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Yetcha
881 abonnés
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3,0
Publiée le 1 juin 2016
Moi et les films de poupées maléfiques ! J'adoooore ça, ça m'a toujours fait flipper. Ici encore, j'ai eu des frissons, pas les plus intenses de ma vie de cinéphile mais j'ai douter, j'ai été angoissé et je suis parti sur une mauvaise piste. Un film moyen, mais sympathique pour les amateurs du genre.
Le postulat de départ est intrigant, la tension monte progressivement, de même que les bizarreries et, s'il n'évite pas quelques écueils, le film nous préserve plutôt des habituels jump scares du genre. Pas mal.
Tout d’abord, je tiens à remercier Metropolitan pour l’envoi de ce film. Je n’avais pas eu l’occasion d’aller le voir au cinéma lors de sa sortie. Je suis friante de ce genre de film mais il faut savoir que je n’aime vraiment pas les poupées … Je me demandais ce que ça allait donc donner avec ce film et j’ai été agréablement surprise par la chute de celui-ci mais par contre assez déçue sur le fait qu’il ne se passe pas grand chose au cours du film en lui-même … On espère et rien … Heureusement, il n’est pas très long du coup on ne s’ennuie pas trop mais je pense qu’il aurait fallu avoir un peu plus “d’action” ou de rebondissements pour rester vraiment plus dans l’ambiance. Il faut quand même dire que le suspens est assez bien rendu et le spectateur attend à tout moment que quelque chose surgisse, la fin arrive donc d’un coup et on est surpris.
En résumé, The Boy est assez plat mais arrive quand même à nous surprendre là où on ne l’attendait pas ! Je dois dire avoir été prise au piège de ce film et ne pas avoir vu venir ce qui allait réellement se passer. Lauren Cohan se débrouille assez bien sachant qu’elle est principalement toute seule tout le long du film en face d’une poupée qui ne fait pas grand chose. Il n’est pas aisé de se donner la répliquer. J’ai trouvé ce film assez divertissant et intriguant même si au final on espère quelque chose qu’on ne voit finalement pas arriver. A découvrir !
C'est un bon film de minuit pour le vendredi soir. Le scénario reste prévisible mais il reste très intéressant. Une belle actrice américaine. Une bonne ambiance de manoir anté. Un bon film d'horreur tranquille.
C'est un bon film, avec une bonne histoire, Lauren Cohan joue merveilleusement bien, il y a une bonne ambiance... Mais ce film ne fait pas peur ! Il ne fait vraiment pas peur, et c'est sans doute pour ça que le film est bon, on s'attache bien aux personnages, on est avec eux dans la maison est notamment avec Brahms...et on se pose la même question que les personnages :"Et-il vraie, où sommes nous fous ?"
Dans le genre poupée dérangeante, maison angoissante j’ai déjà vu mieux. Si la première partie essaie de jouer sur la tension et sur le côté bizarre du pitch de base, le final tourne à une forme de Home Invasion inversé plus terre à terre. Si les deux parties se tiennent plutôt bien l’une et l’autre; l’ensemble à un côté bancal. Je trouve aussi que ça manque d’audace et d’originalité, car franchement si je ne me suis pas ennuyé en le regardant (surtout grâce à Greta le personnage principal qui a été bien travaillé) je ne pense pas qu’il m’aura laissé beaucoup de souvenirs d’ici quelques mois.
The Boy s'avère d'abord intrigant et surprenant dans sa 1ère partie. il apporte quelques frissons mais il faut reconnaître qu'il n'est finalement pas d'une grande originalité, dans la découverte de l'énigme ou encore dans les effets et le dénouement.
Une maison anglaise isolée dans la forêt, une jeune fille seule et apparemment harcelée par une poupée tout aussi apparemment hantée par l'esprit d'un enfant mort. Tout cela est un peu toujours la même soupe servie par les films d'horreur avec sa lente apparition des phénomènes surnaturels, ces scarry-jumps et les explications plus ou moins fumeuses à tout cela. Le film, sans être franchement ennuyeux, n'est pas super-passionnant et parfois des coups de mou se font jour durant cette heure et demie. Le retour de situation de la fin du film offre néanmoins un petit plus assez appréciable, mais cependant pas suffisant pour racheter un film des plus banals. Le twist final laisse en outre augurer d'une suite. Un film qui intéressera les fans d'épouvante et les ados, le reste du public pourra passer à côté sans préjudice.
Je crois que c'est le film le plus mauvais que j'ai pu voir en 2016. C'est vide, très mal joué, ça ne fait pas peur du tout, c'est long et ça traine, le scénario est complètement bidon et on sait d'avance ce qu'il va se passer. L'actrice principale à le charisme d'un Yak malade, les clichés sont au rendez-vous et je trouve même carrément dommage qu'aucun effet spécial ait été ajouté pour sauver l'honneur. La bande originale représente le néant, l'ambiance est pas top, on a même le droit au beau-gosse cliché venir dragué la jolie (enfin moi je trouve pas) et gentille nounou qui vient de se séparer. Hormis le côté poupée que j'ai bien aimé, rien est à retenir dans ce long métrage épouvante/horreur qui n'en n'est pas un pour moi. 6/20.
Quelques bonnes idées, un bon scénario, mais ça ne vaut pas un Chucky par exemple. Ça été quand même sympa de voir Lauren Cohan dans un autre registre que celui de Walking Dead
2006 a été très fortuite dans l’univers du septième art, les projets s’enchainant sans laisser au spectateur le temps de reprendre (convenablement) son souffle. Si Clint Eastwood décide en cette année symbolique de faire honneur au courage des soldats japonais d'Iwo Jima dans son très personnel long-métrage, Kevin Macdonald offre sur un plateau d’argent l’Oscar du meilleur acteur à Forest Whitaker pour sa prestation du « Dernier roi d’Ecosse ». Et, dans l’hombre, certains réalisateurs décident de se découvrir. C’est notamment le cas de William Brent Bell qui, après avoir dirigé Paul Francis dans la comédie Sparkle and Charm (1999), se fait un tout autre nom dans le cinéma d’horreur. Pourtant mal reçu, Stay Alive, film d’épouvante a budget très serré (9 M$) assez imaginatif (car oui, il faut se méfier d’un jeu vidéo d'horreur basé sur la véritable et glaciale histoire d'une femme de la noblesse du XVIIe siècle, la Comtesse Bathory), n’en reste pas moins un succès au box-office. Son second projet, Devil Inside (2013) donnera raison aux producteurs qui, séduits par sa filmographie, décident de lui faire confiance en proposant au jeune cinéaste « The Boy ». Cadeau empoisonné ? Oui et non. Oui, car ce film ne brille pas par son scénario qui n’est pas sans nous rappeler « Chucky » et, récemment, « Annabelle », mais non, dans un autre sens, car il y a matière à jump scare ! Si l’ambiance donne vite le ton, chaque personnage étant difficile à cerner, « The Boy » manque d’entrain lors de ses premières phases frisson. Assez prévisibles, les phénomènes surnaturels trouvent « chaussures à leurs pieds » et s’emboitent sans trop de complication dans le récit. Quand, tout à coup, le rythme s’emballe et même les plus férus pourront bondir devant un happy end au final trompeur. S’il est particulièrement agréable d’éviter une énième déconvenue numérique, « The Boy » manque peut être d’un petit coup d’esthétique approfondi. Quoi qu’il en soit, les règles sont (bien) respectées : attention à ne pas fléchir.
Même si le film ne fait que distiller une ambiance, que l'histoire est quelque peu prévisible, le décor est intéressant et la poupée est bien flippante. Un honnête divertissement.
Loin du déluge numérique et jump scares actuels, The Boy est un petit film intrigant avec quelques classiques old school revisités comme le grand manoir, la poupée...La dernière partie est plus imprévue et n'est pas sans rappeler le Sous-Sol de la Peur de W.Craven mais sans dérive grand guignolesque. Plutôt une belle surprise.