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24 critiques presse
L'Humanité
par Genica Baczynski
Au-delà de la joie de retrouver l’acteur Jean-Pierre Léaud dans un de ses plus sublimes voyages, cette œuvre fascine, tant les couleurs du baroque espagnol resplendissent sur l’agonie du Roi-Soleil.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Ainsi, si La Mort de Louis XIV met en scène quatre corps, le film lui-même semble avoir deux corps qui fusionnent : celui du didactisme historique sur les derniers jours de Louis XIV, et celui de la sacralisation symbolique et de l'hommage en acte à l'acteur qui nous est cher. Si La Mort de Louis XIV nous instruit, c'est bien le spectre de la mort de Léaud hantant ce film qui nous bouleverse.
Libération
par Luc Chessel
Rarement un film se sera à ce point décrit lui-même, nous désignant et nous assignant une place qui trouve en lui (en son cœur) à la fois son origine et sa fin, sa source et sa destination : rarement un film aura été aussi royal dans son dispositif et aussi mortuaire dans ses intonations.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Jean-Pierre Léaud est formidable dans le rôle de ce roi monstrueux.
Transfuge
par Damien Aubel
Une heure trois quarts d'agonie au cours de laquelle on verra un Léaud magnifique de présence à la fois mutique et gémissante, massive et fragile.
Voici
par La Rédaction
Un somptueux tableau, au coeur duquel trône le génial et inouï Jean-Pierre Léaud.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
C’est donc dans l’oeil stagnant du cyclone (une chambre à coucher et quelques vestibules) que le film tente de déplier une étourdissante cosmogonie funèbre, comme si un univers entier venait se poser au chevet d’un astre agonisant.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
Au-delà de la chronique d’un épisode historique inédit et morbide, "La Mort de Louis XIV" serait surtout un film costumé sur la fin de vie, un regard appuyé sur la longue dégradation d’un corps, observée attentivement par une armée de courtisans grotesques et pourtant vécue avec grâce par son principal protagoniste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
L’agonie de Louis XIV, qui dura trois semaines, est filmée magistralement dans le strict huis clos de la chambre royale, et interprétée par un Jean-Pierre Léaud marmoréen.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
En méditant sur ce requiem, le réalisateur n’a sans doute pas manqué de ressusciter deux phrases immortelles. L’une, « le cinéma, c’est filmer la mort au travail ! », est signée Cocteau. L’autre, « le cinéma, c’est la vérité vingt-quatre images par seconde », porte la griffe de Godard !
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Albert Serra, dans un émouvant requiem, consacre sa valeur iconique en lui rendant un ultime et fascinant hommage.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Il fallait donc aussi qu’Albert Serra marque une exception dans sa méthode, en embauchant un acteur professionnel pour jouer ce rôle en majesté. Ce fut Jean- Pierre Léaud, choix magnifique dont on ne veut pas croire qu’il fut fait pour la seule raison des 72 ans qui réunissent le règne de Louis et l’âge de Jean-Pierre.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Pour goûter à ce film, il faut accepter de se laisser prendre par sa soyeuse lenteur. C'est alors l'expérience d'un vertige.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Eithne O'Neill
(...) un film singulier et impressionnant.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
La notion de tableau vivant est ici un compliment. Le Roi-Soleil se meurt, vive le roi !
Télérama
par Jacques Morice
Tout est fait pour donner corps, texture et matière à la mort. Et tout est fait pour inciter à vivre : rarement mets et vins auront paru aussi succulents.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Virginie Morisson
Ce film historique magistral aborde avec brio des thématiques politiques, médicales et scientifiques, au-delà du simple portrait du Roi-Soleil dans ses derniers instants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Culturopoing.com
par William Lurson
"La Mort de Louis XIV" procède, malgré son traitement contemporain, de l'imagerie et du tableau assez figé. On objectera que c'est là – justement – le propos du film, mais cela en constitue aussi la limite. Bien que distanciées, les conventions de la représentation historique et picturale, aboutissent à un film plus conventionnel.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Il serait malhonnête de prétendre que l’engourdissement ne guette pas le spectateur par instants, et les tableaux composés magistralement paraissent parfois n’être plus assez vivants pour que l’attention ne s’égare pas. Il n’empêche, désormais Louis XIV aura les traits de Jean-Pierre Léaud.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Claire Micallef
Vrai précis cinématographique de décomposition, le film de Serra nous fait vivre, pendant près de deux heures, une expérience assez inédite de « mort en direct ».
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Dans La Mort de Louis XIV, d'Albert Serra, Jean-Pierre Léaud agonise pendant deux heures devant la caméra. Une performance fascinante et monotone.
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Le récit allie précision détaillée et stylisation austère. Une expérience qui ennuiera les uns et fascinera les autres par son étrange audace.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le cinéaste catalan Albert Serra a eu la bonne idée de demander à Jean-Pierre Léaud de se glisser dans le corps vieillissant et la perruque grisonnante de Louis XIV.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
C’est vaguement beau, mais surtout très ennuyeux. (…) Sous les atours de la révérence, la violence ainsi faite à Léaud rappelle celle imposée par Michael Haneke à Emmanuelle Riva, figée et geignant dans le lit d’"Amour" : une cinéphilie mortifère dont on ne veut pas.
L'Humanité
Au-delà de la joie de retrouver l’acteur Jean-Pierre Léaud dans un de ses plus sublimes voyages, cette œuvre fascine, tant les couleurs du baroque espagnol resplendissent sur l’agonie du Roi-Soleil.
Les Inrockuptibles
Ainsi, si La Mort de Louis XIV met en scène quatre corps, le film lui-même semble avoir deux corps qui fusionnent : celui du didactisme historique sur les derniers jours de Louis XIV, et celui de la sacralisation symbolique et de l'hommage en acte à l'acteur qui nous est cher. Si La Mort de Louis XIV nous instruit, c'est bien le spectre de la mort de Léaud hantant ce film qui nous bouleverse.
Libération
Rarement un film se sera à ce point décrit lui-même, nous désignant et nous assignant une place qui trouve en lui (en son cœur) à la fois son origine et sa fin, sa source et sa destination : rarement un film aura été aussi royal dans son dispositif et aussi mortuaire dans ses intonations.
Ouest France
Jean-Pierre Léaud est formidable dans le rôle de ce roi monstrueux.
Transfuge
Une heure trois quarts d'agonie au cours de laquelle on verra un Léaud magnifique de présence à la fois mutique et gémissante, massive et fragile.
Voici
Un somptueux tableau, au coeur duquel trône le génial et inouï Jean-Pierre Léaud.
Chronic'art.com
C’est donc dans l’oeil stagnant du cyclone (une chambre à coucher et quelques vestibules) que le film tente de déplier une étourdissante cosmogonie funèbre, comme si un univers entier venait se poser au chevet d’un astre agonisant.
Critikat.com
Au-delà de la chronique d’un épisode historique inédit et morbide, "La Mort de Louis XIV" serait surtout un film costumé sur la fin de vie, un regard appuyé sur la longue dégradation d’un corps, observée attentivement par une armée de courtisans grotesques et pourtant vécue avec grâce par son principal protagoniste.
La Croix
L’agonie de Louis XIV, qui dura trois semaines, est filmée magistralement dans le strict huis clos de la chambre royale, et interprétée par un Jean-Pierre Léaud marmoréen.
La Voix du Nord
En méditant sur ce requiem, le réalisateur n’a sans doute pas manqué de ressusciter deux phrases immortelles. L’une, « le cinéma, c’est filmer la mort au travail ! », est signée Cocteau. L’autre, « le cinéma, c’est la vérité vingt-quatre images par seconde », porte la griffe de Godard !
Le Dauphiné Libéré
Albert Serra, dans un émouvant requiem, consacre sa valeur iconique en lui rendant un ultime et fascinant hommage.
Le Monde
Il fallait donc aussi qu’Albert Serra marque une exception dans sa méthode, en embauchant un acteur professionnel pour jouer ce rôle en majesté. Ce fut Jean- Pierre Léaud, choix magnifique dont on ne veut pas croire qu’il fut fait pour la seule raison des 72 ans qui réunissent le règne de Louis et l’âge de Jean-Pierre.
Le Parisien
Pour goûter à ce film, il faut accepter de se laisser prendre par sa soyeuse lenteur. C'est alors l'expérience d'un vertige.
Positif
(...) un film singulier et impressionnant.
Studio Ciné Live
La notion de tableau vivant est ici un compliment. Le Roi-Soleil se meurt, vive le roi !
Télérama
Tout est fait pour donner corps, texture et matière à la mort. Et tout est fait pour inciter à vivre : rarement mets et vins auront paru aussi succulents.
aVoir-aLire.com
Ce film historique magistral aborde avec brio des thématiques politiques, médicales et scientifiques, au-delà du simple portrait du Roi-Soleil dans ses derniers instants.
Culturopoing.com
"La Mort de Louis XIV" procède, malgré son traitement contemporain, de l'imagerie et du tableau assez figé. On objectera que c'est là – justement – le propos du film, mais cela en constitue aussi la limite. Bien que distanciées, les conventions de la représentation historique et picturale, aboutissent à un film plus conventionnel.
L'Obs
Il serait malhonnête de prétendre que l’engourdissement ne guette pas le spectateur par instants, et les tableaux composés magistralement paraissent parfois n’être plus assez vivants pour que l’attention ne s’égare pas. Il n’empêche, désormais Louis XIV aura les traits de Jean-Pierre Léaud.
La Septième Obsession
Vrai précis cinématographique de décomposition, le film de Serra nous fait vivre, pendant près de deux heures, une expérience assez inédite de « mort en direct ».
Le Figaro
Dans La Mort de Louis XIV, d'Albert Serra, Jean-Pierre Léaud agonise pendant deux heures devant la caméra. Une performance fascinante et monotone.
Le Figaroscope
Le récit allie précision détaillée et stylisation austère. Une expérience qui ennuiera les uns et fascinera les autres par son étrange audace.
Le Journal du Dimanche
Le cinéaste catalan Albert Serra a eu la bonne idée de demander à Jean-Pierre Léaud de se glisser dans le corps vieillissant et la perruque grisonnante de Louis XIV.
Cahiers du Cinéma
C’est vaguement beau, mais surtout très ennuyeux. (…) Sous les atours de la révérence, la violence ainsi faite à Léaud rappelle celle imposée par Michael Haneke à Emmanuelle Riva, figée et geignant dans le lit d’"Amour" : une cinéphilie mortifère dont on ne veut pas.