Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Paris Match
par Yannick Vely
Le propos du film serait insupportable si le réalisateur de «Tony Manero» regardait ses personnages de haut : il n’en est rien et les rires que le film convoque parfois sont si grinçants qu’ils provoquent immédiatement le malaise
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ce serait dommage de s'arrêter à sa forme roide et à son image bleue-grise, parée d'un voile laiteux. Il y a une grande puissance derrière.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Benoît Smith
D’une drôlerie presque paradoxale, le film semble régulièrement rebondir pour éviter de sombrer dans la gaudriole comme dans le sérieux.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Dur, austère et vénéneux, El Club est un remarquable réquisitoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Évitant une approche spectaculaire ou édifiante, Larrain insiste surtout sur la trivialité du contexte et des événements. Décapant jeu de massacre en demi-teintes grisâtres.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Faisant confiance au pouvoir évocateur de la photo comme décolorée ou voilée de brume – parfait contrepoint à l’image numérique honnie. Empruntant à Bach et à Arvo Pärt de fièvreuses musiques sacrées. S’appuyant sur le jeu intérieur des acteurs. Tout ce qui concourt à nimber de cinéma et d’universalité cette impitoyable peinture de la mauvaise conscience collective.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film d’une force explosive, qui mêle l’animalité au spirituel et l’ombre à la lumière.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Comme toujours chez Larrain, de la tenue dans le malaise, une atmosphère nimbée d'étrangeté, de la misère percluse d'humanité, une descente aveuglante dans la ouate affective de ceux qui se sont rendus coupables des pires forfaitures.
Le Point
par Phalène de La Valette
Un huis clos angoissant et brillant sur la conscience autour d'un club de retraités...
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Clémentine Gallot
Scandé par la musique glaçante du compositeur estonien Arvo Pärt, le récit préfère, au procès sans appel des prêtres pédophiles, l’ambiguïté distillée dans toute son opacité.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Ici, tout est sombre, malade, corrompu. Le cinéaste chilien voile d’ailleurs l’image de filtres, tourne à l’aube ou au crépuscule et baigne l’ensemble dans un flou dans lequel le scénario maintient longtemps le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Sidy Sakho
La force du cinéma de Pablo Larraín n'est jamais aussi évidente que lorsqu'il s'en tient à une direction : les actes d'un serial killer, les stratégies de séduction des masses par des publicitaires.
Télérama
par Cécile Mury
A l'instar de la lumière sourde et crépusculaire, couleur d'algues, de béton et de pluie, qui baigne chaque image, tous les antihéros de ce conte implacable sont gris, ignobles et poignants, pathétiques et infiniment seuls, si dérisoires qu'ils en sont parfois comiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Aida Amasuno Martin
(...) si "El club" se refuse à chercher la polémique, ce savoureux brûlot met le doigt là où cela fait mal...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par La Rédaction
Jamais ce thème n'avait été abordé au cinéma : c'est une idée superbe. Mais pourquoi avoir choisi de filmer ce drame avec d'anciens objectifs soviétiques ? (...) étonnant contraste entre le contenu, formidable, et la mise en forme, laide.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Avec ce film à la forme appuyée mais cohérente, dérangeant, cru et violent dans son propos, Pablo Larrain porte le fer dans la plaie d’une humanité terrible de cynisme, de mensonge, de chantage et d’hypocrisie.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Larraín a le don de faire monter insidieusement la tension et l’horreur ordinaire. Il finira par mettre les points sur les “i” et par pousser le malaise à son comble. (...) Ici, malgré quelques actes explicites, l’essentiel passe par la parole, crue et théâtralisée.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
Film fou aux caractères très ambigus, "El Club" doit beaucoup à son envoûtante atmosphère de limbes et à ses prises de risque narratives. Quelques bémols toutefois, notamment la grandiloquence et la composition sursignifiantes d'Arvo Part.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Alors que "No" avait à Pablo Larrain permis de se défaire du fond de veulerie de son précédent film, "Santiago 73 post mortem", son nouveau long revient à l’esbroufe basse, et masque mal le peu de choses qu’il a à dire.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
S’il a le mérite de révéler comment l’Église déporte ses religieux trop gênants, ce débat en quasi huis clos apparaît bien lourd sinon indigeste, trop insistant sur le côté rance de son univers à part.
Paris Match
Le propos du film serait insupportable si le réalisateur de «Tony Manero» regardait ses personnages de haut : il n’en est rien et les rires que le film convoque parfois sont si grinçants qu’ils provoquent immédiatement le malaise
CinemaTeaser
Ce serait dommage de s'arrêter à sa forme roide et à son image bleue-grise, parée d'un voile laiteux. Il y a une grande puissance derrière.
Critikat.com
D’une drôlerie presque paradoxale, le film semble régulièrement rebondir pour éviter de sombrer dans la gaudriole comme dans le sérieux.
Ecran Large
Dur, austère et vénéneux, El Club est un remarquable réquisitoire.
L'Humanité
Évitant une approche spectaculaire ou édifiante, Larrain insiste surtout sur la trivialité du contexte et des événements. Décapant jeu de massacre en demi-teintes grisâtres.
La Voix du Nord
Faisant confiance au pouvoir évocateur de la photo comme décolorée ou voilée de brume – parfait contrepoint à l’image numérique honnie. Empruntant à Bach et à Arvo Pärt de fièvreuses musiques sacrées. S’appuyant sur le jeu intérieur des acteurs. Tout ce qui concourt à nimber de cinéma et d’universalité cette impitoyable peinture de la mauvaise conscience collective.
Le Dauphiné Libéré
Un film d’une force explosive, qui mêle l’animalité au spirituel et l’ombre à la lumière.
Le Monde
Comme toujours chez Larrain, de la tenue dans le malaise, une atmosphère nimbée d'étrangeté, de la misère percluse d'humanité, une descente aveuglante dans la ouate affective de ceux qui se sont rendus coupables des pires forfaitures.
Le Point
Un huis clos angoissant et brillant sur la conscience autour d'un club de retraités...
Libération
Scandé par la musique glaçante du compositeur estonien Arvo Pärt, le récit préfère, au procès sans appel des prêtres pédophiles, l’ambiguïté distillée dans toute son opacité.
Première
Ici, tout est sombre, malade, corrompu. Le cinéaste chilien voile d’ailleurs l’image de filtres, tourne à l’aube ou au crépuscule et baigne l’ensemble dans un flou dans lequel le scénario maintient longtemps le spectateur.
Transfuge
La force du cinéma de Pablo Larraín n'est jamais aussi évidente que lorsqu'il s'en tient à une direction : les actes d'un serial killer, les stratégies de séduction des masses par des publicitaires.
Télérama
A l'instar de la lumière sourde et crépusculaire, couleur d'algues, de béton et de pluie, qui baigne chaque image, tous les antihéros de ce conte implacable sont gris, ignobles et poignants, pathétiques et infiniment seuls, si dérisoires qu'ils en sont parfois comiques.
aVoir-aLire.com
(...) si "El club" se refuse à chercher la polémique, ce savoureux brûlot met le doigt là où cela fait mal...
L'Obs
Jamais ce thème n'avait été abordé au cinéma : c'est une idée superbe. Mais pourquoi avoir choisi de filmer ce drame avec d'anciens objectifs soviétiques ? (...) étonnant contraste entre le contenu, formidable, et la mise en forme, laide.
La Croix
Avec ce film à la forme appuyée mais cohérente, dérangeant, cru et violent dans son propos, Pablo Larrain porte le fer dans la plaie d’une humanité terrible de cynisme, de mensonge, de chantage et d’hypocrisie.
Les Inrockuptibles
Larraín a le don de faire monter insidieusement la tension et l’horreur ordinaire. Il finira par mettre les points sur les “i” et par pousser le malaise à son comble. (...) Ici, malgré quelques actes explicites, l’essentiel passe par la parole, crue et théâtralisée.
TF1 News
Film fou aux caractères très ambigus, "El Club" doit beaucoup à son envoûtante atmosphère de limbes et à ses prises de risque narratives. Quelques bémols toutefois, notamment la grandiloquence et la composition sursignifiantes d'Arvo Part.
Cahiers du Cinéma
Alors que "No" avait à Pablo Larrain permis de se défaire du fond de veulerie de son précédent film, "Santiago 73 post mortem", son nouveau long revient à l’esbroufe basse, et masque mal le peu de choses qu’il a à dire.
Le Journal du Dimanche
S’il a le mérite de révéler comment l’Église déporte ses religieux trop gênants, ce débat en quasi huis clos apparaît bien lourd sinon indigeste, trop insistant sur le côté rance de son univers à part.
Studio Ciné Live
Trop glauque. Pas assez dérangeant.