Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Marianne
par Pierre-Edouard Peillon
Comme quoi le réel peut être un terreau fertile pour la rêverie.
Transfuge
par Charlotte Garson
La beauté du film tient au récit des liens patiemment tissés avec cette communauté.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Voilà à quoi ressemble un cinéma partagé, prenant soin de ceux qu’il filme comme de son spectateur, où l’autre est toujours sujet, et jamais objet.
Critikat.com
par Pierre Eugène
En bons renaissants, Pinto et Leonel sont des cinéastes entiers, qui souhaitent appréhender le tout de la réalité du monde (et avec elle, la part qui les concerne en propre). Ainsi, gardons tout.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est avant tout une œuvre picturale et poétique d’une grande simplicité qui nous attache à ces hommes arc-boutés contre la nature vivrière.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Les longues séquences d’immersion embarquées sur les bateaux des Açoréens captent quelque chose de magnifiquement archaïque et violent dans les gestes, les attitudes des pêcheurs, l’exposition banale au danger.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Des images, des visages, des voix collectés alors au gré de mois d’immersion dans une communauté marinière, résulte tardivement "le Chant d’une île" - et en cela, on peut voir en ce nouveau film, moins soufflant d’ampleur et néanmoins très beau, une manière de «prequel» à "Et maintenant ?"
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Hendy Bicaise
Dans ce documentaire libre et généreux sur Rabo de Peixe, un petit port des Açores, les cinéastes vont jusqu’à laisser les pêcheurs se filmer eux-mêmes. Séduits par la vie là-bas, ils y resteront deux années. Le spectateur aussi aura du mal à le quitter.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
par La Rédaction
On apprécierait que les auteurs laissent au spectateur un peu plus de liberté, mais les images sont magnifiques, comme ces gens que le temps paraît avoir laissés derrière lui.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
Le film semble glisser, imperceptiblement, vers une rêverie portuaire, insaisissable par moments et constamment ramenée au milieu de l’océan, comme une voile déchirée aux quatre vents, traversée de toutes parts par les formes hybrides du cinéma et de la vie.
Télérama
par Frédéric Strauss
Moins personnel, ce documentaire est dédié aux pêcheurs qu'ils ont rencontrés aux Açores. Aux images brutes montrant les conditions de vie difficiles des travailleurs de la mer se mêle un sentiment de fraternité qui les rend intenses.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un documentaire qui suit le quotidien d'un patron de pêche qui doit faire face aux périls d'une vie de travailleur de la mer comme à la pression qu'impose la pêche industrielle. L'épuisante hybridation du film affadit le propos.
Marianne
Comme quoi le réel peut être un terreau fertile pour la rêverie.
Transfuge
La beauté du film tient au récit des liens patiemment tissés avec cette communauté.
Cahiers du Cinéma
Voilà à quoi ressemble un cinéma partagé, prenant soin de ceux qu’il filme comme de son spectateur, où l’autre est toujours sujet, et jamais objet.
Critikat.com
En bons renaissants, Pinto et Leonel sont des cinéastes entiers, qui souhaitent appréhender le tout de la réalité du monde (et avec elle, la part qui les concerne en propre). Ainsi, gardons tout.
L'Humanité
C’est avant tout une œuvre picturale et poétique d’une grande simplicité qui nous attache à ces hommes arc-boutés contre la nature vivrière.
Les Inrockuptibles
Les longues séquences d’immersion embarquées sur les bateaux des Açoréens captent quelque chose de magnifiquement archaïque et violent dans les gestes, les attitudes des pêcheurs, l’exposition banale au danger.
Libération
Des images, des visages, des voix collectés alors au gré de mois d’immersion dans une communauté marinière, résulte tardivement "le Chant d’une île" - et en cela, on peut voir en ce nouveau film, moins soufflant d’ampleur et néanmoins très beau, une manière de «prequel» à "Et maintenant ?"
Première
Dans ce documentaire libre et généreux sur Rabo de Peixe, un petit port des Açores, les cinéastes vont jusqu’à laisser les pêcheurs se filmer eux-mêmes. Séduits par la vie là-bas, ils y resteront deux années. Le spectateur aussi aura du mal à le quitter.
L'Obs
On apprécierait que les auteurs laissent au spectateur un peu plus de liberté, mais les images sont magnifiques, comme ces gens que le temps paraît avoir laissés derrière lui.
La Septième Obsession
Le film semble glisser, imperceptiblement, vers une rêverie portuaire, insaisissable par moments et constamment ramenée au milieu de l’océan, comme une voile déchirée aux quatre vents, traversée de toutes parts par les formes hybrides du cinéma et de la vie.
Télérama
Moins personnel, ce documentaire est dédié aux pêcheurs qu'ils ont rencontrés aux Açores. Aux images brutes montrant les conditions de vie difficiles des travailleurs de la mer se mêle un sentiment de fraternité qui les rend intenses.
Les Fiches du Cinéma
Un documentaire qui suit le quotidien d'un patron de pêche qui doit faire face aux périls d'une vie de travailleur de la mer comme à la pression qu'impose la pêche industrielle. L'épuisante hybridation du film affadit le propos.