Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Une boîte de Pandore émotionnelle et picturale (…) dont l’agencement provoque des résonances humaines et plastiques étonnamment personnelles, bien au-delà du simple hommage cinéphile.
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
Moss tient en grande partie le film sur ses épaules, et son regard, capable de passer en un clin d'oeil de la douceur enfantine à une dureté d'acier, fait des merveilles.
Critikat.com
par Morgan Pokée
Ross Perry réussit précisément ce qu’il ratait auparavant, et ce grâce à une surprenante modestie retrouvée qui n’empêche en rien "Queen of Earth" de déployer une envergure picturale saisissante et une sensibilité inespérée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Intense et grinçant, ce crescendo dépressif n’est pas de tout repos, mais il confirme la finesse d’observation et d’écriture d’un excellent analyste de la psyché.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L'ensemble peut tout aussi bien être jugé fascinant que gentiment barbant, mais la virtuosité du cinéaste est incontestable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
(...) un vibrant générateur d'intensité émotionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
TF1 News
par Romain Le Vern
Petit film hilarant et effrayant, Bergmanien et Polanskien. Alex Ross Perry confirme toutes les promesses placées en lui.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
Au bord du thriller psychologique, on reste, heureusement, du côté du mystère. Avec cette blonde (Elisabeth Moss) et cette brune (Katherine Waterston) en parfait duo-duel, l'étrangeté des sentiments révèle tous ses reflets, en un brillant jeu de miroirs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Le réalisateur de "Listen up" Philip retrouve la formidable Elisabeth Moss pour un huit clos oppressant à la Ingmar Bergman.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Film du cinéma indépendant américain aux airs de déjà-vu et à la chute énigmatique, Queen of earth bénéficie d’une image soignée et d’un casting impeccable.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Un film trop artificiellement alambiqué et fragile, mais sauvé par son duo d'actrices ainsi que par l'atmosphère qu'il instaure.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
L'impression d'ensemble est celle d'un tunnel de scènes épousant le point de vue de Catherine au point de frôler la noyade, tant le film s'ajuste à une perception déformée par l'anxiété et la paranoïa, qui confond peu à peu passé et présent.
Première
par Damien Leblanc
Minimaliste dans son dispositif, ce bras de fer psychique échappe de peu à l’exercice froid et conceptuel grâce à son terrifiant duel d’actrices, qui se déchirent avec une nervosité, une perversité et une amertume difficilement soutenables.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Frédéric Mercier
Dans un geste maniériste radical, Alex Ross Perry reproduit une texture d'image délavée et un montage tantôt brutal, tantôt onctueux à la façon de certains films des années soixante-dix. (...) "Queen of Earth" est un film qui avance masqué.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Deux amies se déchirent, dans un huis clos bergmanien oppressant, voire inquiétant : une belle idée qui, malgré deux comédiennes fascinantes, tourne au blablatage.
Cahiers du Cinéma
Une boîte de Pandore émotionnelle et picturale (…) dont l’agencement provoque des résonances humaines et plastiques étonnamment personnelles, bien au-delà du simple hommage cinéphile.
Charlie Hebdo
Moss tient en grande partie le film sur ses épaules, et son regard, capable de passer en un clin d'oeil de la douceur enfantine à une dureté d'acier, fait des merveilles.
Critikat.com
Ross Perry réussit précisément ce qu’il ratait auparavant, et ce grâce à une surprenante modestie retrouvée qui n’empêche en rien "Queen of Earth" de déployer une envergure picturale saisissante et une sensibilité inespérée.
L'Humanité
Intense et grinçant, ce crescendo dépressif n’est pas de tout repos, mais il confirme la finesse d’observation et d’écriture d’un excellent analyste de la psyché.
L'Obs
L'ensemble peut tout aussi bien être jugé fascinant que gentiment barbant, mais la virtuosité du cinéaste est incontestable.
Le Monde
(...) un vibrant générateur d'intensité émotionnelle.
TF1 News
Petit film hilarant et effrayant, Bergmanien et Polanskien. Alex Ross Perry confirme toutes les promesses placées en lui.
Télérama
Au bord du thriller psychologique, on reste, heureusement, du côté du mystère. Avec cette blonde (Elisabeth Moss) et cette brune (Katherine Waterston) en parfait duo-duel, l'étrangeté des sentiments révèle tous ses reflets, en un brillant jeu de miroirs.
Voici
Le réalisateur de "Listen up" Philip retrouve la formidable Elisabeth Moss pour un huit clos oppressant à la Ingmar Bergman.
La Croix
Film du cinéma indépendant américain aux airs de déjà-vu et à la chute énigmatique, Queen of earth bénéficie d’une image soignée et d’un casting impeccable.
Les Fiches du Cinéma
Un film trop artificiellement alambiqué et fragile, mais sauvé par son duo d'actrices ainsi que par l'atmosphère qu'il instaure.
Les Inrockuptibles
L'impression d'ensemble est celle d'un tunnel de scènes épousant le point de vue de Catherine au point de frôler la noyade, tant le film s'ajuste à une perception déformée par l'anxiété et la paranoïa, qui confond peu à peu passé et présent.
Première
Minimaliste dans son dispositif, ce bras de fer psychique échappe de peu à l’exercice froid et conceptuel grâce à son terrifiant duel d’actrices, qui se déchirent avec une nervosité, une perversité et une amertume difficilement soutenables.
Transfuge
Dans un geste maniériste radical, Alex Ross Perry reproduit une texture d'image délavée et un montage tantôt brutal, tantôt onctueux à la façon de certains films des années soixante-dix. (...) "Queen of Earth" est un film qui avance masqué.
Studio Ciné Live
Deux amies se déchirent, dans un huis clos bergmanien oppressant, voire inquiétant : une belle idée qui, malgré deux comédiennes fascinantes, tourne au blablatage.