Avis : The Boy - Page 6

Bon film d'épouvante, bonne ambiance, pas de longueur, avec une chute à laquelle on s'attend vraiment pas. À voir

Film captivant et surprenant.
Quelques frissons garantis dans la première partie du film, laissant place à une deuxième partie moins angoissante et pour le coup innovante.
Les acteurs jouent bien, surtout la belle Lauren Cohen, qui ne reste pas derrière l'ombre de son rôle dans "the walking dead" et s'approprie parfaitement son nouveau personnage.
Une fin qui laisse une place à une suite prometteuse, on l'espère !

J'ai beaucoup aimé ce film, qui part du postulat banal mais efficace de la maison hantée. On a là un véritable manoir loin de tout, dans lequel une jeune femme sans attaches est isolée. Elle est donc seule, ou presque, face à la maison et ses fantômes du passé. C'est de là que vient la tension dramatique du film. Le rythme est très bien géré, avec une montée progressive en tension (on s'interroge sur ce qui va se passer avec la poupée), qui ensuite retombe pour finir en acmé avec le rebondissement final. Justement, ce rebondissement final je ne l'avais pas vu venir, et il apporte un vrai plus au film. Au total, un film d'horreur intéressant au final inattendu.

J'ai visionné « The boy » sans grande conviction tant j'étais convaincu que tout avait été dit en matière de poupées tueuses. Le décevant « Annabelle » m'a d'ailleurs largement conforté dans cette impression négative. Cependant, dès les premières minutes, le réalisateur William Brent Bell (« Devil inside ») parvient à installer un climat de tension qui fonctionne parfaitement et on se met à espérer... L'intrigue, efficace et originale, se déroule dans une vieille maison Victorienne plutôt flippante et met en scène une jeune baby-sitter, employée par un couple de personnes âgées pour s'occuper de leur enfant qui se révèle être... une poupée. Le film commence donc assez légèrement mais rapidement l'ambiance devient subtilement menaçante et continue de s'alourdir de minute en minute. La poupée de porcelaine, froide mais très réaliste, se révèle vite effrayante et on se dit qu'à l'instar de l'actrice principale, on aurait du mal à rester dans la même pièce qu'elle. D'ailleurs le film fonctionne en grande partie grâce à cette relation bizarre et ambiguë qui se noue entre la jeune femme et son « enfant ». Petit à petit, le mécanisme de la peur se met en place et on se prend à sursauter à quelques reprises jusqu'à l'habile retournement de situation qui termine le film de bien belle manière. Au bout du compte, je dois reconnaître que « The boy » m'a fait changer d'avis. Il est efficace, bien interprété et j'aime tout particulièrement son atmosphère angoissante qui m'a donné la chair de poule. Une très belle découverte !

J'ai beaucoup aimer ce film car il les différent par rapport aux autres films qui font peur , les actions sont très bien joué . je conseille ce film "thé boy" aux personnes qui ne l'ont pas encore vu ! Un très bon film .

Scénario très peu approfondi voire inexistant, très mauvais doublage du personnage principal, pas de surnaturel pour un film qui le teasait comme tel, aucun moment terrifiant. Argent gaspillé.

Un film sympa à regarder mais sans plus. Toute la "qualité" et tous les points que gagne le film résident dans le plot twist final. Le film répond à toute une série de code et est donc assez cliché dans son déroulement. Tous les éléments des films surnaturels sur la possession sont donc présents (avec une héroïne ne prenant pas en compte les avertissements et les activités de plus en plus fortes) avec des "vilains" gros plans sur le visage de la poupée comme si elle cachait quelque chose. Et elle cachait quelque chose en effet ! MAJOR spoiler: La poupée n'était en fait pas possédée mais l'enfant qui était censé être à l'intérieur de celle-ci a grandit caché dans le manoir et est un dangereux psychopathe !
Après ce dénouement, la transformation du film est intéressante spoiler: (celui-ci passe d'un film d'épouvante/esprit à un film de slasher)
. On regrettera également une fin un peu clichée mais non-surprenante puisque le film ne se détache pas de ces clichés.

The boy multiplie les poncifs du genre (une jeune femme de la ville dans une maison hantée aux souterrains psychologiques, poupée possédée, angoisse maternelle, hors champs à la base du principe, le tout finissant en slasher) mais n'est pas de ses films d'horreur qui vont jouer avec, il cherche plutôt à les accorder. Si on regrette forcément que le genre horrifique soit statufié, ne déchaînant pas plus de folie dégénérescente et ne travaillant que peu d'images surréalistes le long d'un film, ce classicisme froid s'accorde ici à ce récit de faux-semblants. Au spectateur d'interpréter le film, le système métaphorique qu'il creuse ne dévie pas sur l'excuse folklorique habituelle. Dans les facilités du genre, on peut tout de même regretter la facilité qu'a l'héroïne à trouver des alliés, là où sa solitude face à la menace donnait de belles pistes d'un film sur le rapport à l'autre. Cependant, en tant que film d'horreur intelligent, the boy ne renie pas son aspect grotesque et donne dans un de ces recoins une hilarante fable sur l'enfant roi.

Un scénario très bien ficelé et une chute bien calculée, avec quelques poussées d'adrénaline. Très bon jeu des acteurs et décor bien choisi. J'ai adoré!

The Boy ou quand le nanar devient un art. On prend une poupée de petit garçon que l'on traite comme un enfant (les dix premières minutes sont ce que j'ai vu de plus drôle aussi cinéma depuis des lustres), ce qui laisse présager un mauvais remake de Chucky ou un Anabelle bis pour terminer dans une sorte de parodie de slasher vaguement copié sur Halloween et Vendredi 13. Etrangement c'est tellement foutraque, grand-guignolesque et ringard que ça en devient jouissif comme si le but inavoué du film était, avant tout, de nous amuser. Un scénario de série Z, des acteurs affligeants, une mise en scène d'une grande platitude mais étrangement ça passe comme si trop de mauvais finissait par faire du bon. L'absurdité de l'ensemble, les effets tellement attendus qu'ils en deviennent risibles contribuent au charme kitsch de ce petit film de genre sans prétention à part celle de se prendre trop au sérieux. Avec un postulat de base aussi risible, il aurait fallu aller plus loin dans le n'importe quoi. Reste un divertissement pop-corn pas désagréable si on a envie de se laver complètement le cerveau.

"The boy" est un film fantastique américain racontant l'étrange histoire d'une jeune américaine, voulant fuir un passé douloureux et débarquant du Montana pour s'occuper d'une poupée. alors qu'elle devrait prendre soin d'un petit garçon, Brahms. Croyant tout d'abord à une mauvaise blague, l'intéressée se retrouve vite confrontée à d'étranges phénomènes...

Les films de poupées/marionettes ont connu des fortunes diverses: de Magic tourné en 1978 avec Anthony Hopkins en passant par Dolls de Brian Yuzna en 1987, le genre n'a pas cessé d'inspirer les réalisateurs de films de genre. Plus récemment la saga des Chucky et le ratage d'Annabelle ont prouvé que la poupée recelait un potentiel d'angoisse toujours exploitable.

"The boy" n'est pas un mauvais film, le ton est résolument britannique et l'atmosphère étrange. Le casting est bon avec dans le premier rôle notamment Lauren Cohan (et son sourire craquant), popularisé par la série "the walking dead". Le souci principal du film demeure finalement son manque de rythme, le dénouement de l'intrigue et l'action ne se mettant en place que dans les quinze dernières minutes.

C'est l'histoire d'un garçon... et le garçon, bin il est en porcelaine.

Le garçon, il a vraiment une vie pourrie, parce qu'en plus d'être en porcelaine, il vit dans une super grande maison, un château même, qui montre bien à tout le monde qu'il est riche, mais à côté de ça, ses parents, ils vont le laisser tout seul avec une inconnue.

L'inconnue elle a pas de chance d'ailleurs, parce que déjà, elle tombe avec un pervers dans un taxi, mais en plus, elle sait pas que le petit garçon il est en porcelaine, mais c'est pas grave, c'est une bonne nounou, super professionnelle, alors du coup, elle va s'occuper du petit garçon, Brahms d'ailleurs qui s'appelle, le petit garçon.

"Ca c'était dans la bande-annonce".

Suite à ça, on commence à avoir peur pour la jeune fille, de plus en plus pendant 40 minutes, même elle elle s'inquiète, de plus en plus même, elle sursaute même une ou deux fois pour des bêtises, comem d'habitude, et nous aussi, on sursaute pour la même bêtise, et ça nous énerve, comme d'habitude, mais au-delà de ça, on a vraiment peut pour elle.

Parce qu'il faut le reconnaître, la fille elle est jolie, en plus elle réagit bien face à sa peur, elle est pas bête, elle s'interroge, elle prend vraiment son rôle à coeur, et ça c'est rare de voir une fille qui a peur aussi bien agir.

Et on comprend pourquoi elle a peur, la lumière sur le garçon en porcelaine, elle le rend vraiment inquiétant, à fond d'ailleurs, la maison aussi, le design de la maison, elle rend tout ça super inquiétant..

"Pendant 40 minutes, le film met sous tension, l'actrice joue bien, prends les bonnes décisions malgré quelques jump scares foireux, et ça marche bien avec cette lumière géniale sur Brahms".

Mais à un moment, la fille elle va un peu mieux, et elle commence à se prendre pour Einstein et à faire de la physique avec spoiler: une craie avec son pote, et suite à ça, y a Zlatan Ibrahimovic qui arrive, puis Michael Myers, et ça ça fait bizarre, y a même des gens qui s'amusent avec des cailloux, alors que ça sers à rien, et il se passe plein de choses improbables, tellement improbables
, que bin nous on a plus peur, et ça bin c'est dommage, parce qu'au début on avait vraiment peur pour la fille, mais elle devient bête, donc non seulement on a plus peur, mais en plus, on s'en fout, et c'est dommage, on aurait bien aimé avoir peur comme au début pendant encore un petit moment.

''The boy a pris le syndrôme Insidious 3, est resté les fesses entre deux chaises, et a pour moi totalement raté sa deuxième moitié de film, beau sentiment de gâchis en sortie de salle".

Un jour, un film d'horreur réussira à tenir son postulat jusqu'au bout.

Un bon film plein de suspense et angoissant avec une chute du tonnerre, ce qui va en surprendre plus d'un !!!!

The boy de William Brent Bell est un film d’épouvante à la fois original et très classique. Ce film est l’occasion de voir sur grand écran la très belle Lauren Cohan, très connue dans le milieu des séries TV fantastiques comme the Walking dead (Maggie) et Supernatural (Bela Talbot), qui interprète ici le rôle principal de la jeune américaine, qui débarque en Angleterre, embauchée par un couple d’anglais pour garder leur fils de huit ans, mais découvre une fois sur place que ce garçon n’est pas un être vivant mais une poupée en porcelaine. Malgré cette cocasserie, elle va se prêter au jeu. La seule originalité dans The boy est le dénouement final autour de cette poupée. Mais The boy est très classique pour le reste. En effet, le lieu reste un manoir anglais isolé dans une forêt, rien de plus classique, mais il a son charme avec son décor intérieur de boiseries. En outre, certains ressorts scénaristiques sont ultra prévisibles ( spoiler: comme le sort de l'ex petit ami
).

Mauvais film, aucun suspens, par de vraie peur. L'histoire est sympas mais pourrait être bien mieux traitée pour mettre mal à l'aise.
Très déçu !