Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un film magnifique, aussi crépusculaire dans la forme que lumineux dans sa réflexion.
Critikat.com
par Ursula Michel
Face à cette pérégrination inimaginable Pablo Agüero choisit une voie anti-naturaliste, onirique et cauchemardesque.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Parisien
par Alain Grasset
Cette histoire folle est bien racontée par Pablo Agüero sous la forme d’un thriller romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Libération
par Luc Chessel
(...) nous voilà devant un film passionnant et apolitique. En cédant à la fascination historique, à la fidélité tendance croque-mort, on y jouit d’une belle galerie de portraits.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Grégoire Chertok
Pablo Aguero met en scène les moments forts de ces tribulations entrecoupées de magnifiques images d'archives.
Première
par Eric Vernay
Agüero construit un singulier polar historique à l’esthétique aussi minimaliste que racée: une succession de séquences-tableaux asphyxiantes, et néanmoins euphorisantes car pleines d’esprit, captées en clair-obscur. Ici, comme chez Rembrandt, la lueur émane de l’obscurité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Pablo Aguero déploie ce grand fantasme qu'est le corps sacré d'Eva grâce à un film crépusculaire, bâti comme une suite de chambres mortuaires, peuplé de personnages étranges, l'embaumeur, le militaire (Denis Lavant) conduisant le cercueil ailleurs, puis Aramburu, le dictateur de la junte au pouvoir, retenu captif par des insurgés…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Pierre Murat
Le film est surprenant, exigeant, cherchant la vérité des êtres et de l'Histoire non dans les faits (c'est le but des documentaires) mais dans l'invention. L'imaginaire. On est, donc, une fois encore, dans l'opposition — légèrement forcée, mais éclairante — entre les frères Lumière et Georges Méliès.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Objet polymorphe angoissant, cocasse et virtuose, Eva ne dort pas plane parfois haut, très haut jusqu’à friser l’irrationalité. C’est justement tout ce qui en fait le piquant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par Laura Tuffery
Le dispositif reste toujours fascinant, hypnotique, conduisant parfois "Eva ne dort pas" aux portes du fantastique. On se surprend alors à flotter telle une âme errante « avec » et « comme » Evita, figure de proue de la résistance à la mort, à la disparition et l’oubli.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par La Rédaction
L’originalité de la démarche de Pablo Agüero n’est pas douteuse, qu’il traduit en images très travaillées et en plans souvent longs, sans réussir à maintenir jusqu’au bout la tension créée par la première séquence, la plus réussie. Des images d’archives relaient cette représentation très cérébrale de l’histoire, qui intrigue sans convaincre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
En opposition à ces archives, Pablo Agüero filme de manière théâtralisée, avec un grand souci esthétique, en de longs plans-séquences aux tonalités oniriques et angoissantes qui pourront, selon la sensibilité de chacun au sujet, subjuguer ou plonger dans le malaise.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur un scénario assez incroyable, la traversée, formellement réussie, d’un quart de siècle de vie politique argentine.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ironique et théâtral, il ne compense qu'en partie par son intelligence les limites matérielles de sa production.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
(...) un talent certain pour le cinéma expérimental qui n'empêche pas (Pablo Agüero) de succomber au piège du huis clos théâtral soporifique.
Les Fiches du Cinéma
Un film magnifique, aussi crépusculaire dans la forme que lumineux dans sa réflexion.
Critikat.com
Face à cette pérégrination inimaginable Pablo Agüero choisit une voie anti-naturaliste, onirique et cauchemardesque.
Le Parisien
Cette histoire folle est bien racontée par Pablo Agüero sous la forme d’un thriller romanesque.
Libération
(...) nous voilà devant un film passionnant et apolitique. En cédant à la fascination historique, à la fidélité tendance croque-mort, on y jouit d’une belle galerie de portraits.
Marianne
Pablo Aguero met en scène les moments forts de ces tribulations entrecoupées de magnifiques images d'archives.
Première
Agüero construit un singulier polar historique à l’esthétique aussi minimaliste que racée: une succession de séquences-tableaux asphyxiantes, et néanmoins euphorisantes car pleines d’esprit, captées en clair-obscur. Ici, comme chez Rembrandt, la lueur émane de l’obscurité.
Sud Ouest
Pablo Aguero déploie ce grand fantasme qu'est le corps sacré d'Eva grâce à un film crépusculaire, bâti comme une suite de chambres mortuaires, peuplé de personnages étranges, l'embaumeur, le militaire (Denis Lavant) conduisant le cercueil ailleurs, puis Aramburu, le dictateur de la junte au pouvoir, retenu captif par des insurgés…
Télérama
Le film est surprenant, exigeant, cherchant la vérité des êtres et de l'Histoire non dans les faits (c'est le but des documentaires) mais dans l'invention. L'imaginaire. On est, donc, une fois encore, dans l'opposition — légèrement forcée, mais éclairante — entre les frères Lumière et Georges Méliès.
aVoir-aLire.com
Objet polymorphe angoissant, cocasse et virtuose, Eva ne dort pas plane parfois haut, très haut jusqu’à friser l’irrationalité. C’est justement tout ce qui en fait le piquant.
Culturopoing.com
Le dispositif reste toujours fascinant, hypnotique, conduisant parfois "Eva ne dort pas" aux portes du fantastique. On se surprend alors à flotter telle une âme errante « avec » et « comme » Evita, figure de proue de la résistance à la mort, à la disparition et l’oubli.
L'Obs
L’originalité de la démarche de Pablo Agüero n’est pas douteuse, qu’il traduit en images très travaillées et en plans souvent longs, sans réussir à maintenir jusqu’au bout la tension créée par la première séquence, la plus réussie. Des images d’archives relaient cette représentation très cérébrale de l’histoire, qui intrigue sans convaincre.
La Croix
En opposition à ces archives, Pablo Agüero filme de manière théâtralisée, avec un grand souci esthétique, en de longs plans-séquences aux tonalités oniriques et angoissantes qui pourront, selon la sensibilité de chacun au sujet, subjuguer ou plonger dans le malaise.
Le Dauphiné Libéré
Sur un scénario assez incroyable, la traversée, formellement réussie, d’un quart de siècle de vie politique argentine.
Le Monde
Ironique et théâtral, il ne compense qu'en partie par son intelligence les limites matérielles de sa production.
Studio Ciné Live
(...) un talent certain pour le cinéma expérimental qui n'empêche pas (Pablo Agüero) de succomber au piège du huis clos théâtral soporifique.