C'est l'histoire d'un garçon... et le garçon, bin il est en porcelaine.
Le garçon, il a vraiment une vie pourrie, parce qu'en plus d'être en porcelaine, il vit dans une super grande maison, un château même, qui montre bien à tout le monde qu'il est riche, mais à côté de ça, ses parents, ils vont le laisser tout seul avec une inconnue.
L'inconnue elle a pas de chance d'ailleurs, parce que déjà, elle tombe avec un pervers dans un taxi, mais en plus, elle sait pas que le petit garçon il est en porcelaine, mais c'est pas grave, c'est une bonne nounou, super professionnelle, alors du coup, elle va s'occuper du petit garçon, Brahms d'ailleurs qui s'appelle, le petit garçon.
"Ca c'était dans la bande-annonce".
Suite à ça, on commence à avoir peur pour la jeune fille, de plus en plus pendant 40 minutes, même elle elle s'inquiète, de plus en plus même, elle sursaute même une ou deux fois pour des bêtises, comem d'habitude, et nous aussi, on sursaute pour la même bêtise, et ça nous énerve, comme d'habitude, mais au-delà de ça, on a vraiment peut pour elle.
Parce qu'il faut le reconnaître, la fille elle est jolie, en plus elle réagit bien face à sa peur, elle est pas bête, elle s'interroge, elle prend vraiment son rôle à coeur, et ça c'est rare de voir une fille qui a peur aussi bien agir.
Et on comprend pourquoi elle a peur, la lumière sur le garçon en porcelaine, elle le rend vraiment inquiétant, à fond d'ailleurs, la maison aussi, le design de la maison, elle rend tout ça super inquiétant..
"Pendant 40 minutes, le film met sous tension, l'actrice joue bien, prends les bonnes décisions malgré quelques jump scares foireux, et ça marche bien avec cette lumière géniale sur Brahms".
Mais à un moment, la fille elle va un peu mieux, et elle commence à se prendre pour Einstein et à faire de la physique avec
une craie avec son pote, et suite à ça, y a Zlatan Ibrahimovic qui arrive, puis Michael Myers, et ça ça fait bizarre, y a même des gens qui s'amusent avec des cailloux, alors que ça sers à rien, et il se passe plein de choses improbables, tellement improbables
, que bin nous on a plus peur, et ça bin c'est dommage, parce qu'au début on avait vraiment peur pour la fille, mais elle devient bête, donc non seulement on a plus peur, mais en plus, on s'en fout, et c'est dommage, on aurait bien aimé avoir peur comme au début pendant encore un petit moment.
''The boy a pris le syndrôme Insidious 3, est resté les fesses entre deux chaises, et a pour moi totalement raté sa deuxième moitié de film, beau sentiment de gâchis en sortie de salle".
Un jour, un film d'horreur réussira à tenir son postulat jusqu'au bout.