée est accrocheuse (surtout après un Annabelle hyper décevant et n’ayant pas tenue ses promesses) mais on constate au bout d’un moment que ça traine et que les résultats attendus ne viendront pas. Mais arrivé à la fin, on comprendra pourquoi on n’a pas eu grand-chose auparavant. Bon autant le dire tant qu’on y est, j’ai beaucoup apprécié la surprise finale (l’apparition de la fameuse chose est frissonnante). Du coup, avec cette incroyable révélation, cela explique le manque de choses à se mettre sous la dent auparavant. Les scènes horrifiques sont peu nombreuses et les gros plans sur la poupée font un très vilain copier collé d’Annabelle (n’étant pas une référence déjà et fait craindre le même résultat final). Quelques jumps scare sont efficaces mais ne figurent que dans des rêves, c’est dommage. Mais tout s’explique avec la fin. Bon parlons de la fin alors ! On change de registre ici et on aura le droit de le comparer à quelques noms du cinéma d’horreur. On ne va rien révéler mais la fin est une bonne trouvaille. Pour finir, un petit mot sur lauren Cohan qui est correcte dans son rôle et qui nous marquera par son premier coup de frayeur à mourir de rire. Et un dernier mot sur la demeure, où se déroule l’histoire, qui est plutôt fascinante et intéressante horrifiquement parlant.
Ainsi après un dernier film de poupée, Annabelle, raté, un autre film de poupée fait son apparition sur grand écran. Bien évidemment, le résultat est plus convaincant et plus novateur. Malgré tout, le film est un peu trop long (1h15 aurait suffi) parce qu’il joue quasiment que pour son twist final. C’est dommage car il y avait une bonne idée dans cette production.
Etonné de voir les notes des spectateurs aussi basses pour un bon petit film d'épouvante avec de bons décors, une bonne ambiance, des acteurs qui n'en font pas trop, une histoire qui tiens la route... bref l'année dernière j'ai été déçu par la majorité des films de ce genre que j'ai vu au cinéma, cette fois c'est plus que regardable même si le grand frisson n'est pas vraiment présent.
En voyant les différentes critiques de ce film je pensais en ressortir avec un avis mitigé mais que nenni! Ce film, à défaut de faire peur, nous fait stresser du début à la fin avec quelques "jumpscare" très bien réussis. Cette poupée de porcelaine ne vous laissera pas de marbre. Mais le gros point fort de ce film reste son histoire prenante avec un dénouement plutôt inattendu. Je n'ai pas vu le temps passé. C'est un film qui ne laisse pas indifférent lorsque l'on ressort de la salle!
Film parfaitement mis en scène avec les jumpscares basiques. Le film pèche par son manque d'originalité et sa trame ultra prévisiblespoiler: Si vous êtes attentif, on devine l'intrigue très rapidement (ça m'a mis la puce à l'oreille lorsqu on demande à la charmante héroïne de mettre la musique forte et de lire des poèmes à voix haute et distincte.. et ma théorie fut confirmé qu'on évoque la première fois l'incendie...et vu que les poupées sont pas sourdes, ça ne pouvait etre qu'à l'intention de quelqu'un d'autre) on retrouve un peu le film Housebound.
Honnêtement, je suis un adepte des films d'horreur et je note rarement les films sur forums mais je dois vous mettre en garde : Une daube incroyable ! on attend que le film démarre pendant 1 heure et quand on découvre le pourquoi du comment, juste une envie, quitter la salle ! scandaleux tellement c'est nul, franchement très très décevant. rien a voir à avec Annabelle, la comparaison est injustifée
Le scénario part d’un postulat déjà-vu mais sacrément efficace, jouant sur nos peurs enfantines de l’objet qui prend vie, comme l’avait déjà fait le premier Chucky en 1988. Car à force de créer des histoires à travers nos jouets et de leur donner vie dans notre imaginaire, nous avons toujours pensé qu’ils pourraient à leur tour prendre vie d’eux-mêmes et se dresser face à nous. Dans The Boy, le réalisateur n’a de cesse d’utiliser cette ambiguïté en filmant régulièrement la poupée en question et joue sur l’apparition/disparition d’objets ou sur le changement de position adopté par le pantin (la tête qui regardait à droite regarde désormais à gauche sur le plan suivant).
La première partie du film met ainsi intelligemment en place ses éléments, ne touchant pas à ses zones d’ombre afin de créer peur et malaise chez le spectateur. Ce dernier navigue à vue, fasciné par le mystère que représente la marionnette au visage angélique. Bell s’appuie sur une solide direction artistique, faisant de la battisse un personnage à part entière, trop grande pour une protagoniste esseulée en proie aux événements étranges qui s’y déroulent. Ces grandes pièces et grands couloirs vides plongés dans l’obscurité prennent au piège l’héroïne et constituent un paramètre supplémentaire pour le trouillomètre. La mise en scène peut alors distiller quelques moments de flippe bien sentis.
"The Boy" est à ajouter à la liste très restreinte du genre épouvante-horreur qui aura attiré ma curiosité ! Comme quoi il suffit de quelques critiques, dont celle du Monde, qui m'auront interpellé puis décidé ! Et pour le coup, autant dire que ça fonctionne comme sur des roulettes et que même si on n'est pas effrayé plus que cela (c'est au fond ce que je demande... !), on n'est tout de même pas trop tranquille de sentir cette ambiance pesante entre un visage de porcelaine glaçant, un couple mystérieux et inquiétant, plus un manoir immense et presque vivant, prêt à nous engloutir... Et penser que la place de cette nourrice très bien interprétée par Lauren Cohan, ne fait vraiment pas trop envie ! Si bien que plus que la peur ou la frayeur, c'est plutôt l'intrigue et l'angoisse qui émergent de ce film de William Brent Bell, où on se trouve baladé, le questionnement en totale ébullition et pour le moins, l'esprit sacrément en éveil ! Sans oublier la qualité de traitement des images, des éclairages qui contribuent à nous immerger complètement dans cette atmosphère si particulière ! Prenant et même captivant, tout au moins pour un non initié comme je le suis, je me suis senti très rapidement intéressé puis conquis par la trame de cette histoire sans que rien ne puisse me guider ou m'éclairer quant à l'issue impensable et inimaginable ! Franchement la résolution est puissante et efficace, incroyable et pourtant si logique... Un tour de force qui m'épate encore... Alors autant franchir le pas et tendre la main à cette poupée de porcelaine mais pas trop longtemps évidemment !
"The Boy", traduction littérale : le garçon. C'est le titre du nouveau film de William Brent Bell sortit ce mercredi. L'histoire est simple : Gretta, jeune américaine enchaînant les galères, accepte un job d'assistante maternelle dans une région reculée d'Angleterre. A son arrivée, les parents lui explique qu'elle ne devra pas s'occuper d'un enfant mais d'une poupée de porcelaine. Commence alors une série d'événements étranges qui vont remettre en cause l'inertie de la poupée...
Le propos est non sans rappeler les célèbres Chucky, Dolly ou plus récemment Anabelle. C'est d'ailleurs ce qui nuit au film dans un premier temps : l'idée manque d'originalité. En plus de cela, le film enchaîne les séquences déjà vue au cinéma. Tout effet de surprise est donc absent, c'est prévisible, on s'ennuie.
Mais cependant The Boy n'a pas que des points négatifs. La photographie est soignée (rare pour un film d'épouvante) et la mise en scène de William Brent Bell satisfaisante, bien que simpliste.
Cependant, il faut l'admettre, The Boy n'est pas à la hauteur. Mais, si on y réfléchit bien, différentes idées inattendues et originale auraient pu être davantage développées dans le film. Or, quand il s'agit de donner de la complexité au récit, de le faire évoluer, et par la même occasion, le rendre poétique, The Boy tombe dans la facilité, telle une éducation formatée...
Engagée comme baby-sitter par un couple d'anglais, Greta va de surprises en surprises alors qu'elle fuit son passé en Amérique. La voilà donc chargée de garder Brahms, garçon de huit ans qui n'est autre qu'une poupée de porcelaine. Seule dans une grande maison forcément flippante, Greta va découvrir qu'il y a des règles bien strictes à respecter avec Brahms et que celui-ci lui réserve bien des surprises... Partant d'un postulat assez fort, "The Boy" reste coincé dans pas mal de maladresses et de défauts de scénario. Pas toujours terrifiant, le film fait tout de même mouche quand arrive son twist final, très bien trouvé et faisant carrément sortir le tout du lot, le film s'avérant alors plus intelligent qu'il ne laissait penser. Malgré tout, on ne peut s'empêche de s'ennuyer un peu et d'y trouver des fautes de rythme et une ambiance pas assez soignée. Heureusement, Lauren Cohan ne manque pas de charme.
Bonne surprise, je m'attendais à encore une daube du style Annabelle, mais celui-ci est beaucoup plus réaliste, j'ai adoré les décor du manoir, et la prestation de l'actrice principale est à saluer, c'est crédible !
quelque moment où ont a des bon frissons met très long avant d'avoir des scénes ou sa fait "peur" l'histoire et très longue à comprendre ont découvre l'histoire à la fin c'est pas top je le conseil